Samedi 9 juin 2007 à 23:37






"Bienvenue, je suis celui qu'on nomme l'architecte.
Bien que le passage  ait altéré ta conscience tu demeures irrémédiablement phallique.
Tu es la résultante d'une anomalie systémique, inébriant à la programmation de la Matrique.
Mais de toutes façons tu ne comprends rien… tu n'es qu'une bite."




X & X,
Les Biteurs Masqués

Jeudi 24 mai 2007 à 13:18










A suivre...

Mardi 22 mai 2007 à 20:27






Mercredi 18 avril 2007 à 19:01




Etant gamin, je me souviens clairement de ce que j'espérais posséder en matière de superpouvoirs. Voler, être indestructible, grimper aux murs comme spider-man, pouvoir balancer des Kamehas et me transformer en super saïyen, des griffes en adamantium… bref un pouvoir cool et destructeur. N'importe lequel, je n'aurai pas fait le difficile. Bon bien évidemment, j'étais tout a fait conscient de l'improbabilité de choper des pouvoirs au petit matin, mais bon. Toujours est il que si il y a bien un pouvoir que je n'ai jamais souhaité, et que je trouve particulièrement inutile et stupide, c'est ce nouveau délire des scénaristes de dessins animés pro-hippies débiles pour jeunes crétins qui consistent à pouvoir parler aux animaux. Je ne citerai aucun de ces navets ringards de peur qu'on pense que j'en ai fait une étude approfondie, mais force est de constater que c'est un pouvoir pour le moins récurrent. Un ou une gamine solitaire qui passe son temps avec en général un singe pouilleux et qui parle aux animaux. Génial. Quel concept. Si c'est pas le chemin facile pour convertir les générations futures à l'écologie… Où sont passés les rêves de nos jeunes années ? Tout défoncer façon bombe nucléaire dans le pacifique sud pour finir par discuter avec un stupide canard ou un clébard de merde. Oui, je le maintiens, c'est un tremplin pour la jeunesse vers l'écologie. Argh. En plus on ne parle que de ça, d'écologie, et y'a même des cons pour nous dire qu'on en parle pas encore assez dans la campagne présidentielle. Sur, c'est un complot.

Depuis le pacte écologique de Nicolas Sarkozy…heu pardon, Nicolas Hulot, le type qui présente Ushuaia Nature, anciennement Ushuaia tout court, émission sponsorisée par les usines Rhône-Poulenc – c'est beau l'écologie -, et bien l'écologie est au cœur de la campagne, avec l'insécurité, l'immigration, le pouvoir d'achat, l'immigration, l'identité nationale, l'immigration, le problème des retraites, l'immigration, Le Pen, l'immigration, l'eugénisme et l'immigration.
Même si l'autre Nicolas rappelle parfois aux signataires du pacte qu'ils n'ont pas signé à la légère, de l'autre côté, chez les verts, une Dominique Voynet accuse le coup en prétextant que si les verts perdent encore une fois la campagne, ce sera la faute de Hulot, d'un autre côté c'est bien, cette année ils ont une excuse pour perdre. Pauvre Dominique Voynet, elle qui a tant fait pour l'écologie du temps où elle était ministre… Bref l'écologie, c'est déjà quelque chose qui me gonfle en temps normal, mais avec les présidentielles et green-peace qui me harcèle un jour sur deux dans les rues pour en remettre une couche, je décide de répondre violemment, une fois encore. Je fais de la non-écologie mon bite-bite de bataille.

Je lance à mon tour un pacte, le pacte non-écologique.

- Il convient de cesser impérativement de produire des déchets recyclables, pour se concentrer activement sur les matériaux à usage unique. Le recyclage fait perdre des emplois, et il est donc intimement lié aux délocalisations, vu qu'il existe des pays ou utiliser des matériaux à usage unique ne gêne personne, ou polluer librement, comme nous devrions pouvoir le faire en France, c'est autorisé – ou du moins c'est pas interdit -  et vu qu'en plus, la main d'œuvre est moins chère, je ne vois pas pourquoi on se ferait chier avec l'écologie quand on parle business.

