Dimanche 15 avril 2007 à 22:59




X & X,
Les Biteurs Masqués

Dimanche 15 avril 2007 à 21:38




X & X
Les Biteurs Masqués

Samedi 14 avril 2007 à 20:51


Anorexie

Ce régime alimentaire draconien, signe d'un malaise mental étrange, est honteusement diabolisé par les médias, de façon bien hypocrite cela va de soit.



Un model est avant tout un cintre.

Dénigrer une image dont on perdure à faire une icône, c'est comme un politicien qui dit que l'état se moque du peuple. Mais pourquoi diaboliser plus ce comportement, signe d'acharnement, de combat, de dépassement de soit chez des jeunes entourés de larves incapables de muer dignement. L'anorexie est un exemple de volonté de se conformer à un idéal, et toute personne devrait suivre l'exemple de ces héros plein de courage luttant contre eux-mêmes en quête d'idéal.


Et s'ils pouvaient tous crever par la même occasion ce serait pas mal.

Samedi 14 avril 2007 à 17:05

Notre martyr du bon sens a enfin décidé de laisser libre recours aux divagations de ses lecteurs préférés. Le fou. Encore eut-il fallu qu'il réalise ce qui pouvait lui arriver.


Bon, bande d'endives, si vous n'avez pas reconnu Demon, c'est vraiment que vous le faisiez exprès.


Samedi 14 avril 2007 à 15:28



Il y a maintenant plus de deux ans, fin décembre 2004 – début janvier 2005, je me suis hasardé sur le net à la recherche d'une plateforme de blog, et le hasard m'a conduit ici. Une première version d'Atom-of-the-end est née à cette époque, pour être supprimée deux mois et demi plus tard. En avril 2005, le démon du blogging s'est montré plus fort que moi, et bien que n'étant pas sûr de mon art ou de la direction que j'allais faire prendre à mon navire, je me suis lancé.
L'envie d'écrire était bien présente en moi depuis quelques années, ce sont pourtant ces deux années sur cow qui sont significatives de mes progrès. J'ai finalement toujours plus ou moins versé dans le même genre, en l'améliorant sans cesse, en tentant des expériences, plus ou moins fructueuses. C'est aussi et surtout grâce à ce blog, que je me suis réellement remis à dessiner. Je ne vous cacherai pas, même si je ne suis guère du genre à me livrer outre mesure sur ce blog, que l'année de mes 19-20 ans fut un grand moment de solitude. Peut être la période la plus douloureuse de ma jeune existence, et toujours est il qu'à la suite d'événements pour le moins difficiles, j'avais perdu toute motivation.
Je n'irai pas jusqu'à dire que le blog est mon remède, que j'y ai déversé toute ma peine – encore heureux – ou que sais je encore, mais ce n'est pas le cas. Ce blog et le personnage multi facette de l'Atom-of-the-end qui l'accompagne, ce ne sont pas des remèdes, ce sont mes armes. Deux années se sont écoulées déjà… La motivation qui me pousse à remplir ce blog n'obéit plus aux mêmes besoins.

Autrefois, c'était peut être un besoin naïf de reconnaissance, puis c'est devenu un jeu, repousser les limites de l'acceptable tout en restant fidèle à quelques principes, c'est enfin devenu une passion dévorante, et c'est peut être le plus paradoxale chez un personnage comme celui que j'incarne, offrir au lecteur un bon divertissement. Je sais que cette notion peut ne pas tellement coller avec ce qu'on pourrait s'imaginer de l'auteur de ces lignes, mais avant de poster un article, ma première pensée est pour ceux qui vont le lire, et la réaction que mes mots vont provoquer. Deux ans déjà, et je me rends compte des progrès, de l'évolution de ce blog, qui suit généralement celle de son auteur, mais je me demande, même avec ces éléments en mains, si quelqu'un peut dire qu'il connaît Atom-of-the-end et ce qui le sépare de son créateur ?
Enfin bref, comme je le disais quelques lignes plus haut, c'est avant tout pour mon lectoratoccasionnel ou régulier – que je poste. Non ce n'est pas pour moi, même si j'admets être mon plus fidèle lecteur, c'est bien pour vous, et à ce titre, je vais tenter un truc que je n'ai pas tenté ici, à part avec l'aimable incrustation de joKeR de temps à autre – qu'il soit invité ou non, 'toute façon il fait ce qu'il veut – j'ouvre, et cela pour quelques jours, exceptionnellement, mon blog au publique.

