Mardi 2 novembre 2010 à 23:08



Toi, ami lecteur perdu dans les méandres de l’internet, tes prières ont été entendues.  Toi qui m’a découvert dans mes heures de gloire cybernétique, qui a vibré au son de mes mots les plus durs, de mes attaques les plus sournoises, toi qui te remémores un temps que c’était mieux avant, un temps pas si lointain aussi où, j’écrivais… Je ne t’exposerais pas les pourquoi du comment, mais cette passion dévorante m’a quelques temps quitté, au profit d’une dimension plus graphique et donc, plus contraignante, qui vous a tous un temps privé de mes bons mots, jusqu’aujourd’hui.
Car hier, il est arrivé quelque chose, j’ai lu quelque chose, sur un blog, à mon sujet, et mon cerveau a vomi. Il a débourré autant qu’il le pouvait, et devant cette débauche de matière grise, devant ce coulis d’incompréhension, ce torrent de bile acide et vengeresse, je n’ai pu faire taire mon clavier. J’ai été blessé par les propos d’un autre bloggeur, et je me refuse à laisser passer ça. Sur le coup là, ce n’est pas le dessinateur dont j’ai besoin, j’ai besoin d’enfiler mon costume de gratte-clavier renfrogné, vindicatif et vociférant. De tailler à la hache dans les mots pour ciseler un gourdin bien anguleux et taper sur tout ce qui bouge.

Vous le savez, sur cowblog comme ailleurs, on aime à se congratuler les uns les autres, on se link‘, on rend la politesse, de temps à autre on se fait un clin d’œil - langoureux - et puis c’est dans l’ordre des choses tout ça, on partage forcément des points communs avec ces gens que nous lisons chaque jour, nos quotidiens se mélangent et la mise en forme que nous choisissons, notre volonté créative, achève de faire ce qui fait un bon blog et qui fait naître ce petit quelque chose qui manque aux réseaux sociaux : on ressent un véritable travail derrière les idées les plus simples. C’est ce qui, à mon sens, fait toute la valeur d’un blog. Autant, je vais pas vous surprendre, car en presque bientôt sept ans de blogging, dont  cinq ici, toujours sous le même pseudonyme, j’ai été linké et publicifié des centaines de fois, et parfois -souvent- par de très bon bloggeurs, qui jouissaient alors d’une aura bien plus grande que celle du petit novice que j’étais. Même lorsque je suis devenu, à ma grande époque, un « incontournable » dont on citait les articles sur les forums les plus reculés du web, dans les blogs, ici et là, dont on se refilait l’adresse, j’ai toujours apprécié le côté gratifiant d’une reconnaissance quelconque, aussi éphémère soit-elle. Je ne vais pas mentir en prétendant que ça ne flatte pas l’égo.
Mais chez moi, il y’a toujours deux poids deux mesures. Si j’ai toujours apprécié ces quelques hommages discrets et sincères, j’ai toujours refusé violemment - au point d’en venir à des querelles épiques - de voir mon pseudonyme, mon personnage, ma création, utilisé par ces mous du bulbes qui pullulent insidieusement sur la toile et qui vous font des courbettes dans le seul espoir de s’attirer vos bonnes grâces, de voir leurs pseudos minables, dénichés dans je ne sais quelle merde infantilisante pour gamine pré-pubère, associé au votre.
Ca je n’ai jamais pu le tolérer, et ne le tolérerai jamais. Ceci étant dit, la mode du blog étant retombée, je ne fus linké - ou introduit -  ces derniers temps, que par quelques bloggeurs que j’estime, lis, et apprécie. Jusqu’à hier, je pouvais encore dire ça.
C’est alors que je suis tombé sur le pire des hommages qui soient, c’est alors qu’on m’a rabaissé au rang des pires sous êtres dont l’absence de talent n’a d’égale que leur prétention démesurée. Hier, quelqu’un, quelque chose devrais-je dire, avec un culot monstrueux, m’a ramené à son niveau, en prétendant suivre une démarche créative similaire à la mienne, et même, particulièrement à la mienne dans le sens où j‘associe des capacités créatives à mes occupations professionnelles qui sont à cent lieux de mes occupations artistiques . S’en est suivi un pamphlet - aussi mal rédigé que le reste de ses productions - sur les larves improductives qui ne font pas avancer la création. Je pense que même sous LSD, on ne dérive pas à un tel niveau de stupidité que celui dont a fait preuve l’auteur maladroit dont je parle aujourd’hui.

