Encerclé par ces vosgiens dénudés, il n'y pas grand-chose que je pouvais faire; Je tentai néanmoins de conserver ma dignité en refusant d'obéir à l'injonction pro-nudiste qu'ils avaient proféré. Peine perdue. Une nuée de bras poilus et graisseux fondèrent sur moi pour m'arracher ce qui restait de mes vêtements. On me rejeta au sol, et je sentais déjà un membre crasseux et turgescent se glisser entre mes fesses, butant soudain sur quelque chose. Le bouchon. Le bouchon que j'avais placé à l'entrée de mon anus, seul protection contre le Gay des vosges.
« Saperlipopette ! S'écria le vosgien.
- C'est diablerie pour sûr ! Fit un autre. »
Ils s'éloignèrent de moi, paralysés par la peur, croisant leurs index pour repousser les forces maléfiques qui m'habitaient. Je profitai donc de cette crainte que j'inspirais pour demander fermement mon chemin.
« Vosgiens ! Vous qui connaissez ces bois comme l'anus de votre plus proche parent, indiquez moi sur le champ où je peux trouver Jésus !
- V-vous voulez voir le patron ? »
Jésus était donc devenu le chef des vosgiens.
« S-si nous vous conduisons à lui… Est-ce que vous nous enseignerez cette puissante magie qui vous protège de l'enculade rituelle ?
- Je ne vois pas en quoi des adeptes de la sodomie peuvent avoir besoin de mon bouch…de mon sortilège poru les protéger…
- Et bien, étranger, c'est pour lutter contre le Gay des Vosges. Jusqu'à présent pour éviter qu'il ne découvre notre campement, nous lui sacrifions à chaque nouvelle lune l'un des nôtres, qu'il encule à mort, mais si nous nous aventurons sur ses terres, il nous viole quand même. Votre puissant sort pourrait nous protéger contre sa fureur. »
Après un instant de réflexion, je demandai aux vosgiens de me conduire à Jésus, en échange de quoi, je leur livrerai mon secret. Je récupérai mes vêtements, ma Shoum's, qui se foutait totalement de ce qui se passait, et nous nous mîmes en route vers l'inconnu, traversant des sentiers inquiétants, des sous bois lugubre, avant de regagner des clairières plus accueillantes.
Je vis au loin l'imposante porte du village retranchée des vosgiens, une porte digne d'un château fort, inviolable… Mais si l'on considère que les vosgiens la laisse entrouverte et n'ont, en plus, pas jugé utile de construire des palissades, ou à défaut, au moins des barricades, on se demande l'utilité d'une telle construction, ce que je leur fis remarqué.
« Ho les mecs, vous savez qu'une porte sans murs ça ne sert à rien ? »
Ils me regardèrent, interloqué.
« Des…des… murs ? Me fit l'un d'eux, interrogatif.
- Bah oui des murs… Un truc haut, solide, qui justifie qu'on y construise une porte ou une ouverture pour permettre le passage en un point donné, ce qui permet entre autre de n'avoir qu'un endroit à surveiller pour contrôler les entrées et sorties, et aussi de verrouiller la dite porte afin de fermer totalement le passage si besoin est. »
Un long silence s'en suivit. Je leur fis donc un dessin sur la terre avec l'aide d'un bâton. Après huit explications, ils s'extasièrent !
« Sapristi ! L'étranger parle de choses étranges, mais c'est un visionnaire !
- Etranger, nous apprendras-tu à ériger une telle construction ?
- Ouais ouais ouais si vous voulez, en attendent, où se trouve Jésus? »
L'un des gays m'indiqua la direction du village. Sans un mot de plus. Il devait donc être facile à repérer.