J'offre à quiconque, cowbloggeurs ou simples visiteurs, illustres couillons ou pèlerins anonymes, l'occasion unique de voir son pseudo ici, au bas d'un article – avec le lien oui si tu veux je m'en cogne – et de vivre dans la peau de l'Atom-of-the-end à cette occasion. Tout ça pour fêter les deux ans du blog.
Bien entendu, qui dit mode invité dit règles à respecter, mais je vais faire simple :
 
  - On signe son article, même si l'on n'est pas originaire de cow, le tout est que je connaisse le pseudo.
  - Bien que je sois du genre unique en son genre, je vous demanderai de suivre au possible la trame de ce blog. Ou sinon faites mon éloge. Enfin bref si je vois un post sur les bisounours en vacances autant dire qu'il sera supprimé directement.
  - Si possible aussi, éviter le langage approximatif.
  - Eviter également les caricatures dessins et autre, sauf si vous êtes doués pour ça, sous cette unique condition, vos œuvres seront la bienvenue. Je répète : a eviter sauf si vous êtes doués, les cow's n'ayant pas la même notion de ce qu'est être doué, il est bon d'insister.
  - On  soigne la mise en page, pas de polices fantaisistes, un horrible et énorme lettrage etc…
  - On poste son article dans la catégorie « Tas de merde ».

Voilà, c'est presque tout ce que vous devez savoir, si ce n'est les identifiants en mode invité:

Pseudo : atom-of-the-end  (logique non ?)
Mot de passe
 : groumf


Lundi 9 avril 2007 à 13:33



C'est par une fraiche nuit, à 23 heures et onze minutes précises, que je montai dans le train, gare de Marseille, pour qu'au terme de huit heures de trajet se profilent devant moi les nobles paysages lorrains. Passons vite sur l'incident qui vit un gros puant demander sa place à mes côtés, tandis qu'au préalable j'avais placé mes propres affaires afin de lui faire qu'il y avait quelqu'un, pour l'inciter à demander au contrôleur, noble fonctionnaire au poil soyeux, s'il y avait possibilité pour lui d'être placé autre part… Que voulez vous, j'aime avoir de l'espace et dormir sur deux sièges.

Arrivé aux premières lueurs du jour, je me re-familiarise avec les us et coutumes de la faune nancéienne. Comment qu'c'est gros ? Git's ? Pâté lorrain et fraîcheur matinale. Mais la première chose qui me frappe, c'est l'absence totale de hordes de lorrains, pétrifiés par ma seule arrivée, et venant en masse m'accueillir comme on accueille un féroce dictateur, avec crainte et respect. Alors on se tape huit heures de train et tout ça pour quoi ? Non mais franchement…
Pire que tout, l'atmosphère pesante et grise semble avoir disparu. Que reste-t-il de ce Nancy froid et désagréable. Et moi, que m'arrive-t-il ? Car au fond de moi je ressens une sorte de joie naïve d'un employé modèle en congé payé… Se pourrait-il que les choses aient à ce point changé ? Là, je repense au gros puant contraint de voyager ailleurs qu'à sa place, juste pour me rassurer.

Rapide retour au domicile parental, visite assidue de mon plumard, pâté lorrain à nouveau et petite sortie pour renouer avec l'environnement naturel d'un Groumf. Et là, l'horreur atteint son apogée. Des visages radieux, des sourires sur toutes les lèvres, des enfants qui ne pleurent pas, la Mélodie du bonheur sodomisant joyeusement la Petite maison dans la prairie sur fond sonore de Pierre et le loup. C'est plus que je ne puis en supporter. J'avance et me place au milieu de la foule, j'éructe un cri barbare, je hurle « Groumf », comme pour signifier mon retour triomphant… où marquer mon territoire, mais pour ça je préfère pisser contre un arbre.
Soudain, la foule se glace, les enfants pleurent, la crainte s'installe, et je songe qu'il est bon de se sentir chez soi. Je passe mon chemin, sentant les regards sur moi, ces regards qui disent « mais c'est qui ce tordu ? ».
Je déambule au hasard, et mes pas  me mènent à la pépinière. Ici encore, le même psycho-drame : Plus aucun jeune ivre et mal habillé en train de s'exploser le foie au panaché, les dealers et l'insécurité qu'ils cultivaient, tout ça envolé, les enfants sont heureux, les parents sont confiants…

