N’allez pas croire, c’est pas parce que, très exceptionnellement, je mets une tranche de vie en B.D que je vais devenir une de ces tarlouzes de bloggeur bédéiste qui nous narre sa vie affligeante (Je suis dur, y’en a quand même que j’aime beaucoup, genre Boulet, lui il troue e cul, et puis y'a aussi…Heu…ouais pleins d’autres quoi).
Toujours est-il que parfois, il vous arrive un truc anodin dans votre routine monotonique, et que ça vous donne des idées. Si vous êtes comme n’importe qui, ça ne vous servira à rien, mais si vous êtes quelque un comme moi, le simple fait qu’on vous offre un micro-ondes peut, par effet boule de neige, vous fournira matière à produire un texte, ou dans le cas précis, une B.D.
Pour ce qui est du titre, je récupère plus ou moins l’idée du contenu d’un de mes commentaires laissé chez Satyrikkk, sur un de ses articles qui traitait également de l’appareil qui me sert de sujet aujourd’hui. On peut voir ça comme de la paresse (C’est le cas) ou comme du recyclage (J’ai la fibre écolo finalement), ou comme une tentative désespérée de se branler l’ego en vous montrant à quel point je suis amateur (et surtout auteur) de bons mots, au point de vouloir en faire profiter tout le monde à n'importe quel prix. Je sais, c'est triste.
Toujours est-il que parfois, il vous arrive un truc anodin dans votre routine monotonique, et que ça vous donne des idées. Si vous êtes comme n’importe qui, ça ne vous servira à rien, mais si vous êtes quelque un comme moi, le simple fait qu’on vous offre un micro-ondes peut, par effet boule de neige, vous fournira matière à produire un texte, ou dans le cas précis, une B.D.
Pour ce qui est du titre, je récupère plus ou moins l’idée du contenu d’un de mes commentaires laissé chez Satyrikkk, sur un de ses articles qui traitait également de l’appareil qui me sert de sujet aujourd’hui. On peut voir ça comme de la paresse (C’est le cas) ou comme du recyclage (J’ai la fibre écolo finalement), ou comme une tentative désespérée de se branler l’ego en vous montrant à quel point je suis amateur (et surtout auteur) de bons mots, au point de vouloir en faire profiter tout le monde à n'importe quel prix. Je sais, c'est triste.