Alors écoute moi bien, gamin, je ne vais pas me la péter, je suis juste un bloggeur, j’en suis conscient, mais faut quand même pas charrier ! Passe encore ton attitude de caniche abandonné en proie à des conflits intérieurs qui lèche plus de pieds qu’un escalier en verra passer en cent cinquante ans, pour palier un manque flagrant d’affection et d’attention (Encore, tu aurais treize ans, je dirais rien). Passe encore cette manie que tu as de vouloir t’affirmer auprès des plus faibles et que ceux à qui tu voues un culte (parce qu’ils sont tout ce que tu ne seras jamais) t’ont laissé comme on laisse un os à ronger au bâtard du voisin… après tout, faut bien se faire la main avec les cartes qu’on nous distribue.
Passe encore que tu nous pondes des articles pompeux, tu fais ce que tu veux sur ton blog et je ne discute pas ça.
Passe encore que tu te prennes pour un critique hors pair quand  tu te contente de distribuer des bon points avec la condescendance d’un instituteur pédophile. Je considère qu’une bonne critique doit être faite avec les tripes, avec style (Et l’un des plus vieux cowbloggeurs que je lis régulièrement est passé maître dans l’art bien avant que tu te tripotes sur tes écrits minables), doit décortiquer les émotions que son auteur  a ressenti. Un bon critique, c’est avant tout un bon rédacteur, un narrateur de l’âme, qui sait également user des mots les plus durs pour crier sa déception, et non pas se comporter comme une Marie Poppins sous acide alors qu’il passe son temps à nous narrer à quel point c’est un connard qui méprise tout le monde quand il n’a en fait que de vagues prétentions mais pas les couilles pour les assumer. Un bon critique devient créatif quand on pourrait lire ses textes juste pour le plaisir et sans les associer à ce dont il parle, et qui nous donne par la même occasion l’irrépressible envie de mettre notre âme au diapason de la sienne. Mais c’est une opinion toute personnelle et je passe volontiers sur ta démarche minimaliste, parce que ce que tu fais, ça te regarde, moi pas.
Tout ça m’importais peu jusqu’à présent. Même le fait anecdotique sur lequel j’ai ironisé il y’a quelques mois, mettant en épingle ton incapacité à cesser de lécher des parties génitales quand tu te lances dans un pugilat scriptural que tu sais perdu d’avance, alors qu’un minimum de dignité, d’intelligence  et de bon sens, te ferait immédiatement taper du poing sur la table pour te montrer - enfin - à la hauteur de tes prétentions.  Même ça, je m’en foutais. Tes problèmes avec les autres ne me concernent en rien. Je me fous de ce qui se passe sur cette plateforme si je n’en suis pas à l’origine.