Je décidai alors d'entrer dans le village et vis, au loin, sur ce qui semblait être la place centrale, au milieu des petites cabanes, uniquement doté d'un toit posé sur des sortes de charpentes hasardeuse et d'un porte inutile puisque sur les maisons il n'y avait pas de murs, un attroupement de vosgiens, tous gros, poilus et dénudés, assis en cercle autour de Jésus. La première partie de ma mission était remplie. Localiser Le Christ. J'écoutais avec attention ce qu'il enseignait à ses disciples, alors qu'il se roulait visiblement un joint.
« Ecoutez moi, ami vosgiens ! La nouvelle lune approche à grand pas, et si nous voulons survivre, nous devons sacrifier un anus au gay des Vosges, le bras turgescent de la vengeance divine ! Dieu nous ordonne de sacrifier l'un d'entre nous. Mais n'oubliez pas que le volontaire désigné ne mourra pas en vain, son nom restera à jamais gravé ! Son sacrifice ne sera pas oublié ! Car c'est pour notre salut à tous, que l'un de nous se sacrifie… C'est le prix à payer pour continuer à vivre dans l'harmonie et la paix, loin de la folie et de la violence, entre hommes fragiles et heureux de s'aimer les uns les autres. Je vais donc désigner le prochain martyre. »
Lassé par ce comportement de hippie tarlouze, je décidai intervenir.
« Jésus vous raconte des salades, Vosgiens ! Il faut résister, il faut vous battre ! Pourquoi cet homme devrait-il choisir l'un d'entre vous pour l'envoyer à la sodomie ultime ? Pourquoi n'y va-t-il pas lui-même ? J'allais continuer sur ma lancée, mais Jésus m'interrompit.
- Ne l'écoutez pas mes frères, ce sont de vaines paroles, rien ne pourra venir à bout du Gay des Vosges ! Emparez vous de lui et sodomisez le à mort ! »
Les vosgiens se levèrent afin de me déssaper et de m'enculer, mais ceux qui m'avaient trouvé dans les bois s'interposèrent.
« Halte frères vosgiens ! Ecoutez l'étranger, ses paroles sont pleines de sagesse, et il est inenculable ! On ne peut pas le pénétrer !
- Oui frères gays, écoutez l'étranger, celui qu'on ne peut enculer et qui peut bâtir des murs pour nous protéger »
La foule, visiblement perturbée par ses nouveaux concepts de murs et d'impossibilité d'enculade marqua un long silence. Les vosgiens à qui j'avais expliqué ce qu'est et à quoi sert un mur expliquèrent à leur tour ce qu'est un mur. Huit explications plus tard, j'avais presque gagné la confiance des Vosgiens, ce que Jésus ne voyait pas d'un bon œil !
« Je suis votre messie, la voix de Dieu, alors vous faites ce que je dis, on ne change rien, on fume, on s'encule et on sacrifie un anus ! C'est ainsi que Dieu l'a voulu et c'est ainsi que cela doit se faire ! Nous ne prendrons pas les armes ! »
Je m'avançai vers Jésus, avant de lui coller un magistral coup de poing dans la gueule, il s'écroula, tandis l'autre joue, et je le sonnai avec un bon coup de pied dans les gencives.
Je me tournai alors vers les vosgiens :
« Il n'appartient pas à un homme seul de décider qui doit vivre ou mourir et ce que vous devez faire, vous devez décider ensemble ! J'm'en vais vous apprendre la démocratie bande de loqueteux ! Je vais vous montrer qu'il n'appartient pas à un homme seul de décider pour vous, sauf si c'est moi ! Vous pouvez vous débarrasser du Gay des Vosges autrement qu'en sacrifiant l'un de vos frères ! Vous pourrez enfin vous civiliser, devenir hétéros, construire des murs, des villes même…enfin non, des villes faut pas pousser, on est dans les Vosges, mais bordel… Faut vivre autrement que comme des crasseux se roulant dans la boue en couchant avec n'importe qui et en se défonçant sans rie outre d'autre comme tous ces cons à Woodstock ! Je peux vous apporter la délivrance, il suffit de me livrer Jésus.
