Samedi 12 juillet 2008 à 1:14



Ce n'est un secret pour personne, il existe sur cette belle nappe blanche qu'est la France, un sombre tâche informe marquée du sceau de la différence. Il existe un problème, que personne ne s'attache à résoudre, sans langue de bois, sans masquer le dégoût et la haine que ces individus nous inspire. Il existe parmi nous, une population qui n'obéit ni à nos codes, ni à nos règles. Elle est facilement reconnaissable puisqu'elle ne manque pas une occasion de nous rappeler qu'elle existe, ne serait-ce uniquement par le fait qu'elle peut circuler librement au risque de souiller notre vue meurtrie par le spectacle navrant qu'elle offre sans que personne ne l‘en empêche. Vous savez de qui je veux parler. Je veux parler de celles et ceux qui n'ont que trop fait régner leur dictat par la force du nombre. Je veux parler de ces chantres de l'immobilisme. Oui vous ne vous trompez pas, aujourd'hui, quelqu'un  ose en parler. Car il suffit, d'avoir à redouter le futur et de subir la loi d'une minorité de racailles et de crapules. A moins que vous ne viviez en ermite et donc, que vous n'ayez jamais rencontré ce genre d'individus, vous aussi, vous ne supportez plus de les voir, flânant toute la sainte journée à ne rien faire alors que vous vous crevez le cul toute la journée au boulot. Ha je sens monter en vous cette légitime colère.

Toute la journée, nous pouvons les croiser, déambulant sans but aucun, arpentant les centres-villes dont la hausse salvatrice des loyers les a chassé, souvent en bande, bloquant votre passage et feignant de vous ignorez avant de vous interpeller de façon agressive lorsque vous  faites la moindre remarque. Il suffit, de les voir constamment chercher querelle. Comme la doctrine populaire le précise, lorsqu'ils sont seuls, et cela se vérifie, en particulier s'ils ont une faveur à vous demander, il retrouvent l'usage correct de la langue de Molière (je dis Molière parce que l‘usage le veut, vu que pour ma part, l'œuvre du bougre est une sombre merde sans intérêt), et parfois même, ils se montrent courtois, ou sans aller jusque la, simplement polis. Car parlons en de leur langage ! Ce verbiage incompréhensible, formé d'expression étrange et d'unités de mesure monétaire inconnues, signe de leur implication dans toutes sortes de trafics louches. Parlons en, de notre belle langue martyrisée par ces sauvages qui semblent mâcher un chewing-gum lorsqu'ils communiquent. Ha, elle est belle, la France. Et tout en eux prête à la mise à l'écart. Je ne mentionnerai que trop brièvement une culture musicale faisant totalement abstraction de la musicalité ou de l'originalité, elle est si obscure que je ne pourrais en parler.
Que dire de leur codes vestimentaires ridicules, ces couleurs mal assorties, ces matières textiles laides au possible ou ces couvre-chefs minables ? Et encore on en demande pas beaucoup, juste de quoi ne pas nous agresser la cornée, et si possible le nez, avec ces parfums atroces dans lesquels on jurerait qu'ils se trempent à la manière des rois pour ne pas avoir à se laver. Peut être que là d'où ils viennent, on apprend à ne pas se laver… Éducation ou pas, la plus part d'entre eux puent la mort, et ça aussi, dans une société telle que la notre, c'est un problème. Et après ça on vient nous pleurer dans les miches parce qu'on ne trouve pas sa place ? C'est proprement hallucinant.
Je mentionnais avec délicatesse un peu plus haut leur éducation, car il apparaît évident qu'elle est aussi différente de la notre que eux sont différents de nous. Sans m'avancer, elle semble dater d'un autre âge, tant leur attitude est aux antipodes de la façon que nous avons d'agir. Ca parait insensé, mais on jurerait qu'il ne devrait en avoir que pour eux, et ils n'en ont jamais assez. C'est quand même un comble !
 
