Vendredi 23 avril 2010 à 0:05


PUTAIN, 5 ANS !

La fabuleuse histoire d'Atom of the end
(Part 3)

http://groumf.info/imageblog/dyingbite2


Mois de mai 2006, je suis de retour à Nancy, je suis sans emploi alors je ris de cette situation parce que je mens comme un arracheur de dents sur mes C.V, ce qui donnera lieu à une invraisemblable réponse (fictive, of course) . Dans le même temps, puisque je suis un inemployé, j’essaie de poster le plus possible pour m’obliger à me lever le matin, je finirai par me coucher à pas d’heure à produire des iconographies immondes à l'égard des détraqués sexuels qui me lisent (1)(2) http://groumf.info/imageblog/dickriver.jpg
Les week end's, ou la semaine, je sais ne sais plus, je ne vis plus que la nuit, alors je sors, seul, ou avec des amis, mais inconsciemment, je sens que ma place n’est plus à Nancy. Je me sens seul, je fréquente des lieux pleins de gens - l'angoisse - où je ne m’amuse pas , tout m’emmerde, j’en fais donc profiter le lecteur qui ne voit que les dérives marrantes d’un jeune qui à trop picolé un samedi soir. La raison de cette morosité, outre le fait d’être un inemployé inapte à la vie en communauté, c’est d’être loin de celle qui m’apporte tant de joie.

http://groumf.info/imageblog/cover.jpgC’est alors que joKeR pond cette incroyable saga, c0wvivor, qui marque les esprits de l’époque, car tous, nous suivront cette grande série de l’été. Il faut dire que pour la plupart, les éminents membres de c0w, ainsi que ses plus gros boulets et faire valoir d’alors, sont les protagonistes de ce récit. Non content de me filer un rôle en or (Celui d’un connard subtilement sarcastique), joKeR demande ma participation. Avec Samantha.c4 et d’autres, nous planchons donc sur des artworks afin d’illustrer cette saga.
Ca m’occupe, et c’est tant mieux, car l’inactivité me fait virer poète, ou carrément abjecte.

Nous sommes le 6 juin 2006 (06/06/06), c’est le jour de l’apocalypse. Moi je suis au lit avec la gueule de bois, je ne vivrai que le 667, le jour d’après l’apocalypse, et on sent bien l’influence navets types séries Z qui me caractérise. J’assume. J’assume tout moi, même mon amour immodéré pour moi-même, ce moi auquel je déclare ma flamme, devant vos yeux ébahis. Toujours avec tendresse, délicatesse et subtilité.
Je continue sur cette lancée quelque temps et c’est un beau jour de juin 2006, le 19, précisément, qu’est né ce concept dont je voulais absolument accoucher. Je crois que ça m’est venu un soir de beuverie où je trollais avec des amis et des connaissances vaguement gauchos-hippies afin de leur expliquer que la dictature est le meilleure système politique qui soit : Mon argumentation tient toujours debout, même lorsque je défends l’indéfendable. C’est ainsi que naîtra la dictature scripturale, qui compte 40 articles à son actif aujourd’hui et qui est devenue une autre série phare de mon blog.

Je ne le sais pas encore, mais je passe ma dernière fête de la musique à Nancy et je ne supporte plus cette beuverie annuelle. Mon P.C meurt à nouveau, le manque engendré m’inspirera une nouvelle en trois partie (1) (2) (3). Entre temps, j’use des messages défilants de la page d’accueil pour vous montrer à quel point je suis drôle et méchant.
Sinon c’est la coupe du monde du foot, et ça, ça me gave. Ca prend une telle proportion dans notre pays que même moi, je parlerai de ce fameux coup de boule … Et ouais, même moi. Toujours aussi anecdotique, je suis de retour à Marseille car j‘y ai trouvé du boulot, je crève de chaud, et je rencontre Satan (aka Adolf Hitler) et Jésus qui se battent pour mon âme que j‘ai vendu contre une bière bien fraîche(1) (2). C’est aussi à cette époque que le monde fut envahi par les Emos, une culture profonde et ancienne au point qu’on en avait jamais eu connaissance jusqu’à présent.
Je suis devenus accrocs au Kebab (Pratique et pas loin, je suis une feignasse), ce que je n’avais jamais mangé avant ma toute première visite à Marseille, d’ailleurs, je n'avais jamais vu la mer non plus, j’ai donc découvert deux choses et j’ai fait 800 km pour ça.
Non sérieusement les Kebabs, c’est dangereux, on ne le rappellera jamais assez.
Survient alors un drame pour toute la cowmunauté, car le 8 août 2006, je suis mort, et j’ouvre avec mon trépas une longue série d’articles (pas loin de 25 chapitres), un crossover entre deux de mes catégories d'articles, un récit cowbloggien que je ne terminerai jamais… Entre temps, nous accueillons, avec Margritis, trois autres cow’s, pour quelques jours devenus mémorables : C’est avec JoKeR, Samantha et Morgoth que nous publierons cet article linké qui redirigeait le lecteur sur nos blogs en une sorte de boucle récurrente et dont la profondeur philosophique n’est pas à démontrer.

http://groumf.info/imageblog/desanusseur.jpgBien sur, mon récit, mes invités vite repartis et mon boulot ennuyeux ne m’empêchent pas de persister à me montrer mesquin envers d’autres bloggeurs. Je suis à Marseille depuis deux mois, je prends mon première appart’ et je n’ai pas la télé depuis donc environ soixante deux jours, sept heures vingt trois minutes et cinquante trois secondes, mais de toute façon je me console en me disant que la télé, c'est de la merde. En fait, pour la petite histoire, une semaine avant ça, j’ignorais l'imminence de mon emménagement dans le sud, à la base, je crois avoir dit à ma mère un truc du genre "J'me casse bosser un mois à Marseille". Haha.
Ma saga s’essouffle et mon lectorat n’en peut plus, afin de m’assurer qu’il est toujours là, je lui propose de branler ma bite… Enfin ma bannière de blog, qui était une bite… N’allez pas vous faire d’idée.
Tanné par joKeR pour que je tienne mes promesses pictographiques, j’ai pondu mon article souvenir de notre mini-rencontre c0w (un mois après quand même…) façon c0wvivor : C’est-à-dire avec humour et surtout, des artworks, comme ceux que je lui avais fourni quelques mois auparavant.
J’use mes franchises au possible avec le « kit minceur » (aaaah la méthode Auschwitz) et cultive ma nostalgie. Ma lorraine natale me manque.
J’arrive alors au 300ème article du blog et je passe quelques heures à compiler des articles et dessins en PDF afin de fournir un Best-of the End, toujours disponible en téléchargement via le menu catégorie d’ailleurs.