- Mais, étranger, tu viens de nous dire qu'on peut s'en sortir sans sacrifier personne…
- Je sais ce que j'ai dis, mais ou vous me livrez Jésus qui n'a rien fait d'autre que vous rendre plus pitoyables que ce que vous êtes programmés génétiquement à devenir, ou je vous laisse, je me casse, et vous ne vous débarrasserai jamais du Gay des Vosges, vous resterez toujours un peuple minable vivant dans des montagnes à la con et parlant avec un accent de merde. Je vous offre une chance de ne plus vivre sous la coupe d'un seul homme, de décider ensemble ce qu'il convient de faire de mieux pour votre peuple !
- Mais Jésus nous à enseigné l'amour de son prochain et la non-violence…
- Foutaises de hippies ! Dis je.
- Et la vie en communauté détaché de l'importance des biens matérielles…
- FOUTAISES DE HIPPIES ! Hurlai-je ! Avec une mentalité Pareille, ça m'étonne pas que vous ne soyez qu'entre paires de couilles ! Aucune femme censée ne voudrait de loosers dans votre genre !
- D-des…Femmes ? »
Je sortis la Shoum's de sous ma chemise, et la brandis devant les yeux ébahis des vosgiens, tandis que qu'elle Houhouhoutait et gesticulait comme à son habitude.
« Regardez ça ! Des seins, des hanches, une vulve ! Souvenez vous, Vosgiens ! SOUVENEZ VOUS ! »
L'un d'eux se mit à bander, puis un autre, et encore un autre ! Bientôt tous les vosgiens avaient, par cette érection solennelle et générale, rallié ma cause. Jésus s'écroula, en pleurant sur son rêve brisé de fonder - à nouveau - une communauté de fornicateurs arriérés.
Ils acceptèrent de me livrer Jésus comme prisonnier, si je les aidais à les débarrasser du Gay des Vosges. J'appris alors à chacun à fabriquer un bouchon avant qu'ils se l'enfoncent dans le derche, nous taillâmes des batons et prirent des pierres et de grosses bûches en guise d'armes, et nous nous dirigeâmes vers le territoire du Gay des Vosges, où Jésus, enchaîné Le cul à l'air à un arbre, nous servira bientôt d'appât pour le monstre.
« Saperlipopette ! S'écria le vosgien.
- C'est diablerie pour sûr ! Fit un autre. »
Ils s'éloignèrent de moi, paralysés par la peur, croisant leurs index pour repousser les forces maléfiques qui m'habitaient. Je profitai donc de cette crainte que j'inspirais pour demander fermement mon chemin.
« Vosgiens ! Vous qui connaissez ces bois comme l'anus de votre plus proche parent, indiquez moi sur le champ où je peux trouver Jésus !
- V-vous voulez voir le patron ? »
Jésus était donc devenu le chef des vosgiens.
« S-si nous vous conduisons à lui… Est-ce que vous nous enseignerez cette puissante magie qui vous protège de l'enculade rituelle ?
- Je ne vois pas en quoi des adeptes de la sodomie peuvent avoir besoin de mon bouch…de mon sortilège poru les protéger…
- Et bien, étranger, c'est pour lutter contre le Gay des Vosges. Jusqu'à présent pour éviter qu'il ne découvre notre campement, nous lui sacrifions à chaque nouvelle lune l'un des nôtres, qu'il encule à mort, mais si nous nous aventurons sur ses terres, il nous viole quand même. Votre puissant sort pourrait nous protéger contre sa fureur. »
Après un instant de réflexion, je demandai aux vosgiens de me conduire à Jésus, en échange de quoi, je leur livrerai mon secret. Je récupérai mes vêtements, ma Shoum's, qui se foutait totalement de ce qui se passait, et nous nous mîmes en route vers l'inconnu, traversant des sentiers inquiétants, des sous bois lugubre, avant de regagner des clairières plus accueillantes.
