Alors que le monde entier a les globes oculaires rivés sur ces barbus du moyen-orient, on en oublie trop souvent que comme la vérité, le danger est ailleurs. L’ennemi le plus redoutable n’affiche pas ses belliqueuses ambitions, surtout quand pour les mettre ne pratique il ne dispose que d’andouilles kamikazes (qui plombent en général autant des leurs que d’envahisseurs) et trois enturbannés enculeurs de chèvres perdus dans la montagne, la kalash’ à la main. L’ennemi n’envoi pas des satellites dans l’espace quand Dieu (Les USA) le regarde d’un air de dire qu’il va les envahir pour instaurer une démocratie, des Mc Donald’s, des casinos avec des tables de black-jack et des putes, ainsi que les incontournables pompes à pétrole, bref, tout ce qui fait un état de droit, un état de liberté. L’ennemi est là, il se terre dans l’ombre et attend son heure, comme un joli sida ou un adorable cancer. L’ennemi s’infiltre, séduit, aguiche le client comme une Josianne cachant ses bourrelets dans le latex odorant par une chaude nuit d’été dans le sud de la France.
L’ennemi de l’humanité, dont les machiavéliques ambitions comme la brutalité sournoise des méthodes qu’il emploie et qui font passer le IIIe Reich pour Disneyland, ce ne sont pas des Musulmans intégristes, ce ne sont pas les lobby Juifs qui font mains basses sur le monde et son économie, ce ne sont pas les organisations souterraines de l’état américain contrôlant soi disant tout, ce ne sont pas les chinois non plus… Mais alors, qui ? Te demandes-tu, frémissant petit lecteur. Et bien je vais te le dire, pauvre larve naïve. Ne le vois-tu pas ? Es-tu donc à ce point si bête ?
L’ennemi, celui qui héritera de la terre quand il nous aura tous massacré, et dont le pays fut découvert en 1534; l’ennemi, qui puise ses origines chez nos ancêtres explorateurs et colonialistes Français; l’ennemi, fruit de relations incestueuses entre anglais, français et caribou… L’ennemi, c’est le Canada ! Bordel de merde !
Mais n’avez-vous donc rien vu ? Inconscients ! Fous que vous êtes !
Celine Dion ! Garou ! Natasha(te) St-Pierre ! Ne sont-ce pas là les signes annonçant l’apocalypse imminente ?
Comment des êtres sortis tout droit de la bouche de l’enfer pourraient-ils être autre chose que l’œuvre de la déraison ?
Ces expressions, cet accent reconnaissable entre mille, n’est-ce pas là le sigle de ralliement d’êtres maléfiques ? Combien d’entre nous sont tombés aux mains de ce culte immonde en propageant cette culture ?
Et le caribou ? Est-ce-là une créature de Dieu, où l’immonde progéniture d’une fornication contre nature ? Je ne vous parlerai pas du castor, ni même de l’ornithorynque. Oui oui, parfaitement, l’ornithorynque… Fous que vous êtes ! L’ornithorynque est un hideux croisement entre un castor et un canard, créé par les Canadiens dans le but d’envahir le monde. Les moyens rudimentaires de l’époque ne permirent pas de créer Avril Lavigne comme c‘était prévu à l‘origine, mais à force de persévérance, en croisant les mêmes membres d’une famille de canards et de castors indéfiniment avant d‘y ajouter de la semence de Garou, les canadiens arrivèrent à leur fin. Bref, il y’a bien longtemps, l’ornithorynque fut donc offert aux australiens, eux-mêmes adeptes de relations incestueuses avec des animaux étranges (Kangourous, Koalas, Paul Hogan, Bushmen…) Bref.
Tout indique une volonté de semer le trouble, chez le canadien. Ceux d’entre nous qui auront tenté d’enduire l’intérieur d’une crèpe avec ce diabolique produit canadien qu’est le sirop d’érable le savent mieux que personne. Quelle créature peut manger convenablement une substance incapable de rester à l’intérieur de sa crèpe, sans vouer son âme à Satan ? Quel humain normalement constitué en aurait le pouvoir ? Qui, sinon celui là même qui le créa ? Qui, sinon le canadien, dont on peut entendre le rire perfide à chaque goûte perdue s’éclatant dans un soupir sur le rebord de votre assiette et dans laquelle vous poserez la manche de votre chemise propre…
Mais la fourberie des canadiens ne s’arrêtent pas à d’étranges expériences culinaires et génétiques ratées, et leur plan de conquête ne se limite pas aux chanteurs exaspérant tentant de nous pousser au suicide, non. Ce serait sous-estimer ce peuple barbare.