- Ensuite, le protocole de Kyoto étant plus une grosse boutade qu'autre chose, il est naturel de suivre l'exemple du pays qui nous sert de phare en ces temps de mondialisation, les U.S.A, et de rejeter encore plus de gaz à effet de serre, il faut œuvrer pour le réchauffement climatique, et non contre. Limiter le recours aux énergies renouvelables et accentuer l'extraction de pétrole et de charbon. Plutôt que de laisser des réserves pour plus tard et grappiller quoi, cinquante de plus, autant tout utiliser tout de suite.

- Parlons agriculture maintenant. Il est nécessaire de produire surtout des O.G.M, et d'utiliser le plus possibles de pesticides, d'une part parce que les O.G.M, on peut s'en servir pour nourrir les pays du tiers monde – et tester les effets d'une consommation à long terme sur l'être humain dans l'élan – et parce que jusqu'à présent, c'est pas les écolos qui fument des joints qui vont nourrir la planète. J'estime donc qu'une bande de sales hippies drogués n'ont pas à interdire de braves agriculteurs, des travailleurs, d'utiliser des pesticides. En plus, polluer les nappes phréatiques, c'est amusant et économique, ça évite de réutiliser des pesticides. Je ne vois pas pourquoi ils se plaignent les écolos finalement.

- Le territoire. Partant du principe que c'est pas un court d'eau et deux nénuphars pourris  mais une ville, qui permet de loger les gens, je ne vois pas pourquoi il faudrait qu'on préserve des coins natures dont seuls les paysans des patelins paumés jouissent. S'il n'y a pas de nature pour tout le monde, alors il n'y en aura pour personne. C'est ça, la force de la république : l'égalité.

- Concernant le transport, favoriser les transports en commun est une absurdité. L'Homme n'est rien sans sa voiture, il n'y a pas à revenir là dessus. Déjà qu'on doit plus conduire bourré ou défoncé, si en plus on peut plus polluer en conduisant, je vois plus l'intérêt de se déplacer. S'agglutiner dans les bus au colza, quelle joie. Et puis merde, le salon de l'auto ne ressemblera plus à rien sans ses porsche-cayennes et autres énormes bagnoles qui bouffent de l'essence comme moi du chocolat. Et le rêve dans tout ça ? De faire vrombir un moteur énorme et glouton pour filer comme un dingue sur l'autoroute en laissant une traînée de fumée noir et puante ? Le film Mad Max a montré qu'un cataclysme énergétique, c'est l'assurance d'un avenir merveilleux.

- Mettre l'accent sur la recherche d'énergies renouvelables et propres, c'est de la foutaise, on aura tout le temps de chercher plus tard, une fois que les énergies fossiles ne seront plus.

- Mener une politique mondiale tournée vers l'écologie aussi, c'est de la connerie. A l'heure ou l'on tente de limiter les conflits religieux, économiques ou ethniques, je crois qu'on s'en cogne un peu de l'écologie dans le monde. Ajoutons à cela que c'est pas dans un pays pauvre qui tente d'émerger qu'on va faire notre lois pour qu'ils ne polluent pas, nous qui polluons depuis plus d'un siècle, je ne vois pas pourquoi, après s'être autorisés tous les excès, nous interdirions aux autres de faire de même.