Je m’attaque également à l’économie, histoire de lancer pour de bon la dictature que j’entends installer, parce que depuis le premier article du genre, je n’ai rien foutu.
C’est aussi fin novembre 2006 que j’ouvre la série des Abstinences qui reste, artistiquement http://groumf.info/imageblog/diktator3.jpgparlant, la chose la plus profonde présentée à ce jour sur blog. Les textes sont beaucoup plus travaillés, les dessins me laissent exprimer mon côté glauque et tordu. C’est un régal pour moi, moins pour le lecteur, dérouté, qui n’accrochera jamais réellement sur cette catégorie. Ce n’est pas grave en soit, ces œuvres sont surtout là pour moi. Abstinence me permet énormément de faire évoluer le personnage d'Atom-of-the-end, et de lui donner une dimension plus intéressante.
Je bosse à l’époque en tant que vendeur dans une boutique de fringue depuis presque six mois (plus manutentionnaire que vendeur en fait) et je suis affligé de l’insondable stupidité d’un connard avec qui je dois passer mes journées et ça vaut son pesant de bananes, cela dit, ça me laisse du temps pour méditer sur la grande imposture que représente le concept divin.
Le 20 décembre 2006, Pinochet s’éteint, je lui rends hommage à travers un article poignant, car ce blog est désormais une dictature affichée, au point que le lendemain de noël, on prône sur ces pages les bienfaits de l’apartheid pour finir l’année 2006 avec classe.
Je ne serai pas le premier à poster en 2007 sur mon blog, ce sera joKeR, s’incrustant pour la troisième fois, qui s’en chargera, afin de faire la promotion de la peine de mort. Tout en finesse, qu'on vous dit !




(Pour le moment, cette série rétrospective s'arrête là le temps d'arriver au 500ème article, où nous explorerons les années 2007 et 2008, soit mes années favorites, puisqu'elles furent énormément axées sur le dessin. C'est en effet durant cette période que j'ai décidé d'illustrer le plus possible mes billets par mes propres créations et me suis par ailleurs remis à la B.D. C'est d'avoir renoué avec cette passion pour les cases et les bulles qui me poussa, un beau jour, à vous proposer une histoire courte en deux planches pastichant un monstre sacré des programmes pour enfants des générations passées, à savoir, "Bonne nuit les petits".)


 

Jeudi 11 mars 2010 à 19:18



Amis, lecteurs, anonymes qui n'avez rien de mieux à foutre de vos vies inutiles et qui êtes tombés sur mon blog en cherchant des vidéos de bites dans un pot d'échappement sur google, parasites sociaux difformes aux destins absurdes bercés par l'ineptie de vos tâches serviles – et qui vous font puer la friture même après trois douches – putes et affiliées ainsi que ceux que je risque d'oublier, c'est avec une joie certaine que je vous force à lire cette sémillante introduction qui bat désormais le record de la phrase la plus longue de ce blog – et que je vous invite à déclarer à haute et intelligible   voix.
Vous pouvez donc, après ce coup de maître, retourner à vos occupations, quelles qu'elles soient, qui que vous soyez, en admettant que vos fonctions cérébrales de primates n'aient pas entraîné chez vous une fatal error en essayant de suivre le fil d'Ariane d'une pensée qui ne va nul part.
Bon, maintenant que la sélection naturelle, ma sympathie légendaire et mon style inimitable ont clairsemé le troupeau et que nous sommes entres personnes de bon goûts, je peux entamer mon article. Ce n'est un secret pour personne, après tout, la haine du parasite sociétaire et sa dénonciation, ou de tout ce qui symbolise l'ennemi plus généralement, c'est le leitmotiv de ma Dictature Scripturale... Ou était-ce rire de choses dont habituellement on ne rit pas ? Non il y'a la catégorie Humour Noir pour ça. Quoi que, les sujets dis tabous, ou le politiquement incorrect dans son ensemble, sont régis par des codes sociaux qui autorisent depuis belle lurette une forme édulcorée d'humour noir.
Disons que la Dictature Scripturale, non contente de taper sous la ceinture, utilise pour vous broyer les valseuses un point américain clouté. Vous apprécierez au passage avec une délectation certaine – ou un épileptique énervement – que l'intro n'est toujours pas achevée et à dire vrai, à l'heure ou j'écris ces lignes je ne sais toujours pas de quoi je...

MEDECINS SANS FRONTIERES !

Amis de la transition éclair et experts es blogging, vous venez d'assister au plus minable des embranchements et paradoxalement, à ce que les spécialistes en la matière – Dont je suis seul représentant – nomment une épiphanie bloggienne, un instant de grâce rédactionnel... Bref, l'éclair de génie sans lequel la quasi totalité d'entre vous exercent, pourtant, ce qu'ils croient -  à tort - faire le mieux : Ecrire.
Il est vrai que chaque fois que je croise ces petits êtres mesquins qui vantent les mérites de Médecins Sans Frontières, je me dis, qu'il faut absolument que je vous fasse profiter de ma vindicte du moment pour que cette haine irraisonnée trouve un exutoire légal avant que je ne m'en chope un pour lui faire mordre le trottoir. Je ne vous dirai ni comment, ni pourquoi,  mais professionnellement, je suis souvent amené à me déplacer dans toute la ville – Je précise à tout hasard que je ne suis ni gigolo, ni chômeur ou livreur – car je n'ai pas l'intention - Ni éboueur - de faire de ce blog un réceptacle d'articles longs et ennuyeux - Et surtout pas cantonnier -  au possible en faisant traîner des anecdotes pitoyables sur ma vie professionnelle qui ne mériteraient pas plus de trois lignes – Bon okay je travaille pour une agence immobilière... voilà, je suis escroc. Tout à fait – et donc maintenant que ma phrase ne suit plus une quelconque forme de pensée cohérente, je vais simplement faire une pirouette stylistique unique en son genre de manière à ce que l'indicent passe totalement inaper HO PUTAIN ATTENTION DERRIERE TOI ! ...à me déplacer dans toute la ville de manière aléatoire mais fréquente.
 Le problème, c'est que j'en deviens la proie idéale aux yeux de ces hyènes vêtues de bleu. Médecin sans frontières, ces jeunes merdeux prétentieux qui passent leur journée en bande à tenter de vous grappiller – soit disant – juste quelques petites minutes. Ces raclures de fond de couilles et leur arsenal de réponses toutes faites, prévues pour chaque cas de figures... Maudits soient-ils !
http://atom-of-the-end.cowblog.fr/images/medecinssansfrontieres.gifJ'ajoute au passage que je n'ai aucun respect pour une organisation quelconque
quand elle fait preuve d'un sens de l'esthétisme aussi navrant

Non mais sérieusement, cette entrée en matière, je la supporte plus « Bonjour, vous avez cinq petites minutes pour Médecins Sans Frontières ? »
Mais putain, ducon, si j'avais cinq minutes – En semaine, ce qui suggèrerais que je suis donc inoccupé - , tu crois que je serais dehors à même pas dix heures du matin ? Et le pire, c'est quand on essaie vainement de leur faire comprendre, avant qu'ils vous barrent le chemin, que vous êtes pressé, et qu'ils cherchent en une fraction de seconde dans leur base de données de bons petits soldats une réplique pour soit vous faire culpabiliser, soit pour tenter d'accrocher un dialogue que vous vous évertuez à tuer dans l'oeuf.
Petites réflexions mesquines à peine masquée par un humour pauvre et stéréotypé, agression verbale dévalorisante à peine voilée, ce n'est pas la tolérance et la compréhension qui les étouffe, ces connards.
D'un côté ce qui m'horripile le plus, outre leur façon de vous accoster, c'est la finalité : Ils ne sont pas là, contrairement à ce qu'ils prétendent, pour vous informer, mais bel et bien pour vous soutirer du fric – J'ajoute par ailleurs que les jeunes filles membres de cette organisation douteuse tentent régulièrement d'user de leurs charmes inexistants (C'est pas parque tu es une femelle que tu es digne d'intérêt) pour établir le contact, un peu à la manière d'une pute.
C'est de la vente brutale et directe, une fois qu'ils vous tiennent, ils ne vous lâchent pas tant qu'ils n'ont pas ce qu'ils attendent, quitte à tenter de vous accompagner au distributeur bancaire le plus proche pour que vous leur éditiez un R.I.B, rien que ça. Et le pire, c'est que j'en rajoute même pas. Non mais c'est quoi ces méthodes de voyous de banlieue ? Sous couvert de s'afficher comme de bons gauchos hippies, ce sont de véritables sangsues aux méthodes infâmes. M'étonnerait pas que les plus fragiles d'entre vous se soient sentis violés après de tels échanges tiens, vu que ces salauds collent autant que le sperme d'un VRP.