A la rigueur, tu aurais pu prendre ma consternation pour un encouragement à te conduire comme un homme une fois dans ta vie. Mais tu es resté drapé  dans ton attitude de gonzesse pleurnicharde asexuée qui refuse de jouer au docteur parce que le sexe, c’est sale, et tu n’as alors plus laissé de traces de ton passage chez moi, parce que j‘ai tapé sur ton orgueil fragile et juvénile... Pour finir par m'aduler moi aussi , mais tu n'as donc aucune once de dignité, sombre merde ? Ne va pas te faire des idées, tes interventions pathétiques ne manquent pas, je ne t’ai jamais enfoncé ici parce que tu me faisais un peu pitié (Inspirer la pitié à quelqu’un comme moi, c’est fort), et ce n'est pas à cause de ton absence que je réagis comme ça. A la rigueur, m'ignorer était cohérent et plein de bon sens, ça s'inscrivait dans une certaine logique et c'était louable dans le sens où j'ai clairement signifié que je n'avais aucune considération pour toi.
Bref, passe encore tout ce que tu as à ton actif et qui joue contre toi, ça me concerne pas, mais la seule chose que je ne supporte pas, il fallait que tu ailles jusque là. Mais qu’espérais-tu en chantant mes louanges ? Qu’espérais-tu, pauvre minable, en rabaissant ma démarche créative au niveau inexistant de la tienne ? Que ça allait me faire plaisir ? Que ça allait faire rayonner sur toi une once de mon talent ? Que tu allais t’abreuver, à l’instar de la sangsue, de mon être ?
Non. Tu voulais être sur un pied d’égalité avec quelqu’un qui te surpasse parce que tu es trop paresseux et vide de toute forme de talent pour trouver toi-même la voie de la création et t’y engouffrer corps et âme. Tu n’es rien de plus qu’un photocopieur qui vit dans l’ombre des œuvres insipides qu’il chronique et qu’il met sur un piédestal. Rien de plus qu’un être médiocre qui gît sous la semelle de ceux qu’il prend pour des géants, et qu’il porte en triomphe, car il n’existe rien chez lui qui mérite d’être applaudi.
 
Créer, ça n’a rien à voir avec ce que tu décris. Créer, c’est pas multiplier les identités, les blogs  et se trouver des pseudos - pompés eux aussi sur ce qui rempli le vide de ton existence… Non, créer, c’est partir de rien pour arriver nulle part, juste pour le plaisir de sortir un truc de son esprit et qui n’appartient qu’à soi.
Toi tu régurgites, tu vomis, tu pleurniches, mais tu ne crées rien. Tu ne créeras jamais rien. J’ai des centaines d’articles derrière moi, des centaines de planches, de dessins, de récits, d’histoires, de mots et de formes qui n’appartiennent qu’à moi et qui sans moi n’existeraient pas. Jamais, tu me lis bien petite vermine insignifiante, jamais, à l’instar de moi-même, tu ne seras un Atom.
Tu salis l’imagination et la création quand tu prétends que ta démarche est similaire à la mienne. Tu salis la « culture » que tu engranges, parce que tu l’ingurgites comme un porc, pour t’engraisser connement et pour nous chier d’énormes étrons dont se tartineront les simples d’esprits qui t’accompagnent dans tes délires narcissiques. Tu me salis, moi, parce que je n’ai rien à voir avec toi. Tu salis aussi ceux que tu congratules avec ton oeil acerbe de critique baroudeur (ironie inside), car ils valent tellement et infiniment plus que toi.
Retourne jouer dans ta catégorie. Je t’interdis de te comparer à moi, de mentionner mon pseudonyme, mon personnage, parce que c’est quelque chose que tu ne peux pas comprendre ni assimiler. Parce que je suis quelque chose qui te dépasse.


 

Mercredi 20 octobre 2010 à 1:36



Avant d'entamer la lecture de l'ultime épisode de cette première saison de Bonne nuit les petits, je vous invite à vous repencher sur les anciens épisodes, en particulier les épisodes 8, 9, 14, étant donné que d'anciens personnages y font une apparition. Ceci facilitera la compréhension de l'épisode du jour pour ceux d'entre vous qui découvrent la saga, ou pour ceux qui auraient besoin d'un simple petit rappel. Sans plus attendre, je vous laisse vous replonger dans ce dernier épisode qui, d'une certaine façon, marque la fin d'une ère. Dans un avenir proche, je compte entreprendre une refonte du premier épisode avant de vous proposer les 15 épisodes en format album, il n'y aura donc pas de suite dans l'immédiat, mais rassurez vous, Nounours ne disparaitra pas de ces pages - Non parce que je vous vois bien baliser là.