J'aime l'argument type, qui consiste à nous faire culpabiliser avec une phrase type du genre « quel monde laisserons nous à nos enfants ? ». D'une part, il faut le souhaiter le gamin, ensuite, je suis un adepte du « chacun sa merde » donc si un morveux vient me voir du haut de mes cinquante/soixante ans, pour me balancer que je n'ai rien fait, que tout est la faute aux anciens, je lui expliquerai que de toute façon à mon époque, c'était déjà foutu, que j'allais pas empêcher le navire de couler en bouchant un trou avec mon doigt, et que si il continue à me casser les burnes je lui colle ma main sur la gueule ! T'as compris petit con ?! Si t'es pas content tu vas parler à ton singe de meeeerde !! AAAAAAh !
En plus avec un peu de chance, je ne serai même plus de ce monde pour voir le désastre, alors imaginez à quel point je me sens concerné.
Alors pour en revenir aux mouflets, arrêtez de leur faire gober que le pouvoir le plus top, c'est parler aux animaux, qu'est ce qu'on s'en branle des animaux, après tout, les plus emmerdés par les maux liés à une mauvaise gestion de notre équilibre planétaire, ce sont bien les bestioles - et les pauvres -et contrairement à ce qu'on fait croire aux mioches, les animaux, et bien ça ne parle pas, c'est con un animal. S'ils étaient aussi intéressant qu'on le fait croire à la nouvelle génération, et bien ils s'adapteraient au mode de vie de l'Homme, comme la vache, le porc, le chwal ou le bœuf. Après tout, aucun animal du salon de l'agriculture n'est en voie d'extinction, et moi, je trouve qu'un animal qui n'entre pas au salon de l'agriculture, ça sert à rien.

Qu'est ce que ça me gonfle l'écologie. Bande de sales hippies.


 


Dimanche 15 avril 2007 à 22:59




X & X,
Les Biteurs Masqués

Dimanche 15 avril 2007 à 21:38




X & X
Les Biteurs Masqués

Samedi 14 avril 2007 à 20:51


Anorexie

Ce régime alimentaire draconien, signe d'un malaise mental étrange, est honteusement diabolisé par les médias, de façon bien hypocrite cela va de soit.



Un model est avant tout un cintre.

Dénigrer une image dont on perdure à faire une icône, c'est comme un politicien qui dit que l'état se moque du peuple. Mais pourquoi diaboliser plus ce comportement, signe d'acharnement, de combat, de dépassement de soit chez des jeunes entourés de larves incapables de muer dignement. L'anorexie est un exemple de volonté de se conformer à un idéal, et toute personne devrait suivre l'exemple de ces héros plein de courage luttant contre eux-mêmes en quête d'idéal.


Et s'ils pouvaient tous crever par la même occasion ce serait pas mal.

Samedi 14 avril 2007 à 17:05

Notre martyr du bon sens a enfin décidé de laisser libre recours aux divagations de ses lecteurs préférés. Le fou. Encore eut-il fallu qu'il réalise ce qui pouvait lui arriver.


Bon, bande d'endives, si vous n'avez pas reconnu Demon, c'est vraiment que vous le faisiez exprès.


Samedi 14 avril 2007 à 15:28



Il y a maintenant plus de deux ans, fin décembre 2004 – début janvier 2005, je me suis hasardé sur le net à la recherche d'une plateforme de blog, et le hasard m'a conduit ici. Une première version d'Atom-of-the-end est née à cette époque, pour être supprimée deux mois et demi plus tard. En avril 2005, le démon du blogging s'est montré plus fort que moi, et bien que n'étant pas sûr de mon art ou de la direction que j'allais faire prendre à mon navire, je me suis lancé.
L'envie d'écrire était bien présente en moi depuis quelques années, ce sont pourtant ces deux années sur cow qui sont significatives de mes progrès. J'ai finalement toujours plus ou moins versé dans le même genre, en l'améliorant sans cesse, en tentant des expériences, plus ou moins fructueuses. C'est aussi et surtout grâce à ce blog, que je me suis réellement remis à dessiner. Je ne vous cacherai pas, même si je ne suis guère du genre à me livrer outre mesure sur ce blog, que l'année de mes 19-20 ans fut un grand moment de solitude. Peut être la période la plus douloureuse de ma jeune existence, et toujours est il qu'à la suite d'événements pour le moins difficiles, j'avais perdu toute motivation.
Je n'irai pas jusqu'à dire que le blog est mon remède, que j'y ai déversé toute ma peine – encore heureux – ou que sais je encore, mais ce n'est pas le cas. Ce blog et le personnage multi facette de l'Atom-of-the-end qui l'accompagne, ce ne sont pas des remèdes, ce sont mes armes. Deux années se sont écoulées déjà… La motivation qui me pousse à remplir ce blog n'obéit plus aux mêmes besoins.