 Vous vous dites que si je passe mon temps à les éviter, je ne dois rien savoir de leurs attentes,  que j'extrapole, et pourtant, une fois, ils m'ont coincé, alors que je tentais de traverser la route et que le feu piéton est passé au rouge, à l'heure de pointe... Je dois dire que j'ai un peu hésité entre les écouter et me jeter sous le trafic automobile.
Je m'en suis tiré par la ruse, en promettant de faire un don sous réserve qu'ils m'envoient la documentation nécessaire et l'autorisation de prélèvement, usant du nom et de l'adresse d'un ami que je ne vois pas depuis belle lurette mais qui, pour le coup, se reconnaîtra s'il passe par ici.
Tout ça me fait penser quand même que, finalement, je suis trop parano pour filer n'importe quel info me concernant, car après tout, qu'est-ce qui me prouve qu'il s'agit bien de MSF ? Qui me dit qu'il ne s'agit pas d'escrocs qui se sont confectionnés des uniformes et ont produit de faux documents afin d'extorquer de l'argent aux pigeons qui seraient pr...

Hum.

Je vous laisse, je dois faire de la couture, ouvrir un compte aux Caïmans et éditer des autorisations de prélèvements...


 

Jeudi 2 juillet 2009 à 1:11



Vous le savez, car à force de vous l’enfoncer dans le crâne avec la délicatesse d’un panzerkampfwagen, j’ose espérer que c’est acquis pour mon lectorat : je n’attends pas grand-chose de cette masse difforme qui arpente les recoins de ce monde, et qu’on nomme « le pauvre ». Tous leurs trucs, je les connais. Depuis l’inévitable indien victime du tsunami jusqu’à l’enburkée à genoux psalmodiant « s’i vous plêêêê, pou li z’enfaaaaaants !» au coin de ma rue, depuis l’irremplaçable ivrogne bourré à la villageoise jusqu’au jeune anticapitaliste dreadeux chaussé de rangers de récup’ et d’un treillis, qu’on trouve généralement vautré à côté des distributeurs de billets, du plus affligeant des mutilés de je ne sais quel coin reculé où l’on règle encore (Dieu merci) les conflits à la machette, en passant par le soixante-huitard sur le retour à la calvitie naissante,déchiré à la bavaria 8.6, vous proposant des œuvres originales d’artistes officiant dans une prétendue MJC (œuvres qui s’avèrent être de grossière photocopie bas de gamme qu’un œil pourtant bien mal en point pourrait repérer bien aisément tellement c‘est gros), et ceci sans oublier de cette liste qui ne saurait être exhaustive sans devenir une copie de ma liste noire d’êtres abjectes à abattre quand on se sera décidé à me filer le pouvoir, l’immanquable pseudo-voyageur (sans bagages of course) à qui il ne manque, comme par hasard, qu’un euro cinquante pour son billet de train qui démarre dans une demi-heure, je pense avoir été confronté à ce que la nécessité et la pauvreté offre de plus gratiné.
Pourtant, il existe une nouvelle race de pauvres, mendiants ou affiliés. Il existe un homme qui m’a touché, en faisant appel à la seule chose pour laquelle j’ai un tant soit peu de respect; l’humour.
Toi qui ne lis certainement pas ces lignes parce que ça m’étonnerait que tu disposes d’une connexion internet sous ton pont, je tiens à te rendre un vibrant hommage, car là où tes congénères dépravés ont cédé à la facilité en tentant maladroitement de jouer sur la pitié, tu as opté pour la misère joyeuse.
« Pour le caviar, le champagne, la Ferrari et la maison à St trop’ » affichais tu fièrement sur ta petite pancarte de carton, étendard de ta paresse réjouissante.

http://groumf.info/imageblog/miserejoyeuse.jpg

Lors d‘une  rude  journée de travail à arpenter les rues de Marseille, maudissant ceux qui comme toi se doraient la pilule au soleil dans des vêtements de pouilleux, suintant la vinasse par tous les pores de la peau, il t’a suffit d‘un nouvel appel subtil à la générosité « Il me manque juste un million d’euros pour devenir riche » pour me faire sourire. Pas ce sourire crispé de citadin trop négligeant pour voir une telle force de caractère chez un pauvre clochard de merde, non, ce vrai sourire que j’affiche rarement lorsque je dois affronter la populace sudiste aux âcres relents de transpiration et de mauvais goût affiché.
Si tu inspires la pitié, c’est bien malgré toi. Forcément, on peut pas aussi te demander de bien te saper pour faire la manche, ce serait peut être poussé le culot et l’humour douteux un peu loin. Te laver serait un plus, mais bon.
Non mec, toi t’es là, avec tes fringues à l’arrache, parfois même avec un peignoir aussi miteux qu’un vieux chat, ta binouze à la main, et une clope dont on se demande si elle n’est pas quelque peu agrémentée d’une manière ou d’une autre par quelques herbes aromatipsychotripantes, ce qui expliquerait ta paire de lunette de soleil ne laissant pas deviner si tu as l’air rieur ou défoncé. Avec la classe Dudesque d’un grand Lebowski, ta nonchalance assumée attire, je dois l’admettre, la sympathie, et tes messages pleins d’ironie valent tellement mieux que tous ces discours stridents de crève-la-dalle dont on nous harcèle les tympans toute la journée. Ces tirades plaintives et mensongères ne me font que plus facilement vomir depuis que j’ai croisé ton chemin, toi qui ne te cache guère en nous signifiant par ton manque de sérieux que de toute façon, notre argent étanchera ta soif, et rien d’autre.
Et quelle leçon tu donnes à ces veaux syndiqués, ces retraités, ces salariés anxieux et ces inadaptés pleurnichards adipeux, qui baissent les bras face à la crise, et ne font que se plaindre à longueur de temps de ce qu’ils n’ont pas encore perdu : Leurs emplois, leur fierté, leur argent.
Oui mon ami clodo, contemple du haut de ton j’m’en-foutisme quelle exception tu es, toi que la pauvreté n‘a pas fait sombrer dans la morosité. Non franchement, je te tire mon chapeau. J’irai même jusqu’à dire que parmi toutes ces sous-merdes qui jalonnent nos rues et qu’on pendrait haut et court si la justice des Hommes n’avait pas, depuis belle lurette, fait son coming-out pour devenir une lavette effacée ne cédant plus aussi facilement que par le passé à l’ire de la vindicte populaire, j’ai presque du respect pour toi. Presque. Parce que quand même, c’est pas parce que tu es pauvre que tu dois nous ressortir inlassablement les mêmes cartons. Ils sont drôles, d’accord, mais les rediffusions, ça va cinq minutes.

Par contre c’est pas parce que tu me fais marrer que je te filerai du fric, enculé de pauvre. ‘Faut pas déconner non plus.