Il faudrait plus qu'un hurlement barbare pour me remonter le moral. Mais qu'est il donc arrivé ? Quel genre de cataclysme dans l'équilibre cosmique mon départ a-t-il provoqué ? Cachez-moi ce bonheur et cette insouciance que je ne saurais voir. Vite il me faut un pâté lorrain. Je trouve une boulangerie, me gave, mais à peine en ai-je terminé avec cette succulente spécialité que la boulangère se risque à me faire remarquer que les pâtés lorrains végétariens semblent être tout a fait à mon goût. Interloqué, je lui ris au nez en précisant qu'un pâté lorrain sans viande, ce n'est pas un pâté lorrain, et que ça n'existe pas. Elle affirme le contraire, et ajoute que tous les pâtés lorrains de la ville sont désormais sans viande. Les larmes montent, je dois m'enfuir, me cacher, loin de cette folie qui envahit cette ville, et dégueuler un coup.
Toute la journée, le cauchemar se poursuit, tout ce bonheur, toute cette joie, tous ces pâtés lorrains sans viande… Seigneur Dieu, que s'est il passé ?
Je marche, et ne suis plus que l'ombre de moi-même, en vain, j'ai cherché un handicapé moteur pour le jeter à terre et lui piquer son fauteuil, mais en vain, il n'existe plus d'handicapés à Nancy, pas plus qu'il n'existe d'eau de vie de mirabelle, ce qui est un problème d'autant plus grave que je comptais noyer mon désespoir dans l'alcool à 90.

A suivre.



Mercredi 4 avril 2007 à 22:38




Avec la grande opération Sidaction, laissez moi vous dire  tout ce cirque ne m'a pas laissé indifférent.  Et oui, même moi, j'ai donné.  Oui parfaitement, j'ai donné. J'ai donné de mon temps, peut être même trop, et pour quoi ? Pour entendre encore une fois que le sida faisait encore des morts - haaannn le sida tue des geeeens -, qu'il fallait continuer à lutter, tous ensembles - ils aiment bien insister sur le « tous ensembles » - et que les malades du sida étaient avant tout, des gens comme vous et moi.
Je dis trop c'est trop. 
Non mais vous en avez pas marre de prendre les gens pour des cons ? Des gens comme vous et moi ? Ben non. Ils ont le sida, ils ne sont pas comme tout le monde. Faut être logique. En plus je ne vois pas, dans ce cas, l'intérêt de ces campagnes de dons, des campagnes de dons ignobles et odieuses, qui prostituent le sentiment de pitié au rabais pour quelques centaines de milliers d'euros. On donne du pognon pour le filer à des gens comme vous et moi, qui finalement sont à l'occasion des campagnes de dons, de pauvres victimes d'une terrible maladie. Je hurle à l'arnaque. Faudrait se décider sur le statut des personnes atteintes du sida.

Je m'insurge également contre la contenance même de cette campagne. Mielleuse et déprimante, un défilé de bras cassés du paf  en train de faire la pute pour des promesses de dons, heureusement que ça n'arrive qu'une fois par an. Le sida tue des gens, alors allégeons nos portes monnaies pour les soulager eux. Je ne suis pas d'accord.
Oublions nous donc les nobles valeurs préélectorales : Le travail ! L'effort ! Le non à l'assistanat ! Et voilà qu'il faudrait qu'on range nos bonnes habitudes de pays de droite tout ça pour une bande de loqueteux qu'ont d'ores et déjà les couilles dans la tombe. Des dons pour la recherche ? Il y a visiblement assez de malades du sida pour qu'ils suffisent eux même à renflouer les caisses de la recherche. En plus si ce sont « des gens comme vous et moi », et bien il peuvent travailler, travailler plus pour gagner plus comme il a dit Sarkozy -, et donc  filer du fric à la recherche.
Et comment oublier le comble de la mauvaise foi, qu'ils s'agissent des malades eux-mêmes ou des starlettes qui les défendent : ON vit mieux et plus longtemps - donc on paye pour prolonger une douce agonie - avec la maladie qu'il y a vingt, quinze ou cinq ans ! Et bien tant mieux, arrêtons de donner alors. Vous vous foutez de la gueule du monde ! Alors on vous donne le doigt et au final vous nous arrachez la moitié du corps ? Bravo, vous êtes à l'image de votre maladie.
 


