Ce n'est un secret pour personne, il existe sur cette belle nappe blanche qu'est la France, un sombre tâche informe marquée du sceau de la différence. Il existe un problème, que personne ne s'attache à résoudre, sans langue de bois, sans masquer le dégoût et la haine que ces individus nous inspire. Il existe parmi nous, une population qui n'obéit ni à nos codes, ni à nos règles. Elle est facilement reconnaissable puisqu'elle ne manque pas une occasion de nous rappeler qu'elle existe, ne serait-ce uniquement par le fait qu'elle peut circuler librement au risque de souiller notre vue meurtrie par le spectacle navrant qu'elle offre sans que personne ne l‘en empêche. Vous savez de qui je veux parler. Je veux parler de celles et ceux qui n'ont que trop fait régner leur dictat par la force du nombre. Je veux parler de ces chantres de l'immobilisme. Oui vous ne vous trompez pas, aujourd'hui, quelqu'un ose en parler. Car il suffit, d'avoir à redouter le futur et de subir la loi d'une minorité de racailles et de crapules. A moins que vous ne viviez en ermite et donc, que vous n'ayez jamais rencontré ce genre d'individus, vous aussi, vous ne supportez plus de les voir, flânant toute la sainte journée à ne rien faire alors que vous vous crevez le cul toute la journée au boulot. Ha je sens monter en vous cette légitime colère.
Toute la journée, nous pouvons les croiser, déambulant sans but aucun, arpentant les centres-villes dont la hausse salvatrice des loyers les a chassé, souvent en bande, bloquant votre passage et feignant de vous ignorez avant de vous interpeller de façon agressive lorsque vous faites la moindre remarque. Il suffit, de les voir constamment chercher querelle. Comme la doctrine populaire le précise, lorsqu'ils sont seuls, et cela se vérifie, en particulier s'ils ont une faveur à vous demander, il retrouvent l'usage correct de la langue de Molière (je dis Molière parce que l‘usage le veut, vu que pour ma part, l'œuvre du bougre est une sombre merde sans intérêt), et parfois même, ils se montrent courtois, ou sans aller jusque la, simplement polis. Car parlons en de leur langage ! Ce verbiage incompréhensible, formé d'expression étrange et d'unités de mesure monétaire inconnues, signe de leur implication dans toutes sortes de trafics louches. Parlons en, de notre belle langue martyrisée par ces sauvages qui semblent mâcher un chewing-gum lorsqu'ils communiquent. Ha, elle est belle, la France. Et tout en eux prête à la mise à l'écart. Je ne mentionnerai que trop brièvement une culture musicale faisant totalement abstraction de la musicalité ou de l'originalité, elle est si obscure que je ne pourrais en parler.
Que dire de leur codes vestimentaires ridicules, ces couleurs mal assorties, ces matières textiles laides au possible ou ces couvre-chefs minables ? Et encore on en demande pas beaucoup, juste de quoi ne pas nous agresser la cornée, et si possible le nez, avec ces parfums atroces dans lesquels on jurerait qu'ils se trempent à la manière des rois pour ne pas avoir à se laver. Peut être que là d'où ils viennent, on apprend à ne pas se laver… Éducation ou pas, la plus part d'entre eux puent la mort, et ça aussi, dans une société telle que la notre, c'est un problème. Et après ça on vient nous pleurer dans les miches parce qu'on ne trouve pas sa place ? C'est proprement hallucinant.
Je mentionnais avec délicatesse un peu plus haut leur éducation, car il apparaît évident qu'elle est aussi différente de la notre que eux sont différents de nous. Sans m'avancer, elle semble dater d'un autre âge, tant leur attitude est aux antipodes de la façon que nous avons d'agir. Ca parait insensé, mais on jurerait qu'il ne devrait en avoir que pour eux, et ils n'en ont jamais assez. C'est quand même un comble !
Parce qu'évidemment, ils oublient un peu souvent qu'ils nous doivent tout, et qu'ils vivent avant tout au crochet de cette société à laquelle ils ont renoncé à contribuer il y'a bien longtemps . Alors je m'emporte peut être, certains d'entre eux ont vécu des choses marquantes, certains ont même connu la guerre et la misère, et il ne faut peut être pas généraliser, n'empêche qu'ils sont les premiers à faire dans la généralité dès qu'on fait quelque chose qui ne leur plaît pas. Dès qu'il existe un problème d'individu, ils en font un problème général, un phénomène d'une société ségrégationniste comme s'ils étaient la cible d'un complot, comme si la France entière leur en voulait ! Ils ne manquent d'ailleurs pas une occasion de jeter l'opprobre sur un gouvernement compétent qui n'est somme toute pas responsable de leur propre déchéance.
Moi je ne les supporte plus, j'en peux plus de les voir traîner là où ils n'ont rien à faire, empiéter sur notre espace vital, en compagnie de leurs semblables, ou bien souvent, en compagnie de chiens hideux et inutiles, souvent non harnachés et non muselés en plus ! Et ils ont le culot de dire, lorsqu'un mioche s'approche de piège à doigts, que cet adorable merde à quatre patte « n'a jamais mordu personne » et « qu'il est pourtant si gentil » lorsqu'ils s'aperçoivent de l'inquiétude de la mère tirant son enfant du bras dans la direction opposée au canidé…
Et là, mais je ne vous apprendrait rien, où ils se conduisent le plus mal, c'est bien dans les transports en commun ! Ils arrivent, en bande (mais je crois l'avoir assez précisé), aux heures de pointes (comme s'ils avaient quelque chose d'important à faire), s'installent à l'arrache, n'importe comment, n'importe où, occupant parfois deux place (une pour l'individu, l'autre pour ses effets personnel) sans se soucier de savoir si vous n'aimeriez pas vous asseoir vous aussi. Et le ballet de leur verbiage incompréhensible et plaintif, de leurs goûts vestimentaires de merde et de leurs odeurs vomitives vous achève en cet espace clos, et vous laisse impuissant, citoyen désœuvré et solitaire face à ceux pour qui nous fûmes toujours bienveillants, et qui aujourd'hui nous crachent à la gueule sous prétexte qu'on les parque entre eux dans des ghettos souvent insalubres où règne la violence, la peur et la solitude.
Il suffit de culpabiliser, exterminons les ! Oui, vous m'avez bien entendu ! Exterminons les vieux !
Comment ? Oui, j'ai bien dit les vieux. Pourquoi vous me demandez ça ?
De qui diable pensiez vous que je parlais ?