(Cet article est dédié à tous les mendiants du monde à qui je ne filerai jamais rien,  d'où qu'ils soient, quoi qu'ils demandent, surtout s’ils déclarent des conneries bien cocasses, sous forme de slogans,  apposées sur des panneaux de merde, dans le but  pour nous soutirer quelque chose.)

Mardi 19 mai 2009 à 0:03


Si on se réfère aux pompes méninges estivaux dont nous à gavé le marasme nauséabond du cinéma ricain pour teenagers abrutis,l’été, c’est un événement plein de bombasse à la plastique parfaite, aux neurones aussi décolorés que leurs chevelures, attisant les convoitises d ‘une bande de crétins imbibés à la bière dont le but est généralement d’organiser des soirées aux dimensions orgiaques pour attirer les femelles susmentionnées.
Dans la réalité, c’est pas tout à fait ça.

Loin de moi l’idée de regretter cet état de fait. Je reproche surtout à la réalité cette non-sélection despotique et génocidaire, qu’elle devrait  pourtant appliquer envers ces humanoïdes qui n’ont rien à envier à la laideur du pou-du-pubis, car depuis des temps immémoriaux, l’été est devenu synonyme du grand déballage annuel de bidoche, et croyez moi, y’a de la viande à l’étalage. Je ne sais pas si on peut blâmer la pompe à vidange omnidirectionnelle cylopique, mais poussé par je ne sais quel modèle à la subtilité épanouie du semi-remorque lancé à contresens sur l’autoroute, la faune humaine jette à nos yeux meurtris les ravages des maux qui rongent les pays développés, l’obésité entre autre, et ce chaque année.
L’été n’est en rien le symbole de vacances, de plage, de soleil, car l’été, c’est une juxtaposition poisseuses de bourrelets dégueulant par-dessus l’élastique d’une jupe trop courte, string apparent remontant au moins jusqu’aux amygdales via le rectum, poitrine remuante et pendante dans un tee-shirt moulant laissant joyeusement se dandiner un nombril dont les replis sont tels que jamais ils n’ont laissés le soleil caresser la poussière qui doit y siéger.
L’été, c’est l’apothéose du mauvais goût et ses couleurs bariolés, ses lunettes grosses comme deux paumes de mains agrippés sur un fond de teint qui dégouline à la surface de coups de soleil.
L’été, c’est une paire de tongs, une armée de pieds puants qui se bagarrent avec des jambes poilus, un short rose, un débardeur nike jaune et une casquette reposant sur ce qui se rapproche le plus du  néant.
L’habit ne fait peut être pas le moine, mais il révèle l’abruti et le laideron, au point de faire perdre toute illusion sur ce qu’on peut trouver sous le mauvais goût affiché par une populasse qui, si on en juge à l’étalage de viande à faire pâlir le boucher d’une grande surface quelconque, a définitivement oublié les limites de l’acceptable. J’irai même jusqu’à dire que cette lente mise à mort pour les pauvres spectateurs que nous sommes est contraire à tous les accords et traités tentant d’abolir la torture. Même durant la guerre, on a rarement fait plus abjecte que ce qu’on nous sert à chaque solstice.
Et comment oublier ces merdes pseudo-musicales beuglant sur leurs téléphones portables (Les écouteurs coûtent trop cher, ou s’agit t-il d’une volonté primale de partage ?) qui pousseraient n’importe quel mélomane au suicide, et qui se multiplient avec l’apparition des températures caniculaires ?
Le problème de l’été, au final, c’est qu’il abat des vieux et quelques nourrissons (ce qui n’est pas un mal à dire vrai, rappelons que les enfants et les vieux sont des fléaux maintes fois évoqués sur ce blog), malheureusement, il est encore trop sélectif… Et le cancer auquel s’expose tout ces connards est encore un remède trop lent à l’épuration nécessaire qu’on devrait opérer au plus vite, pour le bien de tous, et surtout le mien.

Mais l’été ce n’est pas seulement du mauvais goût, du gras, des rythmes synthétisés pourris et des vieux qui calenches, non. L’été, c’est aussi une chute vertigineuse du Q.I collectif, et ce pour une raison qui m’échappe. Non pas que le vulgum pecus nous illumine par son opiniâtre sagacité le reste de l’année, et ça tient peut être à cette volonté farouche de faire preuve du ridicule le plus absolu, mais je le maintiens : de manière général, l’être humain est graduellement plus con à mesure que la température augmente. Je suis conscient de la mauvaise interprétation qu’on peut faire de cette troublante analyse, mais je vous assure que je ne considère pas les  peuples vivant sous les températures les plus extrêmes comme des parfaits crétins, des arriérés, ou que sais-je encore. Pas d’amalgame s’il vous plaît !

Au moins, ça, c’est dit.
 

Vendredi 27 mars 2009 à 0:11




Les lecteurs de ce blog, éclairés par mes écrits, ma ténacité et mon courage, auront vite compris que surgissent de toute part nos ennemis. Loin de le voir comme une fatalité, j'ai décidé de voir l'ennemi, ou "l'obstacle", comme une chance de progrès pour celui qui cherche à s'élever - l'obstacle n'ayant pas grand intérêt lorsqu'on tente de s'enterrer telle une autruche pour ne pas voir sa propre misère intellectuelle. Grâce à moi, nombreux sont les ennemis que vous êtes capables d'identifier. Cela dit, quand on prend un malin plaisir à détester tout le monde, usant des prétextes les plus absurdes comme des clichés les plus durs et les plus répandus pour justifier une telle haine - mais toujours dans la bonne humeur -, des ennemis, il en reste toujours. Avec un peu de bonne volonté, on peut haïr n'importe qui. Les aficionados de ce blog se souviennent des traités de sociologie de l'absurde, qui avaient emboîté le pas à Dictature Scripturale, où j’éructais déjà ma haine de l’autre. Aussi ce pamphlet du jour aura certainement un petit goût de déjà vu, car j’avais déjà fait un sort au Rasta et tout ce qui touche ces cultures chevelus, gardiennes mollassonnes du culte de l’inutilité complaisante et bon marché pour dépravés oisifs.
Pourtant, nous avons bien souvent murmuré son nom en commentaire, usé de son image dégradante pour qualifier un pacifisme surfait pour tarlouzes décérébrées ou une tolérance contradictoire chez mes plus mous mais néanmoins farouches opposants. Nous avons beaucoup parlé des hippies, au point d’en faire l’équivalent de ce qu’est un croque-mitaine ou d’un Mickael Jackson pour un enfant, ou plus généralement, de ce qu’est l’ennemi pour un peuple à la dérive : Un individu/ennemi désigné aux attitudes surexagérées, au physique à la limite de la caricature, un individu qui gangrène l’humanité, et dont les machinations machiavéliques doivent en premier lieu inspirer la crainte, avant de devenir l’élément fédérateur qui sauvera notre peuple de l’asservissement idéologique, voir pire, de l’anéantissement. Viennent donc s’ajouter les hippies à la longue liste de mes ennemis, comprenant déjà les canadiens, les vieux, les pauvres, les guntéïformes, les paysans, les Kevins et autres adolescents suintant l’acné, les mendiants-moignons, les tolérants,  les tibétains, les végétariens, les écolos etc…
Car le hippie, c’est le mal incarné. C’est l’inaction immobile et moralisatrice - paradoxal, non ?- qui pose l’inutile irréfléchi en modèle de maturité et conscience intelligible.

http://groumf.info/imageblog/hippie.jpg(Affiche de propagande anti-hippie, Allemagne, 1930.)