http://groumf.info/imageblog/nf1.jpg

http://groumf.info/imageblog/nf2.jpg

http://groumf.info/imageblog/nf3.jpg

http://groumf.info/imageblog/nf4.jpg

http://groumf.info/imageblog/nf5.jpg


Lundi 27 septembre 2010 à 0:52


Pour ceux d'entre vous qui suivent mes pérégrinations facebookiennes, vous avez pu visionner le croquis de Darth Vader réalisé dans la nuit d'hier. Quelques heures d'encrage plus tard, entre deux quintes de toux pleines de Kevins verdâtres et glumeux, ou de séances intensives de purge nasale, voici donc la version achevée.

http://groumf.info/imageblog/darthvader.jpg

Scooooooh... Kchhhhh...

 

Jeudi 23 septembre 2010 à 22:15



Après s'être fait longuement désiré, voici, pour ton plus grand bonheur, ô lecteur, quelques planches de Tranches de vide, la meilleure auto-fiction du moment. Je vais tenter d'augmenter un peu ma fréquence de post', même si le temps libre me manque pour dessiner à la fréquence désirée... Voilà ce qu'il en coûte d'avoir un travail et une vie sociale (Ainsi que, comme tout dessinateur qui se respecte, une propension démesurée à être à la bourre et surtout, à cultiver une bonne grosse flemme.) Sur ce, bonne lecture.

 


http://groumf.info/imageblog/tdv10.jpg

http://groumf.info/imageblog/tdv11.jpg

http://groumf.info/imageblog/tdv12.jpg

 

Dimanche 19 septembre 2010 à 22:47



Dimanche midi, quartier des antiquaires, flânant sous un beau soleil de mi-septembre au milieu des lampes d’un kitsch so 60’s à 160 euros (Et encore, je vous fais un prix madame) et agressé par des regards nasaux de quinquagénaires avachis devant leurs trésors mobiliers/guerriers/indéfinis, que j’ai découvert l’indécouvrable.
En effet, molesté par d’évocatrices génuflexions de sourcils condescendants et navrés de voir quelques gueux endimanchés de mon acabit traîner mon regard sur Jésus en pleine agonie disproportionnelle et faïences d’un goût plus que douteux, je baissai la tête pour cacher la honte liée à mon incapacité sommaire à apprécier ces mondanités pécuniaires de Roms qui se seraient embourgeoisés  afin que mon oeil acerbe élime le sol plutôt que ces vieilleries que les porschiaques promeneurs du dimanche négocient en retroussant la narine et se grattant la barbe avant de racler le fond de leur gorge d’où sort un « combien ? » convaincu, et qu’ils semblaient tous me reprocher de souiller par ma préséance néophyte.
Me frayant un chemin parmi les étales où me fixaient art primitif africain (fort laid) et bouddhas (fort gros), je posai mes yeux sur un bête cageot en plastique jaune, artefact somme toute inadéquat en ces lieux prétentieux d’étiquettes aux prix agressifs. Je me penchai sur l’objet susmentionné pour y découvrir de vieux comics VF. La résurrection de « Bucky », Captain America et les vengeurs, un Hulk au prise avec Man-thing, et tant d’autres choses fleurant bon les années 70-80. Fouillant sans grande conviction, plus pour le plaisir de tripoter des choses que je pouvais enfin apprécier à leur juste valeur (Tant monétaire qu’insolite) et ainsi, sans oser me l’avouer, rejoindre ce cercle étrange de ces précieux idiots farfouillant.