Je vis au loin l'imposante porte du village retranchée des vosgiens, une porte digne d'un château fort, inviolable… Mais si l'on considère que les vosgiens la laisse entrouverte et n'ont, en plus, pas jugé utile de construire des palissades, ou à défaut, au moins des barricades, on se demande l'utilité d'une telle construction, ce que je leur fis remarqué.
« Ho les mecs, vous savez qu'une porte sans murs ça ne sert à rien ? »
Ils me regardèrent, interloqué.
« Des…des… murs ? Me fit l'un d'eux, interrogatif.
- Bah oui des murs… Un truc haut, solide, qui justifie qu'on y construise une porte ou une ouverture pour permettre le passage en un point donné, ce qui permet entre autre de n'avoir qu'un endroit à surveiller pour contrôler les entrées et sorties, et aussi de verrouiller la dite porte afin de fermer totalement le passage si besoin est. »
Un long silence s'en suivit. Je leur fis donc un dessin sur la terre avec l'aide d'un bâton. Après huit explications, ils s'extasièrent !
« Sapristi ! L'étranger parle de choses étranges, mais c'est un visionnaire !
- Etranger, nous apprendras-tu à ériger une telle construction ?
- Ouais ouais ouais si vous voulez, en attendent, où se trouve Jésus? »
L'un des gays m'indiqua la direction du village. Sans un mot de plus. Il devait donc être facile à repérer.
Je décidai alors d'entrer dans le village et vis, au loin, sur ce qui semblait être la place centrale, au milieu des petites cabanes, uniquement doté d'un toit posé sur des sortes de charpentes hasardeuse et d'un porte inutile puisque sur les maisons il n'y avait pas de murs, un attroupement de vosgiens, tous gros, poilus et dénudés, assis en cercle autour de Jésus. La première partie de ma mission était remplie. Localiser Le Christ. J'écoutais avec attention ce qu'il enseignait à ses disciples, alors qu'il se roulait visiblement un joint.
« Ecoutez moi, ami vosgiens ! La nouvelle lune approche à grand pas, et si nous voulons survivre, nous devons sacrifier un anus au gay des Vosges, le bras turgescent de la vengeance divine ! Dieu nous ordonne de sacrifier l'un d'entre nous. Mais n'oubliez pas que le volontaire désigné ne mourra pas en vain, son nom restera à jamais gravé ! Son sacrifice ne sera pas oublié ! Car c'est pour notre salut à tous, que l'un de nous se sacrifie… C'est le prix à payer pour continuer à vivre dans l'harmonie et la paix, loin de la folie et de la violence, entre hommes fragiles et heureux de s'aimer les uns les autres. Je vais donc désigner le prochain martyre. »
Lassé par ce comportement de hippie tarlouze, je décidai intervenir.
« Jésus vous raconte des salades, Vosgiens ! Il faut résister, il faut vous battre ! Pourquoi cet homme devrait-il choisir l'un d'entre vous pour l'envoyer à la sodomie ultime ? Pourquoi n'y va-t-il pas lui-même ? J'allais continuer sur ma lancée, mais Jésus m'interrompit.
- Ne l'écoutez pas mes frères, ce sont de vaines paroles, rien ne pourra venir à bout du Gay des Vosges ! Emparez vous de lui et sodomisez le à mort ! »
Les vosgiens se levèrent afin de me déssaper et de m'enculer, mais ceux qui m'avaient trouvé dans les bois s'interposèrent.
« Halte frères vosgiens ! Ecoutez l'étranger, ses paroles sont pleines de sagesse, et il est inenculable ! On ne peut pas le pénétrer !
- Oui frères gays, écoutez l'étranger, celui qu'on ne peut enculer et qui peut bâtir des murs pour nous protéger »
La foule, visiblement perturbée par ses nouveaux concepts de murs et d'impossibilité d'enculade marqua un long silence. Les vosgiens à qui j'avais expliqué ce qu'est et à quoi sert un mur expliquèrent à leur tour ce qu'est un mur. Huit explications plus tard, j'avais presque gagné la confiance des Vosgiens, ce que Jésus ne voyait pas d'un bon œil !