Bref un léger constat s'impose : vous l'aurez compris, je refuse de cautionner ce genre d'action consistant à délester d'honnêtes citoyens de l'argent durement gagner tous ça pour aider des gens qui finalement « vivent mieux avec la maladie », « qui sont comme vous et moi » alors qu'on ne cesse de nous rabâcher qu'il faut arrêter d'assister les gens. Après tout, ce dont ils ont besoin, c'est qu'on ne les regarde plus avec peur et angoisse, visiblement - juste avec pitié histoire de donner -, mais qu'on les regarde comme n'importe qui d'autre. Alors très bien, comme je le dirais à n'importe quel trou du cul me demandant du fric, je vous demanderai d'allez vous faire foutre.
Savez vous qu'un partie des dons sert bien entendu à payer des capotes et des médicaments destinés à l'Afrique, gravement touchée par le sida. Pourtant, l'aide peut rapporter du fric au lieu d'en coûter. Voilà des années qu'on leur vend des armes pour s'entretuer,  - et sur ce point, la France apporte l'une des meilleure aide humanitaire qui soit - ce qui m'amène à la réflexion suivante.
      Le sida est un problème, un gros problème, sortez couvert, on ne le dira jamais assez. Et pourtant, il serait si simple d'y remédier, à ce fléau. On commence par ficher tous les malades du sida, une fois que c'est fait, on créé un grand centre, avec clôtures, barbelés et miradors, financés par les dons, et on administre un antidote sous forme de balle de ak-47une balle est plus efficace qu'une capote en latex – et hop, terminé, fini le sida. Si l'éradication d'un fléau passe par les pertes humaines, je ne vois pas pourquoi on ferait les chochottes.  Comme ça, on nous bassinera plus avec les dons pour la recherche.
Imaginez, au moyen âge, qu'on demande des dons pour la recherche contre la peste bubonique ou la lèpre : Bah non, au moyen âge, on chasse les malades pour éviter l'épidémie et on les laisse crever. Faut pas me la faire à moi, on a pas tellement évoluer depuis. Face à un problème, il convient de choisir la solution la plus logique, rapide et barbare qui soit, pour limiter la casse, au lieu de faire traîner – ça c'est mon côté « shooté à la culture américaine » -.
Il faut parfois sacrifier l'agneau pour sauver le troupeau, mais sachez que votre sacrifice restera dans les mémoires. Je suis d'ailleurs pour l'euthanasie au passage, mais je pense que certains la défendent mieux et que vous n'êtes pas encore prêt pour ma vision de la chose. Je peux juste vous dire qu'en plus du fusil et de la cartouche, ça passe par l'anus. Ca tombe bien, c'était la semaine de la coloscopie il y a peu.

Passons maintenant à cet espèce d'enfoiré déambulant avec son panneau « free hugs » ! Mais si je vois un mec pareil dans la rue maintenant, ma première pensée serait qu'il a le sida - au moins une pub qui sert à quelque chose : à quand l'étoile jaune ? - et donc je l'éviterai soigneusement. Avant j'aurais pensé naïvement " il est simplement homo ", et je l'aurais d'ailleurs évité avec le même acharnement. Quoi que, fut un temps où l'on considérait que le sida était la maladie des camés, des nègres et des tarlouzes.  Donc si ça se trouve il est homo en plus d'avoir le sida. Et si ça se trouve, sa manie de tripoter tout le monde, c'est un moyen comme un autre pour délester les gens de leur argent pour courir ensuite s'acheter sa dose. Bordel le mec j'avais déjà envie de lui jeter des pierres, et sur le coup la c'est une chance qu'il ne soit pas noir, on m'aurait encore prêter des propos racistes qui ne sont nullement les miens, alors profitions en ! Lapidez le cet enfoiré pervers amateur de câlins. Free hugs, free stones.

Ouais, tout ça pour dire que j'aime pas donner du fric, ni qu'on essaie de me faire culpabiliser pour que j'en donne. 