Mais il n’y avait rien dans ce bac qui me permettrait de repartir le sourcil haut empreint de mépris fasse aux gueux jaloux d’un trésor que je brandirai tel un trophée ou deux pieds de biche taxidermés de manière à en faire des portes manteaux, quand soudain, j’ai l’ai trouvé.  Le comic improbable, dont j’avais seulement entendu parler. Ce fantôme d’une autre époque, cette licorne de chez Marvel, ce héros oublié de tous qui serra pourtant les paluches de Daredevil, Spiderman et consorts. Tenant fébrilement ma rareté poussiéreuse, je me relevai la tête haute, plein de fierté, pour toiser de la narine le vendeur bedonnant, cheveux grisonnant, avachis sur une chaise de jardin, en mode furtif derrière ses faïences et ses cul’d’chats, avant de me gratter ma barbe fraîchement rasée la veille et racler le fond de ma gorge pour sortir, dans un soupir de connaisseur à qui on ne la fait pas, « combien ? »
Une fois le prix annoncé, mon objet dûment payé avec toute la sourcillesque déférence dont je suis capable, après que le vendeur, voyant que je faisais finalement, d’une certaine manière, souche commune avec « eux », s’étendit brièvement sur la cote de mon achat (a noter que le brocanteur, à la différence du commercial de base, vous fait l‘article de l‘achat une fois celui-ci payé, parce qu‘ici, bordel à cul, on sait ce qu‘on achète et pourquoi), je fis quelque pas, mon comic à la main, toisant du regard ces manants s’émerveillant devant des casseroles d’antan et des barriques de bois, devant le luxe vieillissant et le parventrisme sanctificateur de la rouille et du mauvais goût. Oui, je fis quelques pas, le sourcil hautement évocateur et le regard plein d’orgueil, la narine gauche fièrement retroussée semblant dire à tout ceux qui m’entouraient :

« Nous n’avons pas les mêmes valeurs. »

http://groumf.info/imageblog/humanfly.jpg(Human-Fly, le héros oublié...)

Mercredi 18 août 2010 à 22:24



Après avoir, entre autres choses, libéré pour la énième fois les terres d'Hyrule et repris le boulot (raaaaaaaaaaaaaah achevez moi pitié), j'ai bien trouvé quelques heures à tuer pour terminer ce quatrième épisode de Tranche de vide entamé dimanche. Je reste finalement sur ma nouvelle forme de mise en page, ça me convient et c'est plaisant à dessiner. Dans une autre optique, j'ai un one-shot en une planche en préparation (qui n'a rien à voir avec mes productions habituelles), et je pense m'atteler sur le prochain Nounours très prochainement. Voilà pour les annonces.

Avant de vous laisser entamer la lecture de l'épisode du jour, je tiens à vous signaler qu'avec cet article, je passe la barre symbolique des 500 articles. Ce blog affiche plus de 100.000 visites accumulées depuis sa création, un nombre faramineux de commentaires, d'échanges sympathiques et de frictions mémorables, et avec le départ d'un grand nombre des anciens membres présent à mon arrivée (Je vous jure que je ne suis pour rien dans ces disparitions...), je suis désormais l'un des 30 plus anciens bloggeurs de la plateforme. Je tiens à remercier chacun d'entre vous, vous tous, même toi, aussi inutile, pathétique, difforme, stupide et grotesque que tu puisses être, tu as contribué à la gloire de ce blog. Car il faut bien se rendre à l'évidence, n'en déplaise à ces ratés nuisibles qui prétendent qu'on fait un blog "avant tout pour soi", on fait un blog pour les autres, pour un lectorat, aussi mince soit-il. Après tout, et je vous pose la question, quel intérêt y'a-t-il à torcher 500 articles si c'est pour les garder pour sa pomme ? C'est la nature même du blog, lorsqu'on le rend public j'entends, de satisfaire un besoin d'expression plus qu'un besoin narcissique d'être apprécié et estimé. Bon dans certains cas, le blog sert particulièrement bien l'égocentrisme, mais l'un n'empêche pas l'autre. C'est même mon cas. Car après 500 articles, je n'en démords pas, je suis toujours mon lecteur et mon auteur préféré.