Autrefois, c'était peut être un besoin naïf de reconnaissance, puis c'est devenu un jeu, repousser les limites de l'acceptable tout en restant fidèle à quelques principes, c'est enfin devenu une passion dévorante, et c'est peut être le plus paradoxale chez un personnage comme celui que j'incarne, offrir au lecteur un bon divertissement. Je sais que cette notion peut ne pas tellement coller avec ce qu'on pourrait s'imaginer de l'auteur de ces lignes, mais avant de poster un article, ma première pensée est pour ceux qui vont le lire, et la réaction que mes mots vont provoquer. Deux ans déjà, et je me rends compte des progrès, de l'évolution de ce blog, qui suit généralement celle de son auteur, mais je me demande, même avec ces éléments en mains, si quelqu'un peut dire qu'il connaît Atom-of-the-end et ce qui le sépare de son créateur ?
Enfin bref, comme je le disais quelques lignes plus haut, c'est avant tout pour mon lectoratoccasionnel ou régulier – que je poste. Non ce n'est pas pour moi, même si j'admets être mon plus fidèle lecteur, c'est bien pour vous, et à ce titre, je vais tenter un truc que je n'ai pas tenté ici, à part avec l'aimable incrustation de joKeR de temps à autre – qu'il soit invité ou non, 'toute façon il fait ce qu'il veut – j'ouvre, et cela pour quelques jours, exceptionnellement, mon blog au publique.

J'offre à quiconque, cowbloggeurs ou simples visiteurs, illustres couillons ou pèlerins anonymes, l'occasion unique de voir son pseudo ici, au bas d'un article – avec le lien oui si tu veux je m'en cogne – et de vivre dans la peau de l'Atom-of-the-end à cette occasion. Tout ça pour fêter les deux ans du blog.
Bien entendu, qui dit mode invité dit règles à respecter, mais je vais faire simple :
 
  - On signe son article, même si l'on n'est pas originaire de cow, le tout est que je connaisse le pseudo.
  - Bien que je sois du genre unique en son genre, je vous demanderai de suivre au possible la trame de ce blog. Ou sinon faites mon éloge. Enfin bref si je vois un post sur les bisounours en vacances autant dire qu'il sera supprimé directement.
  - Si possible aussi, éviter le langage approximatif.
  - Eviter également les caricatures dessins et autre, sauf si vous êtes doués pour ça, sous cette unique condition, vos œuvres seront la bienvenue. Je répète : a eviter sauf si vous êtes doués, les cow's n'ayant pas la même notion de ce qu'est être doué, il est bon d'insister.
  - On  soigne la mise en page, pas de polices fantaisistes, un horrible et énorme lettrage etc…
  - On poste son article dans la catégorie « Tas de merde ».

Voilà, c'est presque tout ce que vous devez savoir, si ce n'est les identifiants en mode invité:

Pseudo : atom-of-the-end  (logique non ?)
Mot de passe
 : groumf


Lundi 9 avril 2007 à 13:33



C'est par une fraiche nuit, à 23 heures et onze minutes précises, que je montai dans le train, gare de Marseille, pour qu'au terme de huit heures de trajet se profilent devant moi les nobles paysages lorrains. Passons vite sur l'incident qui vit un gros puant demander sa place à mes côtés, tandis qu'au préalable j'avais placé mes propres affaires afin de lui faire qu'il y avait quelqu'un, pour l'inciter à demander au contrôleur, noble fonctionnaire au poil soyeux, s'il y avait possibilité pour lui d'être placé autre part… Que voulez vous, j'aime avoir de l'espace et dormir sur deux sièges.