 

 

 


Mercredi 4 avril 2007 à 21:07



Parfois, on a trop à dire, et découper toute la teneur de son message pour en faire plusieurs commentaire devient lassant, aussi, très exceptionnellement, je donne ma réponse sous forme d'article, à mon cher imam de service, Momoh, qui, lors de notre dernier échange, comme tout bon croyant légèrement ahuri, a décidé de combler son manque de répartie par de longues citations (légèrement sans rapport avec l'essence même du sujet, à savoir l'inexistence de Dieu.) D'ailleurs si l'origine de cet article vous intrigue, ça se passe >> ici <<


"Al-Anfal - 8.39. Et combattez-les jusqu'à ce qu'il ne subsiste plus d'association, et que la religion soit entièrement à Allah."

 

C'est marrant, si tu remplaces « religion » par « Reich » ou « espace vital » et « Allah » par « peuple Aryen », que tu cales un " juifs, nègres et bougnoules " après « combattez les », ta religion ressemble plus à du nazisme qu'autre chose. Et après ça vient me traiter de raciste.

 

"An-Nisaa - 4.76. Les croyants combattent dans le sentier d'Allah, et ceux qui ne croient pas combattent dans le sentier du Tagut . Eh bien, combattez les alliés de Diable, car la ruse du Diable est certes, faible."

Ce qui est faible, c'est d'inciter à la haine et au combat pour ne pas à avoir vivre avec les différences des autres peuples. Bravo, tu prouves que ta vision de l'islam se résume à une vision sectaire, élitiste, discriminatoire et haineuse. On se demande d'où provient l'islamophobie actuelle quand des mecs tiennent des propos pareils.

 « At-Tauba - 9.29. combattez ceux qui ne croient ni en Allah ni au Jour dernier, qui n'interdisent pas ce qu'Allah et Son messager ont interdit et qui ne professent pas la religion de la vérité, parmi ceux qui ont reçu le Livre, jusqu'à ce qu'ils versent la capitation par leurs propres mains, après s'être humilies . »

Encore une belle preuve de tolérance, où la religion ne laisse pas à l'Homme le choix de suivre un autre chemin. Ton messager et son Dieu ne sont pas ceux de tout le monde, faudra t'y faire pauvre arriéré xénophobe.
En tous les cas j'aime ce passage : En gros, ne respectons pas les lois des pays où l'on réside, appuyons nous sur un bouquin barbare écrit il y a mille ans par un fou furieux qui parle de massacre toutes les deux lignes. J'pense que le con qui a écrit ce bouquin avait foutrement besoin d'un psy.

 « Al-Baqara - 2.190. combattez dans le sentier d'Allah ceux qui vous combattent, et ne transgressez pas. Certes. Allah n'aime pas les transgresseurs ! »

Allah(tchoum) aurait mieux fait de ne pas aimer les cons, je serais pas obliger de lire des conneries pareilles.

 « Al-Baqara - 2.191. Et tuez-les, où que vous les rencontriez; et chassez-les d'où ils vous ont chassés : l'association est plus grave que le meurtre. Mais ne les combattez pas près de la Mosquée sacrée avant qu'ils ne vous y aient combattus. S'ils vous y combattent, tuez-les donc. Telle est la rétribution des mécréants. »

Et encore une fois, tu nous apportes la preuve de la barbarie et de l'incroyable ouverture d'esprit dont font preuve les crétins qui manquent à la fois de discernement et de réflexion.
Tuons les tous, Dieu reconnaîtra les siens.
Remarque il a le sens de l'humour Allah : ne tuons pas devant la mosquée ça fait désordre et le sang tâche les tapis. Un magnifique message de paix, censé nous montrer à quel point le créateur de l'univers est un être si divin, si magnifique, quand il demande à ses fidèles d'agir comme le ferait un homme des cavernes au lieu de les inciter à transcender la basse nature humaine. Qu'on ne me fasse pas croire que ce bouquin est rédigé de la main de Dieu alors que son auteur parle comme un soudard du moyen âge.

Jusqu'à présent, la rétribution des mécréants, c'est le ridicule, et tu es un mécréant, à citer ainsi à l'arrache des passages d'un livre que tu n'a certainement que feuilleté afin de te faire de l'air un jour de canicule, pour réussir à n'en tirer finalement que le pire.