Mais faut avouer que c'est sympa de votre part de continuer à me lire, continuez comme ça. C'est bien. Vous avez bon goût.


http://groumf.info/imageblog/tdv07.jpg
http://groumf.info/imageblog/tdv08.jpg
http://groumf.info/imageblog/tdv09.jpg

 

Vendredi 13 août 2010 à 17:46



Si certains d'entre vous s'inquiètent, entre autre, de ne plus me voir poster ces temps ci, de ne pas avoir encore reçu à leur domicile un prix que je dois leur envoyer, que je ne les invite pas à boire un coup, que je ne leur rende pas visite, que je ne sorte pas de chez moi, que je ne donne pas de nouvelles, que je ne réponde pas à leurs appels téléphoniques, mail, wizz, pigeons voyageurs et ainsi de suite, rassurez vous ! La raison à vos angoisses et mon absence se cache subtilement dans l'image ci-dessous.

http://atom-of-the-end.cowblog.fr/images/nmo.jpg

Je me remets au boulot et rattrape mon retard dès que j'ai botté son gros cul à Ganondorf. Juré.

Lundi 26 juillet 2010 à 19:44


Aujourd'hui, je vous gratifie, dans ma grande mansuétude, d'un nouvel épisode de Tranches de vide, où je m'attaque cette fois à un trouble comportemental fréquent, pourtant ignoré du grand public, et dont je souffre. C'est toujours en deux planches cette fois ci, mais je pense modifier le format suivant mes besoins scénaristiques et mes envies. D'ailleurs pour le coup, je teste une nouvelle forme de mise en page, moins délimitée, plus anarchique, et qui colle bien avec l'épisode du jour (Les puristes comprendront). Je reste quelques temps sur ce style, histoire de voir si ça me convient vraiment. En tout cas, c'est plus plaisant à dessiner (et plus simple à scanner), et à moins que j'y trouve à redire, je pense aménager mon espace papier définitivement de la sorte. Vos commentaires sur ce point sont évidemment les bienvenus, au cas peu probable où je manquerai d'objectivité, ce qui est impossible étant donné que je suis génial.



http://groumf.info/imageblog/tdv05.jpg

http://groumf.info/imageblog/tdv06.jpg

Lundi 19 juillet 2010 à 22:10



Avant toute chose, vous constaterez le retour des images sur ce blog, il s'agissait bien d'un problème de mon hébergeur. Aussi, comme annoncé hier lors des résultats du quizz, puisque le problème est résolu, vous trouverez ci-dessous deux nouvelles planches. Alors un petit mot avant tout, cette série, basée sur moi même (ou comment conjuguer blog et egocentrisme), mes proches, ma vie tout ça tout ça, porte le nom de "Tranches de vide". Vous constaterez, si vous êtes un minimum observateurs, que l'épisode du jour affiche le numéro 2.

Alors quoi ? Comment ? As-tu raté un post de ton bloggeur préféré ? Que nenni, ami lecteur, n'aie crainte ! Je vais tout t'expliquer. Même toi tu vas comprendre.
Puisque j'ai plusieurs épisodes en préparation pour cette nouvelle série, je me suis dit qu'il était logique de lui créer sa catégorie, et en y repensant, l'article "Enfournez moi fort"  y trouve sa place, il est donc devenu le premier article de la série, même s'il a été posté il y'a un petit moment déjà... Voilà, vous savez tout.

