...ou cessez de me baisser le futal
Ils sont toujours de notre coté, ils sont présent à chaque instants, on les voit pourtant venir de loin tant leur langue est brune, mais inéluctablement ils nous harcèlent; pompant infatigablement chaque lettres de nos écrits; face à soi même, cette question importante : suis je d'accord?
Telle une nuée de sauterelles ils arrivent en bandes; ces parasites en mal de réflexion feraient tout pour un peu plus de reconnaissance; couverture facile que celle de s'attirer la sympathie des plus sceptiques, afin de s'extraire des mailles du filet, temporairement.
Emerveillé par un peu de poudre aux yeux, quelques tournures, ils bêlent aussi bien que des enfants de choeur; ce que je dis ils l'ont toujours pensé, ce que je suis ils s'y retrouvent...vous êtes mal barré les gars.
Vous leur crachez au visage ils disent encore, vous les frappez ils demandent "plus fort".
Dans la même optique, ils nous bombardent d'articles, au détour de l'un deux ils essaient de sauver les meubles, réalisant que tout ceux qui les lisent doivent bien se foutre de leur gueule; les voir tenter l'approche de la cours des grands et se viander lamentablement parce que la seule chose qu'ils savent faire c'est lécher des culs, c'est tordant; ils traînent avec nous la vermine dans la boue, tout en pondant deux cents articles en un mois, et rameutant nombre d'incapable de ces connaissances, c'est un peu la gay pride...un défilé de suce boule.
Les minables nous guettent aussi; ils pondent quelques articles, dix lignes pour un combat symbolique, histoire de lustrer une auréole fantôme, un ou deux textes, mais quand bien même le lien de l'auteur n'a pas été oublié, cela reste un manque total de travail; comble pour des personnes qui prétendent qu'il n'y en à aucun derrière le votre, ont ils jamais fait l'effort de tenter de faire mieux? bien sur que non; ils préfèrent la facilité
on parle des modes psychiatriques en quinze lignes maximum, la faim dans le monde, une légende de trois lignes y suffit, et pour faire passer le trop plein de lignes blanches ingurgitées et du néant omniprésent, on poste un ou deux poèmes qu'on à même pas été foutu d'écrire soi même; bref ces gens brassent encore plus de vent que moi, mais en plus ils le font mal, et sont incapables de s'investir un peu, tant dans le domaine de l'écriture que dans l'idéologie ou les actes.
On récupère, on ne s’implique pas, c'est plus facile. Le contenu de ces personnes vaut bien leur "travail"; il tient sur une page, et ce sont bien sur les plus à même de venir vous expliquez ce qu'est un texte travaillé. Remarque ils ne lèchent pas, ils essaient de vous cracher dessus, mais si encore ils avaient matière à combattre...le pot de terre contre le pot de fer, on devine le résultat mais certains n’impriment pas vite.
Sans être parano parfois je sens seulement de la rancoeur et de la jalousie cachées derrière les propos de ces minables qui ne savent tenir le fil de leur pensée plus de trois phrases et se permettent de la ramener, ou un réglement de compte personnel dans certains cas... et une certaine envie, chez ceux qui honorent nimporte qui de la sorte, pour quelques dires sur un blog parmis tant d'autre, car quoi qu'ils fassent ils incarnent ce qu'ils seraient censés détester, et au fond, ils le savent.
Toujours est il qu'aux uns comme aux autres, je tiens à dire ceci;
inutile d'affirmer votre accord à tout les posts et de constamment me lécher les pieds comme des moutons, je sais que j'ai raison.
Pour ce qui est de mes détracteurs, bons ou mauvais, inutiles d'exprimer votre désaccord et tenter de 'm’ouvrir les yeux... pourquoi?
Parce que j'ai raison voyons.
«.´¯¯`•.,¸¸,.•´¯*Δ†ØЛ ǿF †ħэ ЄИĐ*¯`•.,¸¸,.•´¯¯`.»
( qui, au passage, remercie certains de ses lecteurs, ceux qui ne rentrent guère dans les catégories mentionnées précédemment...pas beaucoup donc...)