« Je suis votre messie, la voix de Dieu, alors vous faites ce que je dis, on ne change rien, on fume, on s'encule et on sacrifie un anus ! C'est ainsi que Dieu l'a voulu et c'est ainsi que cela doit se faire ! Nous ne prendrons pas les armes ! »
Je m'avançai vers Jésus, avant de lui coller un magistral coup de poing dans la gueule, il s'écroula, tandis l'autre joue, et je le sonnai avec un bon coup de pied dans les gencives.
Je me tournai alors vers les vosgiens :
« Il n'appartient pas à un homme seul de décider qui doit vivre ou mourir et ce que vous devez faire, vous devez décider ensemble ! J'm'en vais vous apprendre la démocratie bande de loqueteux ! Je vais vous montrer qu'il n'appartient pas à un homme seul de décider pour vous, sauf si c'est moi ! Vous pouvez vous débarrasser du Gay des Vosges autrement qu'en sacrifiant l'un de vos frères ! Vous pourrez enfin vous civiliser, devenir hétéros, construire des murs, des villes même…enfin non, des villes faut pas pousser, on est dans les Vosges, mais bordel… Faut vivre autrement que comme des crasseux se roulant dans la boue en couchant avec n'importe qui et en se défonçant sans rie outre d'autre comme tous ces cons à Woodstock ! Je peux vous apporter la délivrance, il suffit de me livrer Jésus.
- Mais, étranger, tu viens de nous dire qu'on peut s'en sortir sans sacrifier personne…
- Je sais ce que j'ai dis, mais ou vous me livrez Jésus qui n'a rien fait d'autre que vous rendre plus pitoyables que ce que vous êtes programmés génétiquement à devenir, ou je vous laisse, je me casse, et vous ne vous débarrasserai jamais du Gay des Vosges, vous resterez toujours un peuple minable vivant dans des montagnes à la con et parlant avec un accent de merde. Je vous offre une chance de ne plus vivre sous la coupe d'un seul homme, de décider ensemble ce qu'il convient de faire de mieux pour votre peuple !
- Mais Jésus nous à enseigné l'amour de son prochain et la non-violence…
- Foutaises de hippies ! Dis je.
- Et la vie en communauté détaché de l'importance des biens matérielles…
- FOUTAISES DE HIPPIES ! Hurlai-je ! Avec une mentalité Pareille, ça m'étonne pas que vous ne soyez qu'entre paires de couilles ! Aucune femme censée ne voudrait de loosers dans votre genre !
- D-des…Femmes ? »
Je sortis la Shoum's de sous ma chemise, et la brandis devant les yeux ébahis des vosgiens, tandis que qu'elle Houhouhoutait et gesticulait comme à son habitude.
« Regardez ça ! Des seins, des hanches, une vulve ! Souvenez vous, Vosgiens ! SOUVENEZ VOUS ! »
L'un d'eux se mit à bander, puis un autre, et encore un autre ! Bientôt tous les vosgiens avaient, par cette érection solennelle et générale, rallié ma cause. Jésus s'écroula, en pleurant sur son rêve brisé de fonder - à nouveau - une communauté de fornicateurs arriérés.
Ils acceptèrent de me livrer Jésus comme prisonnier, si je les aidais à les débarrasser du Gay des Vosges. J'appris alors à chacun à fabriquer un bouchon avant qu'ils se l'enfoncent dans le derche, nous taillâmes des batons et prirent des pierres et de grosses bûches en guise d'armes, et nous nous dirigeâmes vers le territoire du Gay des Vosges, où Jésus, enchaîné Le cul à l'air à un arbre, nous servira bientôt d'appât pour le monstre.