Premièrement, le hippie est généralement atteint de plusieurs tares qui devraient, si le monde dépendait de moi, lui interdire l‘accès à la reproduction : il est écolo ET bien souvent végétarien, et chacun connait la haine farouche que déclenche chez moi ces personnes. Pour ne rien arranger, c’est une lopette pacifiste. Deuxièmement, le hippie est prosélytiste dans l’âme. Il déverse d’innombrables calomnies dans le but d’égarer les esprits faibles, faisant tomber les plus réticents avec drogues et substances qui anéantissent toute faculté de jugement chez son interlocuteur. Ce masque gerbant de pacifisme tolérant n’est qu’une façade pour dissimuler la vérité de l’immense complot qui se trame chez les hippies : La fin de la civilisation et de toute vie comme on la connaît.
Mais comment un individu si insignifiant pourrait influencer notre planète me direz vous ? C’est très simple.
Tout d’abord, par son anti-consumérisme implacable. Le hippie prévoyait, il y’a quarante ans, une crise majeure de l’économie mondiale, et qu’a-t-il fait pour relancer la machine ? A l’instar de tout pauvre qui se respecte, il n’a fait strictement RIEN. Le hippie ne fait jamais rien. Et c’est de la force de son immobilisme qu’il tire toute sa puissance. Car en persistant à ne rien faire, il a, en plus, aggravé la crise économique. Bien sûr, son attitude anti-système ne va pas jusqu’à refuser les aides sociales qui lui permettent d'habiter à l’arrache dans des yourtes plantées en plein champs, qu’il occupe illégalement, se nourrissant pour seulement cinquante euros de légumes par mois, afin de vivre et de donner des leçons qui font de nous des cons supportant le fardeau d’un boulot asservissant que nous détestons, passant à côté des vrais valeurs de la vie. Connards de Hippies. En ne faisant rien pour devenir réellement un marginal, une fois encore, il gagne la partie.
Ensuite, le hippie bien que pacifiste et protecteur des forêts, contribue activement - par son oisiveté - à la déforestation du poumon vert de la planète ainsi qu’au terrorisme international. Car ne rien foutre, pourquoi pas, mais c’est évidemment plus appréciable - et plus supportable - lorsque l’on est totalement défoncé, comme seule une sale sous-merde de hippie peut l’être. Car la drogue, on le sait, finance des groupes armés partout dans le monde qui assoient leur domination sur les régions les plus abandonnées du monde, ou d’innocents civils subissent la lois de barbares obsédés par le pouvoir et l’argent. Si le hippie est pacifiste, par procuration, c’est en réalité l’être le plus malveillant et violent qui soit, et ses mains maculées d’un sang invisible décrédibilise totalement leurs discours de tarlouzes. Sans compter que ce protecteur des espace vert, en appuyant financièrement, avec notre argent, le renforcement des cartels de la drogue, contribue à la déforestation entreprise par les marchants de mort qui pour cultiver plus, gagnent du terrain sur les forêts. Il va s’en dire que tout l’écosystème s’en trouve bouleversé, et du coup, les animaux si chers aux cœurs de ces chevelus crasseux, crèvent comme des merdes. Après personnellement je m’en tamponne de l’écologie, des animaux, et de l’avenir de la planète, c’est juste pour vous faire prendre conscience de la fourberie de ceux qui nous expliquent, dès qu’on leur en donne l’occasion - parce qu’en ce moment c’est tendance les émissions sur les inadaptés sociaux - comment vivre mieux et en complète harmonie avec le monde, en suivant leurs conseils de dégénérés.
Ajoutons que pour consommer sa drogue, le hippie use généralement de feuille pour rouler sa merde. Bien sûr, ils vous répondront utiliser des feuilles de chanvre, ou encore une pipe à eau et ainsi de suite, mais c’est finalement leur seul geste écolo… Si on excepte qu’il contribue au réchauffement climatique en fumant.

C’est un fait, l’oisif chevelu, reconnaissable à son dos bossu, son regard perfide, à ses doigts et son long nez crochus, cherche par tout les moyens à précipiter ce monde dans le chaos, alors qu’il prétend avoir d’excellentes idées et un mode de vie irréprochable pour sauver notre espèce. Haha ! Démasqués, enfoirés de hippies !
Et puis de toute façon, en plus d’être l’instigateur des forces communistes, le hippie en tant que personne, c’est un déchet et puis c’est tout. Le hippie est sale, marche pieds nus pour cultiver les champignons sous ses ongles qu’il espère hallucinogènes, il est mou, tient des propos incohérents, ne bouge pas, joue de la musique de merde sur une guitare mal accordée, accompagné généralement par les même loques que lui, chantant flasquement des chants propagandistes ou tapant sur de petits tam-tam à la con, autour d’un feu de camp. Saloperies de hippies ! Je vous hais ! Je vous hais !

Mardi 17 mars 2009 à 0:59





Alors que le monde entier a les globes oculaires rivés sur ces barbus du moyen-orient, on en oublie trop souvent que comme la vérité, le danger est ailleurs. L’ennemi le plus redoutable n’affiche pas ses belliqueuses ambitions, surtout quand pour les mettre ne pratique il ne dispose que d’andouilles kamikazes (qui plombent en général autant des leurs que d’envahisseurs) et trois enturbannés enculeurs de chèvres perdus dans la montagne, la kalash’ à la main. L’ennemi n’envoi pas des satellites dans l’espace quand Dieu (Les USA) le regarde d’un air de dire qu’il va les envahir pour instaurer une démocratie, des Mc Donald’s, des casinos avec des tables de black-jack et des putes, ainsi que les incontournables pompes à pétrole, bref, tout ce qui fait un état de droit, un état de liberté. L’ennemi est là, il se terre dans l’ombre et attend son heure, comme un joli sida ou un adorable cancer. L’ennemi s’infiltre, séduit, aguiche le client comme une Josianne cachant ses bourrelets dans le latex odorant par une chaude nuit d’été dans le sud de la France.
L’ennemi de l’humanité, dont les machiavéliques ambitions comme la brutalité sournoise des méthodes qu’il emploie et qui font passer le IIIe Reich pour Disneyland,  ce ne sont pas des Musulmans intégristes, ce ne sont pas les lobby Juifs qui font mains basses sur le monde et son économie, ce ne sont pas les organisations souterraines de l’état américain contrôlant soi disant tout,  ce ne sont pas les chinois non plus… Mais alors, qui ? Te demandes-tu, frémissant petit lecteur. Et bien je vais te le dire, pauvre larve naïve. Ne le vois-tu pas ? Es-tu donc à ce point si bête ?
L’ennemi, celui qui héritera de la terre quand il nous aura tous massacré, et dont le pays fut découvert en 1534;  l’ennemi, qui puise ses origines chez nos ancêtres explorateurs et colonialistes Français; l’ennemi, fruit de relations incestueuses entre anglais, français et caribou… L’ennemi, c’est le Canada ! Bordel de merde !