Mais la fourberie des canadiens ne s’arrêtent pas à d’étranges expériences culinaires et génétiques ratées, et leur plan de conquête ne se limite pas aux chanteurs exaspérant tentant de nous pousser au suicide, non. Ce serait sous-estimer ce peuple barbare.
Le Canada est également présent dans le cinéma. Qui, sinon une société canadienne, pouvait produire des longs métrages sur les Bisounours, afin de ramollir nos jeunes bambins, garants de notre sécurité à venir, et ainsi anéantir toute résistance future en transformant de futurs soldats en tarlouzes hippies pacifiste ?
Qui, sinon les canadiens, pouvaient produire le film « ExistenZ», afin d’instaurer chez leurs ennemis la peur des nouvelles technologies et ainsi, nous empêcher de nous documenter sur ces contrées diaboliques ? N’était-ce pas là l’ébauche d’un plan de propagande de grande ampleur, afin de garantir au Canada le contrôle total sur ce qui se dit sur ce pays ? D’ailleurs, rien ne filtre sur le Canada… A en croire ce qu’on glane sur internet, il s’agit en apparence tout du moins, d’un pays presque respectable, si on ne prête pas attention aux détails.
Bien sûr, une résistance farouche tentera bien de nous avertir avec le dessin animé long métrage « Metal Hurlant : La machine à rêver », mais la force de son message restera à jamais enfoui sous les énormes protubérances mammaires de ces plantureuses créatures féminines jalonnant ce bijoux unique en son genre.
Cette peuplade, ce pays, oublié de Dieu et des hommes, attend patiemment son heure, et les êtres immondes qui l’habitent, unis par un seul et même esprit dictant à chacune de ses artères sa volonté, feint l’amitié avec les autres peuples, mime le pacifisme pour mieux nous abuser, et tandis que nous nous endormons, sagement, sans aucune crainte, le Canada continue de faire tourner les rouages de sa pernicieuse machination. Il est peut être déjà trop tard. Qui sait, il y’a peut être un Canadien sous votre lit, ou dans votre entourage. Prenez garde, amis lecteurs. Ils sont là. On pourrait faire semblant, mais c’est un fait. Les canadiens existent bel et bien.
Qui, sinon les canadiens, pouvaient produire le film « ExistenZ», afin d’instaurer chez leurs ennemis la peur des nouvelles technologies et ainsi, nous empêcher de nous documenter sur ces contrées diaboliques ? N’était-ce pas là l’ébauche d’un plan de propagande de grande ampleur, afin de garantir au Canada le contrôle total sur ce qui se dit sur ce pays ? D’ailleurs, rien ne filtre sur le Canada… A en croire ce qu’on glane sur internet, il s’agit en apparence tout du moins, d’un pays presque respectable, si on ne prête pas attention aux détails.
Bien sûr, une résistance farouche tentera bien de nous avertir avec le dessin animé long métrage « Metal Hurlant : La machine à rêver », mais la force de son message restera à jamais enfoui sous les énormes protubérances mammaires de ces plantureuses créatures féminines jalonnant ce bijoux unique en son genre.
Cette peuplade, ce pays, oublié de Dieu et des hommes, attend patiemment son heure, et les êtres immondes qui l’habitent, unis par un seul et même esprit dictant à chacune de ses artères sa volonté, feint l’amitié avec les autres peuples, mime le pacifisme pour mieux nous abuser, et tandis que nous nous endormons, sagement, sans aucune crainte, le Canada continue de faire tourner les rouages de sa pernicieuse machination. Il est peut être déjà trop tard. Qui sait, il y’a peut être un Canadien sous votre lit, ou dans votre entourage. Prenez garde, amis lecteurs. Ils sont là. On pourrait faire semblant, mais c’est un fait. Les canadiens existent bel et bien.