Parce qu'évidemment, ils oublient un peu souvent qu'ils nous doivent tout, et qu'ils vivent avant tout au crochet de cette société à laquelle ils ont renoncé à contribuer il y'a bien longtemps . Alors je m'emporte peut être, certains d'entre eux ont vécu des choses marquantes, certains ont même connu la guerre et la misère, et il ne faut peut être pas généraliser, n'empêche qu'ils sont les premiers à faire dans la généralité dès qu'on fait quelque chose qui ne leur plaît pas. Dès qu'il existe un problème d'individu, ils en font un problème général, un phénomène d'une société ségrégationniste comme s'ils étaient la cible d'un complot, comme si la France entière leur en voulait ! Ils ne manquent d'ailleurs pas une occasion de jeter l'opprobre sur un gouvernement compétent qui n'est somme toute pas responsable de leur propre déchéance.
Moi je ne les supporte plus, j'en peux plus de les voir traîner là où ils n'ont rien à faire, empiéter sur notre espace vital, en compagnie de leurs semblables, ou bien souvent, en compagnie de chiens hideux et inutiles, souvent non harnachés et non muselés en plus ! Et ils ont le culot de dire, lorsqu'un mioche s'approche de piège à doigts, que cet adorable merde à quatre patte « n'a jamais mordu personne » et « qu'il est pourtant si gentil » lorsqu'ils s'aperçoivent de l'inquiétude de la mère tirant son enfant du bras dans la direction opposée au canidé…
Et là, mais je ne vous apprendrait rien, où ils se conduisent le plus mal, c'est bien dans les transports en commun ! Ils arrivent, en bande (mais je crois l'avoir assez précisé), aux heures de pointes (comme s'ils avaient quelque chose d'important à faire), s'installent à l'arrache, n'importe comment, n'importe où, occupant parfois deux place (une pour l'individu, l'autre pour ses effets personnel) sans se soucier de savoir si vous n'aimeriez pas vous asseoir vous aussi. Et le ballet de leur verbiage incompréhensible et plaintif, de leurs goûts vestimentaires de merde et de leurs odeurs vomitives vous achève en cet espace clos, et vous laisse impuissant, citoyen désœuvré et solitaire face à ceux pour qui nous fûmes toujours bienveillants, et qui aujourd'hui nous crachent à la gueule sous prétexte qu'on les parque entre eux dans des ghettos souvent insalubres où règne la violence, la peur et la solitude.

Il suffit de culpabiliser, exterminons les ! Oui, vous m'avez bien entendu ! Exterminons les vieux !
Comment ? Oui, j'ai bien dit les vieux. Pourquoi vous me demandez ça ? 


De qui diable pensiez vous que je parlais ?
 
 
Par maud96 le Samedi 12 juillet 2008 à 9:22
Tu as tout juste, man ! sont pourrav ! en plus ils dévergondent la jeunesse : l'autre jour, dans le métro de Lyon, je me suis assise devant 2 de ces pélo complètement fracassés ;.imagine-toi qu'un d'entre eux a voulu me filer un bédo !
Par maud96 le Samedi 12 juillet 2008 à 9:22
Par Deathknight le Samedi 12 juillet 2008 à 12:52
Je savais bien que ça ne pouvais pas être les membres du gang des casquettes.
"Ils se montrent courtois", tu t'es trahi là dessus :)
Par Samantha.c4 le Dimanche 13 juillet 2008 à 13:39
Je savais bien qu'on tomberait sur ce genre de chute, tu deviens prévisible (néanmoins la découverte du sujet de cet article m'a fait exploser de rire)

Et des vieux faisant preuve de politesse, je ne me souviens pas en avoir rencontré ces derniers temps.
Par Samantha.c4 le Samedi 19 juillet 2008 à 14:28
à noter (pendant que je repasse par là) que le plus intéressant dans cet article (que je vient de faire lire à quelqu'un qui trouve la chute magnifique) c'est ce renversement complet entre ce qu'on pourrait nommer les jugés et leurs juges.
Par annmar le Dimanche 20 juillet 2008 à 1:01
"tu deviens prévisible" hum...elle a raison, à ta place je m'inquièterais.
Par atom-of-the-end le Dimanche 20 juillet 2008 à 1:28
On t'a sonné, anonyme à l'avis aussi constructif qu'intéressant ? Non je crois pas.

Si j'avais besoin des conseils avisés de crétins en tous genre incapables d'autre chose que pondre une ligne en guise de commentaire et censée refléter la quintessence de leur esprit critique, quand moi j'ai pondu plus de quatre cents articles, ça se saurait.

Et accessoirement, quand on balance ce genre de réflexion, c'est qu'on a donc déjà visité auparavant le blog de celui dont on se permet de critiquer le travail (enfin si on peut appeler ton colombin une critique), donc soit tu n'es pas un inconnu ici et tu te caches derrière un nouveau pseudo parce que tu t'es déjà gentiment fait envoyé sucer les ours, soit tu n'as jamais commenté mais tu me lisais quand même (ce qui ne te donnerais pas plus le droit de ramener ta gueule), mais dans les deux, mon pauvre ami, ton avis, je me torche joyeusement le cul avec, et c'est encore lui accorder bien plus de valeur qu'il n'en a, mais que veux tu, je suis du genre sympa.

"M'inquiéter" parce qu'on peut prévoir à force de me lire qu'il y a généralement une chute à mes articles ? Des fois je me demande si la chaleur ne fait pas fondre le peu de matière grise des peigne-culs qui s'attardent à lire les lignes en attendant la moindre occasion de ramener leur gueule. Si tu veux m'inquiéter, faudra songer à revoir tes attaques, non parce que passe encore que tu uses tes maigres facultés à lire cet excellent blog qu'est le mien, mais si c'est pour te frustrer, passer pour un con et me faire perdre mon temps, c'est pas la peine.
Par Melodiane le Mardi 5 août 2008 à 10:43
Lol
tU ES un sinistre cynique ! Mais te lire est extremment agréable
Par Melodiane le Mardi 5 août 2008 à 10:45
Ce matin, pour corroborer tes dires , je me suis faite siffler. Regardant la personne me suis aperçue que la racaille en question avait bien dépassé les 70 ans.
J'en étais morte de rire.
Sacrés papys
 

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