http://groumf.info/imageblog/canada.jpg

Mais n’avez-vous donc rien vu ? Inconscients ! Fous que vous êtes !
Celine Dion ! Garou ! Natasha(te) St-Pierre ! Ne sont-ce pas là les signes annonçant l’apocalypse imminente ?
Comment des êtres sortis tout droit de la bouche de l’enfer pourraient-ils être autre chose que l’œuvre de la déraison ?
Ces expressions, cet accent reconnaissable entre mille, n’est-ce pas là le sigle de ralliement d’êtres maléfiques ? Combien d’entre nous sont tombés aux mains de ce culte immonde en propageant cette culture ?
Et le caribou ? Est-ce-là une créature de Dieu, où l’immonde progéniture d’une fornication contre nature ? Je ne vous parlerai pas du castor, ni même de l’ornithorynque. Oui oui, parfaitement, l’ornithorynque… Fous que vous êtes ! L’ornithorynque est un hideux croisement entre un castor et un canard, créé par les Canadiens dans le but d’envahir le monde. Les moyens rudimentaires de l’époque ne permirent pas de créer Avril Lavigne comme c‘était prévu à l‘origine, mais à force de persévérance, en croisant les mêmes membres d’une famille de canards et de castors indéfiniment avant d‘y ajouter de la semence de Garou, les canadiens arrivèrent à leur fin. Bref, il y’a bien longtemps, l’ornithorynque fut donc offert aux australiens, eux-mêmes adeptes de relations incestueuses avec des animaux étranges (Kangourous, Koalas, Paul Hogan, Bushmen…) Bref.
Tout indique une volonté de semer le trouble, chez le canadien. Ceux d’entre nous qui auront tenté d’enduire l’intérieur d’une crèpe avec ce diabolique produit canadien qu’est le sirop d’érable le savent mieux que personne. Quelle créature peut manger convenablement une substance incapable de rester à l’intérieur de sa crèpe, sans vouer son âme à Satan ? Quel humain normalement constitué en aurait le pouvoir ? Qui, sinon celui là même qui le créa ? Qui, sinon le canadien, dont on peut entendre le rire perfide à chaque goûte perdue s’éclatant dans un soupir sur le rebord de votre assiette et dans laquelle vous poserez la manche de votre chemise propre…
Mais la fourberie des canadiens ne s’arrêtent pas à d’étranges expériences culinaires et génétiques ratées, et leur plan de conquête ne se limite pas aux chanteurs exaspérant tentant de nous pousser au suicide, non. Ce serait sous-estimer ce peuple barbare.
Le Canada est également présent dans le cinéma. Qui, sinon une société canadienne, pouvait produire des longs métrages sur les Bisounours, afin de ramollir nos jeunes bambins, garants de notre sécurité à venir, et ainsi anéantir toute résistance future en transformant de futurs soldats en tarlouzes hippies pacifiste ?
Qui, sinon les canadiens, pouvaient produire le film « ExistenZ», afin d’instaurer chez leurs ennemis la peur des nouvelles technologies et ainsi, nous empêcher de nous documenter sur ces contrées diaboliques ? N’était-ce pas là l’ébauche d’un plan de propagande de grande ampleur, afin de garantir au Canada le contrôle total sur ce qui se dit sur ce pays ? D’ailleurs, rien ne filtre sur le Canada… A en croire ce qu’on glane sur internet, il s’agit en apparence tout du moins, d’un pays presque respectable, si on ne prête pas attention aux détails.
Bien sûr, une résistance farouche tentera bien de nous avertir avec le dessin animé long métrage « Metal Hurlant : La machine à rêver », mais la force de son message restera  à jamais enfoui sous les énormes protubérances mammaires de ces plantureuses créatures féminines jalonnant ce bijoux unique en son genre.

Cette peuplade, ce pays, oublié de Dieu et des hommes, attend patiemment son heure, et les êtres immondes qui l’habitent, unis par un seul et même esprit dictant à chacune de ses artères sa volonté, feint l’amitié avec les autres peuples, mime le pacifisme pour mieux nous abuser, et tandis que nous nous endormons, sagement, sans aucune crainte, le Canada continue de faire tourner les rouages de sa pernicieuse machination. Il est peut être déjà trop tard. Qui sait, il y’a peut être un Canadien sous votre lit, ou dans votre entourage. Prenez garde, amis lecteurs. Ils sont là. On pourrait faire semblant, mais c’est un fait. Les canadiens existent bel et bien.


 

Mercredi 7 janvier 2009 à 22:35



On dira encore que je suis un vieux con avant l’âge, mais n’empêche que ça va trop loin ces conneries.  Nous autres, honnêtes citoyens, n’avons que trop enduré les exactions militantistes de groupuscules syndicalistes de tous poils. Une fois encore, on paralyse ceux qui veulent s’en sortir, ceux qui travaillent sans rien demander à personne. Fallait-il que je me lève en cette triste journée, pour affronter, en plus des tracasseries quotidiennes, les affres des blocus dont sont responsables une tripotée de démons cégétistes ?http://atom-of-the-end.cowblog.fr/images/SPMA0003-copie-2.jpg Aujourd’hui, la ville de Marseille était une fois de plus quasi-paralysée. Les raisons de ce blocus sont, comme à l’accoutumée, obscures, hésitantes. On ose, mais pas trop. Les premiers touchés sont les gens comme vous et moi, victimes d’une prise d’otage au milieu d’un conflit qui ne nous concerne pas. Pris en otage ! Exactement ! Osons le terme. Rues impraticables, transports publiques inexistants, petits commerces et grandes enseignes pour la plupart fermées… Un seul mot pourrait qualifier ceci : Le chaos.
Impensable, en plein milieu de la semaine, mais c’est pourtant ce jour là qu’ont choisi ces manifestants pour ouvrir leurs sales gueules habituellement si pleines de bons mots et de slogans enflammés, chantant de concert des hymnes d’une qualité au dessus de tout soupçon sur des rythmes à faire pâlir Ray Charles et James Brown réunis (Faire un pâlir un afro-américain n’est pourtant pas chose aisée), avant d’entamer un baroud d’honneur en scandant « l’internationale »…
Biens condescendants sont ceux d’entre vous qui « les comprennent » et les soutiennent dans leur lutte, mais ce n’est  pas mon cas. Ca ne tiendrait qu’à moi, on aurait ramassé cette bande de faignasses avant d’envoyer tout ça dans un four ! Exactement.
Non parce que ce matin, cent cinquante millions de milliards puissance cent milliards de putain de flocons de neiges de merde selon les organisateurs, la moitié selon la police, ont décidé de paralyser la cité phocéenne, nous sommes, nous autres braves citoyens, les esclaves du péril rouge… Enfin blanc dans le cas précis.
 
http://atom-of-the-end.cowblog.fr/images/SPA0656.jpgL'avenue du Prado à Marseille, en proie au chaos. Observez la panique générale qui s'empare du centre ville

Et les jeunes ? Quelqu’un a-t-il pensé aux jeunes ? Ha bien sûr, ils sont les premiers à grossir les rangs de n’importe quelle manifestation tant que ça leur permet de croire qu’ils disposent d’une conscience politique développée et d’un avis éclairé sur une sujet dont-ils ne naissent rien, et le pire, c’est qu’ils en sont content ! Fallait les voir, au milieu des flocons ! Insouciants ! Et votre avenir bande de sous merdes ! Y avez-vous pensé seulement une seconde ! Non quelle idée. Et ce qui me met hors de moi, c’est qu’évidemment, ils avaient l’aval du ministère de l’éducation nationale qui décida de fermer les établissement scolaire, certainement apeurée par cette foule grandissante !