Bon je sais, vous vous en tamponnez complet de ce que je raconte, d'ailleurs vous n'êtes même plus là, mais poster un épisode numéroté 2 sans un numéro 1 pourrait créer une grave déchirure spatio-temporelle, et je refuse d'assumer cette responsabilité. On déconne pas avec le continuum ! Et puis on ne sait jamais, si d'ici vingt ans ma série fait un carton, je pourrais être tenté de faire un numéro 1 affligeant avec plein d'effets spéciaux et un scenario de merde sans vraiment pouvoir le justifier autrement que par un besoin obsessionnel de pognon. Je suppose que ce sont des choses qui arrivent.


http://groumf.info/imageblog/tdv03.jpg

http://groumf.info/imageblog/tdv04.jpg


 

 

Dimanche 18 juillet 2010 à 21:41


Avant toute chose, vous constaterez l'absence totale d'image sur l'ensemble de mon blog, ceci est imputable à une défaillance de mon hébergeur. J'espère que tout rentrera dans l'ordre rapidement vu que j'ai de nouvelles planches à poster ici. Ceci étant dit, le grand moment est arrivé.
Je vais vous révéler le classement du quizz Super Mario. Pour mémoire, il fallait donc trouver le nom ou l’espèce de tous les personnages qui faisaient une apparition dans ma dernière B.D. Avant de dévoiler le classement, voici ce qu’il fallait trouver  :

http://atom-of-the-end.cowblog.fr/images/quizz.jpg

1ère Planche
1ère case : Donkey kong, Bowser, Link et sa fée Navi. Toad, un Goomba. Pac-man qui poursuit un Ghost.
2ème case : Luigi et Diddy Kong. Et… Et : La célèbre étoile d’invincibilité de Mario. Je n’acceptais pas Starfy puisque ce personnage possède une bouche ainsi que des joues roses, je n’acceptais pas non plus Luma de Mario Galaxy puisque sa morphologie est différente.
Cependant, je me montre souple sur ce point avec deux concurrents, la distinction n’était, je vous l’accorde, pas forcément évidente.
4ème case : Mario, Bob-omb, un Koopa Troopa, Solid Snake, Fox Mc Cloud, un lapin crétin, Ryu

2ème Planche
2ème case : Ganondorf (type zelda 64) Sonic, Kirby, Pikachu, Bomberman
3ème case : Un Boo, Wario, Yoshi, Megaman, un Maskass (J’acceptais aussi shyguy)

3ème Planche
1ère case : Ken, Peach

Ce qui nous donne un total de 30 personnages, si on excepte le personnage mystère qui est issu de mon blog et non de l’univers Nintendo (Il ne compte pas dans le barème de notation, mais éventuellement, il pouvait servir à départager certains concurrents)

Bref, le classement :

1 ère place : Petrifiedeyes avec un joli one-shot pour un total de 30 points sur 30 (Et qui se paie le luxe de trouver le perso caché)
2nd place : Chase avec un total de 29 points (Erreur sur l’étoile) qui a trouvé également le perso caché en fouillant sur mon blog : )
3ème place : Edgar.friendly avec un total de 28 points (Erreur sur l’étoile et tu as oublié le nom de la fée de Link, dommage)

4ème : Photographe-perdu avec 27 points.
5ème : JoKeR avec 17 points, plus le perso bonus qui ne pouvait pas lui échapper.
6ème : TGS avec 16 points

Plus une ou deux participation anonyme, mais avec des scores très inférieurs.

Le cadeau mystère est donc remporté par Petrif

Je remercie chaudement  tous ces participants pour avoir consacré un peu de temps à ce petit quizz.  Cependant, bien qu’il n’était pas prévu à la base de lots de consolations, vu les scores serrés entre les trois premiers participants, Chase et Edgar remportent également un prix. Je ramollis, je sais.
J’invite donc ces sympathiques lecteurs à me transmettre l’adresse de leur domicile afin de leur envoyer leurs prix. Je vous demande également un peu de temps afin de m’atteler à la réalisation de vos trophées (ce qui vous donne peut être une idée de ce que je prépare) ainsi qu’à leur expédition.


 

<< Page précédente | 3 | 4 | 5 | 6 | 7 | 8 | 9 | 10 | 11 | 12 | Page suivante >>

Créer un podcast