Arrivé aux premières lueurs du jour, je me re-familiarise avec les us et coutumes de la faune nancéienne. Comment qu'c'est gros ? Git's ? Pâté lorrain et fraîcheur matinale. Mais la première chose qui me frappe, c'est l'absence totale de hordes de lorrains, pétrifiés par ma seule arrivée, et venant en masse m'accueillir comme on accueille un féroce dictateur, avec crainte et respect. Alors on se tape huit heures de train et tout ça pour quoi ? Non mais franchement…
Pire que tout, l'atmosphère pesante et grise semble avoir disparu. Que reste-t-il de ce Nancy froid et désagréable. Et moi, que m'arrive-t-il ? Car au fond de moi je ressens une sorte de joie naïve d'un employé modèle en congé payé… Se pourrait-il que les choses aient à ce point changé ? Là, je repense au gros puant contraint de voyager ailleurs qu'à sa place, juste pour me rassurer.

Rapide retour au domicile parental, visite assidue de mon plumard, pâté lorrain à nouveau et petite sortie pour renouer avec l'environnement naturel d'un Groumf. Et là, l'horreur atteint son apogée. Des visages radieux, des sourires sur toutes les lèvres, des enfants qui ne pleurent pas, la Mélodie du bonheur sodomisant joyeusement la Petite maison dans la prairie sur fond sonore de Pierre et le loup. C'est plus que je ne puis en supporter. J'avance et me place au milieu de la foule, j'éructe un cri barbare, je hurle « Groumf », comme pour signifier mon retour triomphant… où marquer mon territoire, mais pour ça je préfère pisser contre un arbre.
Soudain, la foule se glace, les enfants pleurent, la crainte s'installe, et je songe qu'il est bon de se sentir chez soi. Je passe mon chemin, sentant les regards sur moi, ces regards qui disent « mais c'est qui ce tordu ? ».
Je déambule au hasard, et mes pas  me mènent à la pépinière. Ici encore, le même psycho-drame : Plus aucun jeune ivre et mal habillé en train de s'exploser le foie au panaché, les dealers et l'insécurité qu'ils cultivaient, tout ça envolé, les enfants sont heureux, les parents sont confiants…

Il faudrait plus qu'un hurlement barbare pour me remonter le moral. Mais qu'est il donc arrivé ? Quel genre de cataclysme dans l'équilibre cosmique mon départ a-t-il provoqué ? Cachez-moi ce bonheur et cette insouciance que je ne saurais voir. Vite il me faut un pâté lorrain. Je trouve une boulangerie, me gave, mais à peine en ai-je terminé avec cette succulente spécialité que la boulangère se risque à me faire remarquer que les pâtés lorrains végétariens semblent être tout a fait à mon goût. Interloqué, je lui ris au nez en précisant qu'un pâté lorrain sans viande, ce n'est pas un pâté lorrain, et que ça n'existe pas. Elle affirme le contraire, et ajoute que tous les pâtés lorrains de la ville sont désormais sans viande. Les larmes montent, je dois m'enfuir, me cacher, loin de cette folie qui envahit cette ville, et dégueuler un coup.
Toute la journée, le cauchemar se poursuit, tout ce bonheur, toute cette joie, tous ces pâtés lorrains sans viande… Seigneur Dieu, que s'est il passé ?
Je marche, et ne suis plus que l'ombre de moi-même, en vain, j'ai cherché un handicapé moteur pour le jeter à terre et lui piquer son fauteuil, mais en vain, il n'existe plus d'handicapés à Nancy, pas plus qu'il n'existe d'eau de vie de mirabelle, ce qui est un problème d'autant plus grave que je comptais noyer mon désespoir dans l'alcool à 90.

A suivre.



<< Page précédente | 19 | 20 | 21 | 22 | 23 | 24 | 25 | 26 | 27 | 28 | Page suivante >>

Créer un podcast