Voici le vrai visage de la France, la loi du nombre ! Honteux !
En cette période de crise, ce qu’il faut, c’est se retrousser les manches, pas sombrer dans le misérabilisme en demandant aux autres de régler le problème mais sans rien toucher  à ce qui existe aujourd’hui même si on admet bien volontiers qu’effectivement, la situation actuelle c’est de la merde. Il faut galvaniser le peuple, pas le conduire à penser en termes de révolutions chimériques aux allures de pet de lapin, car demain, tout sera oublié, tout aura fondu, dissous dans les abîmes du quotidien. C’est bien beau de tomber comme ça sans crier gare, de foutre sa merde, et de se barrer la queue entre les jambes ! Cela dit, à voir autant d’efficacité sur le long terme, on comprend la crainte de tels mollusques pour leur avenir. C’est rassurant, de voir des choses inutiles marquées du sceau de l’éphémère.
Mais rebellez vous un peu bordel de merde ! Du sel la dessus et on parle plus. Qu’on leur explose la gueule à tous ces cons ! Au four bordel à cul ! AU FOUR ! (En plus la neige a cet avantage de fondre facilement à haute température et de ne pas laisser trace de son passage, ça pourrait éviter des emmerdes et des procès pour génocide.)

http://atom-of-the-end.cowblog.fr/images/SPMA0004.jpg(Le mot de la fin, comprenne qui pourra)
 

Vendredi 12 décembre 2008 à 19:53





Je pense que les
néophytes comme les anciens lecteurs l’auront compris, je hais beaucoup de chose. Ce qui leur échappe souvent, c’est que cette haine se veut avant tout humoristique, ou mon humour se veut haineux, peu importe, l’un ne va pas sans l’autre. Mais voyez vous, il y’a quelque chose que je hais profondément, et réellement… Sans rire.
S'il y'a bien une personne, pour qui j'éprouve une haine sans bornes (en dehors des
hippies) c’est cet espèce de malade mental qui, un jour, devant son ordinateur, trouva qu’il serait de bon ton de créer une encyclopédie gratuite accessible à tous sur le net, et à laquelle chacun pourrait participer. Outre son côté fourre tout à informations parfois sujettes à caution et son aspect gentiment utopique qui veut que l’Homme partage sa connaissance quand on sait qu’il a surtout tendance à partager sa connerie, Wikipedia, c’est un instrument de torture. Le MAL à l’état brut. Wikipedia, c’est un truc dont se servent les chinois pour torturer les tibétains.
Non mais sérieusement, vous y êtes tous allé au moins une fois sur cette
merde ? De nos jours, si vous avez une question qui vous obsède, inutile de demander à un proche ou d’ouvrir un bouquin. Souvenons nous que Google et notre ami, et que Wikipedia est le sien.
Et c’est là, à cet instant précis, que tout bascule. Tu pénètres
Wikipedia (très fort), et tu entames la lecture de l’ultime réponse, tu la bois comme du nectar tellement c’est complet (et pompeux), arrivé à la deuxième ligne, tu tombes sur un mot bleu, surligné, qui te mène, lui, à un autre article. Ceci s’appelle un lien. Et puisque si tu lis l’article de départ, c’est bien pour te documenter d’une façon complète sur un sujet dont tu ignores tout, tu te dis donc que ce mot linké doit bien te déverrouiller une notion (Un pouvoir spécial de niveau supérieur quoi) qui te permettra d’accéder à la connaissance, une clef, qui te permettra de reprendra la lecture de ton article afin d’arriver au terme de ta quête. Tu lis donc le nouvel article avant de continuer le premier, qui te pose les bases d’un mot ou d’un concept étranger. De toute façon il n’y a qu’une dizaine de lignes. Tes points de connaissance ayant considérablement augmentés, tu t’en retournes affronter le sujet principal de tes interrogations.

Tu reprends tranquillement la lecture là où tu t’étais arrêté, et dix lignes plus loin, tu tombes à nouveau sur un
lien qui te mène vers un nouvel article… Celui là, tu décides de passer outre, mais tu t’aperçois, en continuant ta lecture, que la suite de la phrase fait directement référence à l’article que tu as refusé de lire, alors tu ouvres un nouvel onglet, pour déverrouiller de nouvelles capacités… Le calvaire ne fait que commencer, car contrairement au premier lien, ce lien mène à un article aussi complet que l’article principal, et il y’a tout plein de liens dans celui-ci aussi. Au bout de deux heures, tu as consulté tous les liens de ce nouvel article, ainsi que les articles linkés dans ceux préalablement linkés. Après avoir bien digéré toutes ces informations, tu retournes lire l’article du début, qui va répondre à ta question. Tu refermes donc tous tes onglets, excepté le tout premier. Ca fait trois heures que tu es la dessus, et de ta grande réponse, tu n’as seulement assimilé que les dix premières lignes. Treizième ligne, tu tombes sur un nouveau lien. Tu commences à t’automutiler au tesson de bouteille.
Après une crise de nerf digne d’une
femme sous anabolisant un jour de soldes, tu entames donc la lecture de ces nouvelles données, afin d’être certain de pouvoir bien comprendre tout ce qu’on te dit dans le premier article, parce que tu voudrais pas rater cette chance unique de connaître la vérité, d’accéder à la connaissance. Une nouvelle fois, un nouvel article complet, bourré de liens qui mènent à d’autres articles tout aussi complet et tout aussi farcis de liens. Après avoir ouvert deux milles six cent quarante sept liens et en avoir intégré le contenu, tu t’en retournes à ton premier article. Vingt quatre heures se sont écoulées. Tu as lu treize lignes. Et trois mots plus loin tu retombes sur un nouveau lien. Tu envisages sérieusement le suicide comme alternative à ton problème. Et s’en suit à nouveau une série d’articles, de liens, d’articles, de liens et ainsi de suite. Après l’ouverture d’environ quatorze mille huit cent cinquante trois liens et à peu près autant d’articles (de tailles variables) consultés, soixante douze heures se sont écoulées. Ta famille te croit disparu, tes amis te pensent mort, ta petite ami te croit volage et infidèle même. Toi, tu es devant ton ordinateur, le regard terne, tu sens mauvais, tu allumes le filtre brûlé d’une cigarette, le même depuis douze heures environ. Devant toi, une page internet, une multitude d’onglets ouverts dans ton navigateur. Tu n’as toujours pas la réponse à ta question, d’ailleurs, tu ne sais même plus sur quel sujet tu te documentais à l’origine. Ton cerveau, surchargé par le poids de tant de connaissance absorbée aussi vite et sans interruption, à fondu et perdu la moitié de ses capacités. Et c’est psychologiquement brisé par des heures de tortures que tu retournes enfin à la vie réelle, où rien ne sera jamais plus comme avant.

