Après avoir, entre autres choses, libéré pour la énième fois les terres d'Hyrule et repris le boulot (raaaaaaaaaaaaaah achevez moi pitié), j'ai bien trouvé quelques heures à tuer pour terminer ce quatrième épisode de Tranche de vide entamé dimanche. Je reste finalement sur ma nouvelle forme de mise en page, ça me convient et c'est plaisant à dessiner. Dans une autre optique, j'ai un one-shot en une planche en préparation (qui n'a rien à voir avec mes productions habituelles), et je pense m'atteler sur le prochain Nounours très prochainement. Voilà pour les annonces.
Avant de vous laisser entamer la lecture de l'épisode du jour, je tiens à vous signaler qu'avec cet article, je passe la barre symbolique des 500 articles. Ce blog affiche plus de 100.000 visites accumulées depuis sa création, un nombre faramineux de commentaires, d'échanges sympathiques et de frictions mémorables, et avec le départ d'un grand nombre des anciens membres présent à mon arrivée (Je vous jure que je ne suis pour rien dans ces disparitions...), je suis désormais l'un des 30 plus anciens bloggeurs de la plateforme. Je tiens à remercier chacun d'entre vous, vous tous, même toi, aussi inutile, pathétique, difforme, stupide et grotesque que tu puisses être, tu as contribué à la gloire de ce blog. Car il faut bien se rendre à l'évidence, n'en déplaise à ces ratés nuisibles qui prétendent qu'on fait un blog "avant tout pour soi", on fait un blog pour les autres, pour un lectorat, aussi mince soit-il. Après tout, et je vous pose la question, quel intérêt y'a-t-il à torcher 500 articles si c'est pour les garder pour sa pomme ? C'est la nature même du blog, lorsqu'on le rend public j'entends, de satisfaire un besoin d'expression plus qu'un besoin narcissique d'être apprécié et estimé. Bon dans certains cas, le blog sert particulièrement bien l'égocentrisme, mais l'un n'empêche pas l'autre. C'est même mon cas. Car après 500 articles, je n'en démords pas, je suis toujours mon lecteur et mon auteur préféré.
Mais faut avouer que c'est sympa de votre part de continuer à me lire, continuez comme ça. C'est bien. Vous avez bon goût.