Il arrive, assez fréquemment je dois dire, que ma femme et moi-même déambulions dans une grande enseigne de jouets pour enfant, généralement pour assouvir notre passion dévorante pour les figurines de super-héros - ou simplement pour satisfaire mon besoin irrépressible de frapper des animaux en peluches – mais toujours est-il que nous nous prenons à flâner dans des rayons qui n’ont à priori rien d’attrayant et pourtant, ce plaisir coupable répond à une curiosité grandissante pour ces générations qui semblent s’engluer toujours plus loin dans la plus abjecte stupidité… Ces incursions dans le monde merveilleux du matérialisme juvénile et des nez qui coulent sont un moyen de répondre à cette grande question : Pourquoi ?
Il apparaît évident que les affres de la consanguinité où même le faible potentiel génétique du vulgus pecum n’ont pas suffit , en quelques décennies seulement, à créer une espèce hybride si semblable à l’Homme mais dont le cerveau semble faire un bond spectaculaire en arrière. Ce serait trop simple, et ça reviendrait à faire la part belle à l’eugénisme dont je suis un fervent pourvoyeur - Hahaha on y croit -
Je pense que la régression générale est à mettre sur le compte d’un faible épanouissement de l’enfant. Je pense qu’on massacre les neurones de nos répliques miniatures avec des jouets idiots qui ne donnent pas envie d’aller au-delà des barrières liées à l’hérédité et de surpasser leur condition de sous-merde. On ne donne pas aux enfants l’envie de réussir leur vie, et j’en veux pour preuve : John World.
John World est l’archétype du jouet de merde qu’on refile au fils de prolo pour calmer ses rêves idiots plus vite que ne le fera l’éducation nationale, à l’âge où il se met à débiter des absurdités du genre que quand il sera grand, il sera astronaute, pilote de F1, médecin, écrivain à succès ou dessinateur - Oui je sais, cette profession n’a rien de reluisant, mais c’est pour vous montrer à quel point les enfants sont stupides - et que sais-je encore.
Outre l’évidente vague notion de la merde financière dans laquelle se trouvent ses parents qui lui dicte d’orienter sa carrière là où l’on amasse le plus de caillaisse, l’enfant manifeste un désir inconscient et profond de s’éloigner du modèle parental afin de pouvoir rompre toute relation un jour avec ce passé. Conscient alors d’avoir enfanté le démon, notre éboueur ou notre plombier au chômage verra en sa progéniture un rival, un « Homo Superior » dont le potentiel doit être tuer dans l’œuf s’il veut que sa lignée perdure en l’état - C’est qu’on plaisante avec le patrimoine génétique et un patronyme familial à la con quand on ne possède rien d’autre et qu’on est une grosse merde - et c’est là que John World intervient. Raaaah John World ! JOHN WORLD !
John World est un pauvre connard syndiqué qui exerce les métiers dont les dépositaires du droit du sol depuis plus de cinq générations ne veulent depuis qu’ils ont découvert le bon côté de l’immigration. John World est une expansion du syndrome Charles Ingalls - Sujet développé ici il y’a…oula ! T’étais même pas sur cowblog à l’époque, ami lecteur - qui dicte à l’enfant que l’on est humble, honorable et vertueux uniquement en exerçant les tâches les plus pénibles et ingrates. John World est un con.
Il est intéressant de noter que durant notre intrusion en milieu hostile, nous n’avons néanmoins pas trouvé de John World « au chômage ! », de John World « Ivre mort au bar du coin ! », ou encore de John World « va quémander des aides à la CAF et joue ses allocs’ au PMU ! », ni de John World « vend de la drogue dans les cités pour s’en sortir t’as vu ! » et surtout pas de John World « manifeste avec son syndicat ! »
Soit John World ne colle pas trop avec son époque, soit il s’agit d’une tentative gouvernementale visant à éradiquer certains comportements en ne faisant la promotion que de ce qui devrait être acceptable de la part des masses laborieuses.
La semaine prochaine, nous parlerons de l’attrait irrésistible qu’exerce le concept de la zoophilie chez les enfants et son implication dans les mariages consanguins.
Si cet article n’a pas été rédigé à deux mains, il n’en reste pas moins pensé à deux têtes. Je remercie donc ma chère et tendre pour sa participation, et les réflexions hilarantes qui m’ont grandement inspiré ces lignes (ou que j’ai carrément repompé).
John World est un pauvre connard syndiqué qui exerce les métiers dont les dépositaires du droit du sol depuis plus de cinq générations ne veulent depuis qu’ils ont découvert le bon côté de l’immigration. John World est une expansion du syndrome Charles Ingalls - Sujet développé ici il y’a…oula ! T’étais même pas sur cowblog à l’époque, ami lecteur - qui dicte à l’enfant que l’on est humble, honorable et vertueux uniquement en exerçant les tâches les plus pénibles et ingrates. John World est un con.
Il est intéressant de noter que durant notre intrusion en milieu hostile, nous n’avons néanmoins pas trouvé de John World « au chômage ! », de John World « Ivre mort au bar du coin ! », ou encore de John World « va quémander des aides à la CAF et joue ses allocs’ au PMU ! », ni de John World « vend de la drogue dans les cités pour s’en sortir t’as vu ! » et surtout pas de John World « manifeste avec son syndicat ! »
Soit John World ne colle pas trop avec son époque, soit il s’agit d’une tentative gouvernementale visant à éradiquer certains comportements en ne faisant la promotion que de ce qui devrait être acceptable de la part des masses laborieuses.
La semaine prochaine, nous parlerons de l’attrait irrésistible qu’exerce le concept de la zoophilie chez les enfants et son implication dans les mariages consanguins.
Si cet article n’a pas été rédigé à deux mains, il n’en reste pas moins pensé à deux têtes. Je remercie donc ma chère et tendre pour sa participation, et les réflexions hilarantes qui m’ont grandement inspiré ces lignes (ou que j’ai carrément repompé).
J'vais voir si je le refais, ça m'embêterait de priver les gens de ce commentaire pertinent...