 
 
 
 
(Attention, de terribles et machiavéliques liens wikipediesques se sont glissés dans cet article dans le but de vous égarer. Ne consultez surtout pas les mots en gras)
 
 
 
 




Mercredi 3 décembre 2008 à 19:26


Bon, les esprits les plus aiguisés (enfin les lecteurs qui se fadent du Nounours depuis pas mal de temps) remarqueront sans doute que depuis avril, Bonne nuit les petits au far-west reste inachevé, qu'ils se rassurent, la suite viendra (un jour ... vous êtes plus à quelques mois près). En attendant, voici un nouvel épisode, en une planche. Alors comme d'habitude, on ferme sa gueule, on admire et on se marre.


http://groumf.info/imageblog/metrop1.jpg



Mercredi 19 novembre 2008 à 20:50




Il y'a quelques temps déjà, j'introduisais, par une brillante et machiavélique démonstration, cette juste idée qui dit que le pauvre est responsable de tout. En cette époque troublée par la crise, il faut se serrer les coudes (pas trop quand même) et détester le premier groupe d'individus qu'on balancera à notre vindicte toute populaire au point de vouloir les massacrer jusqu'au dernier, en attendant que les choses se tassent, ou qu'elles aillent trop loin (Hans ! Helmut ! Sigfrid ! Rangez ces barbelés tout de suite !).
C'est dit, c'est écrit, c'est adopté,
le pauvre est responsable; mais ce serait sous-estimer la haine que j'éprouve envers mon prochain si vous pensez que je ne vais pas profiter de cette situation qui perdure pour trouver un autre ennemi et lui cracher mon fiel, avant de vous convaincre, une fois encore, de vous défouler vous aussi sur des gens qui n'avaient rien demandé à personne, du moins en apparence.

Ho oui, les salauds, c'est ce qu'ils veulent nous faire croire, qu'ils sont bons et bienveillants, à s'inquiéter pour le destin du monde et des générations futures. Oui je sais, mais je vous le jure, c'est la dernière fois que je m'en prends aux écolos. Sous couvert de préserver la planète en économisant l'énergie, les écolos veulent avant tout ruiner la civilisation, afin d'instaurer un âge où, de manière autarcique, chacun assurera sa survie. Car sous le masque de la bienveillance se cachent des organisations terroristes écologistes qui ne reculent devant rien pour imposer leurs idées par la force. José Bové n'est que la partie émergée de la moustache...

Car qui, qui de nos jours, peut survivre en cultivant la terre sans pesticide, ni pétrole pour les machines agricoles, si ce n'est ces immondes bobos cultivant leurs légumes déformés par le manque d'OGM ? A qui profite l'éradication de la civilisation ? Posez vous la question. Les péquenots ? Les consanguins des champs sur leur tracteur, imbibés de vin fait maison à coup d'antigel ? Même eux, ne sont plus à l'abris.

Vous ne trouvez pas ça bizarre vous ? Car si demain, le pétrole disparaît, si le nucléaire s'arrête, les écolos peuvent survivre et prospérer, tandis que nous autres, modestes humains qui n'avons pas les moyens de nous offrir une toiture en panneaux solaires, nous serons condamnés à voir nos box ADSL définitivement éteintes... 
Ils ne pensent pas à préserver les générations futures, c'est pas pur égoïsme et soif de pouvoir qu'ils entreprennent toutes ces démarches. Pensant que leur cause rencontrerait un franc succès, ils se sont tenus tranquille quelques années, mais petit à petit, ils ont enfin pigé : S’ils veulent que tout le monde vivent comme eux, il faudra nous y forcer. C’est ainsi qu’est né le terrorisme écolo.

 Dans un premier temps, ils ruinent les diverses industries tel que le nucléaire et la pétrochimie (Le vélib' est un bel exemple de terrorisme anti-pétrole ainsi que le signe ostentatoire d'une volonté manifeste de nuire à l'économie). La seconde étape du plan consiste à faire peur avec le méchant réchauffement climatique, l'obésité, le cancer, les OGM, les vilaines grandes enseignes de distribution qui vous vendent des produits néfastes pour la santé à des tarifs prohibitifs (on glisse ainsi sur la double vague santé publique / pouvoir d'achat ); on fait naître ainsi l'idée que le bio, c'est bien, que le vélib', c'est bien, que les OGM, c'est mal, ça fait grossir et ça file le cancer (oui il faut avouer que les néophytes écologistes ne sont pas spécialement intelligents), que l'obésité va tous nous tuer et qu'il faut manger léger et plus naturel pour crever moins vite. Personnellement je ne vois pas l'intérêt de vivre plus vieux si c'est pour faire constamment attention à mon régime, ma planète et mon prochain. Sont cons ces écolos. Enfin bref.

Le troisième point de cette campagne est à mon sens le pire de tous, car comment intégrer dans les esprits des veaux que le réchauffement climatique n'est pas une fiction (alors que c'en est une) et qu'il trouve avant tout sa naissance dans notre mode de vie (de la même manière que les dinosaures rejetaient trop de CO² et que c'est comme ça qu'ils sont morts : que les erreurs du passé nous servent de leçon bordel !) ? Il suffit d'affirmer par des documentaires mensongers que la température est montée mondialement, que la banquise fond et que les phoques vont mourir (qu'est ce qu'on s'en fout des phoques, si on a pas le droit de les tabasser pour leur piquer leur fourrure, je vois pas l'intérêt de les sauver). Mais ce discours tenu par les écolos de tout poil durant 30 ans n'a convaincu personne. Ils ont alors envisagé le pire stratagème. Ils ont formés des scientifiques écolos afin de faire constater au monde que la température avait bien augmenté. Ils ont réalisés des documentaires sur la banquise en été et ont ensuite prétendu avoir filmé ça en pleine hiver (raaah les ordures), ils sont même allés jusqu'à créer Al Gore (Fumiers d'écologistes)...
Bien évidemment, ils se sont rapidement rendus compte que si l'on venait à vérifier réellement l'impact du réchauffement, la supercherie serait éventée. A la manière de témoins de Jéhovah soutenues par des médias en mal de sujets qui font flipper, les écolos ont recruté en masse, et envoyé des centaines de milliers d'entre eux sur la banquise pour... copuler avec les pingouins (Oui ou entre eux, c'est possible aussi, l'écolo n'est pas nécessairement QUE zoophile, il aime AUSSI les humains).
La chaleur ainsi dégagée provoque une réelle fonte des glaciers, car seul l'énergie sexuelle dégagée en un point précis de la banquise peut faire fondre tout ça et réchauffer le climat.

http://groumf.info/imageblog/globalwarming.jpg
( Les véritables causes du réchauffement climatique )

Cette explication est la seule valable. Il est facile de se laisser séduire par les théories farfelues d’une bande de hippies bouffeurs de légumes, mais il faut ouvrir les yeux : L’annihilation de nos valeurs, de notre économie, de notre monde, verra l’avènement d’un ordre dominé par une bande d’inconscients écologistes qui n'ont cessé de nous manipuler pour détruire notre écosystème.
Notre mode de vie n’a jamais eu le moindre impact sur la planète car le simple fait de foutre la planète en l’air va à l’encontre des intérêts capitalistes de l’ensemble de la grande majorité des pays développés, et un monde capitaliste ne se tirerait pas une balle dans le pied. On est pas con à ce point là.
Qui donc, avait intérêt à détruire tout ça ? Qui, à part les écolos, que nous n'avons cessé de railler pour leurs convictions absurdes, voudraient plus que tout prouver qu'ils ont raison, quitte à détruire ce qu'ils prétendent défendre ?
Mais maintenant vous connaissez la vérité, vous savez le danger que représentent ces individus. L'avenir est entre nos mains. Il n'appartient qu'a chacun de faire un petit effort quotidien pour sauvegarder nos ressources, un geste simple, qui ne prend que cinq minutes, et qui n'est pas cher payé pour préserver notre monde. Chaque jour, prenez cinq minutes pour tuer un écologiste de la manière la plus lente et la plus douloureuse qui soit, afin d'éradiquer cet horrible fléau de la surface du globe.


Car chacun d'entre nous, à son niveau, peut faire quelque chose pour la planète.
 









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