Et pour revenir au sujet central, c'est donc bien ce que je pensais depuis le début : ce que tu appelles preuves de l'existence de Dieu, c'est un bouquin, un « livre saint » (je me marre), qui parle de meurtre toutes les deux lignes. Quand je pense que le peuple musulman se sent outré lorsqu'on lui fait remarquer que le Coran c'est un peu hard, qu'ils nous assurent que ça ne se résume pas à ça, de la barbarie et du sang partout, et que des mecs comme toi passent derrière pour nous chier les pires passages du « Coran pour les nuls »… J'en pleure de rire.

Si la seule chose que tu tires de la foi, c'est la haine de ton prochain et non pas l'enrichissement personnel ou l'apprentissage de valeurs plus nobles que celles de l'ivrogne du bar du coin qui cherche la merde à tout le monde pour prouver qu'il a raison, alors tu me fais presque pitié, si tu ne me faisais pas autant rire, je prendrai cinq minutes pour te plaindre.

Si la seule réponse que tu puisses donner, c'est la haine, alors laisse moi te dire que je crache sur ta foi, que je pisse sur ton bouquin de merde, auquel j'arracherai au préalable les pages que tu cites pour me torcher le cul avec une fois que j'aurai joyeusement chié dessus.
Et qu'on vienne pas me traiter de raciste, de xénophobe, d'intolérant ou autre; déjà que je ne crois pas spécialement en la tolérance mais plutôt en la capacité de passer outre ce qui nous fait chier sans pour autant l'accepter, j'ai pas en plus à me montrer condescendant avec des enculés. Amen.





Lundi 19 mars 2007 à 20:59




Dieu est une machine bien huilée aux codes inflexibles propres à l'hégémonie du rien. Nous sommes les créations mécaniques du vide inter-neuronale. Viendra le temps ou l'Homme transcendera sa condition d'animal humain domestiqué, pour palier au manque d'amour divin. Viendra l'avènement de l'homo-machina, ou notre fusible encéphale répondra aux mêmes besoins que ceux de la mécanique céleste, créer le vide, en appelant ça la vie.



Et nous serons fiers, triomphants, d'étaler avec force la médiocrité fraîchement sortie d'une chaîne de montage, tandis que les générations futures lorgnerons sur le passé avec des rites absurdes en nous rendant gloire. Dieu est une machine complexe génératrice de néant, et tandis que le fluide de la vie s'écoule par ses orifices, ses tuyaux perforés nous chient sur la Terre comme autant de bâtards-rejetons indésirables. Nos faiblesses en disent long sur ce que nous sommes.

Là où les idéalistes bêlants voient la beauté, je ne vois qu'une tare universelle affectée à la mastication. Celui qui croit au grand rôle ou à la destinée de l'humain sous sa forme actuelle est un imbécile et un fou. A peine avons nous passé la tête entre les jambes de l'évolution que nous croyons déjà être capable d'autre chose que de brailler comme des cons. La prochaine étape est cruciale, et ne vient pas d'une trappe rouillé qui aurait cédé quelque part, sous les couilles de Dieu, non. Elle vient de l'Homme.

Nous comblons par la technique l'imperfection dont nous sommes dotés , jusqu'au  jour où nous serons enfin fait à l'image de Dieu, quitte à le faire nous mêmes.

Dieu sort de la machine.
Nous sommes des étrons divins.


Lundi 12 février 2007 à 20:53




Colle moi l'asphalte déprimée sur le coin du globe oculaire, où le sel des rêves rencontre la tiédeur amère des désillusions du réel. Je suis aveugle. Carre moi la douceur et l'exaltation  au fond de la cervelle jusqu'à ce que je la vomisse par les orbites, fourre moi le Christ dans le cul, je ne verrai rien de plus. Rien de nouveau. Je suis un putain d'aveugle.

 

Caresse moi la perversité avec des animaux mutilés, jongle avec mes couilles au dessus d'un barbecue diabolique, amuse toi de mes peurs et de mes fantasmes avant de payer le droit de passage, je ne verrai rien de plus, une fois encore.

Je suis un putain d'aveugle.

Ouvre moi l'âme au cutter et offre moi l'amour sur le cadavre du géniteur suprême, jette moi des figues imbibées au vitriol de ma prétention, gomme le point de départ de la schématique existentiel, viole moi l'oreille au coton tige, je ne te verrai même pas venir. Je suis un putain d'aveugle.

Fais moi vieillir, brise mes os et ouvre ma chair, suce moi le cerveau, rien n'est assez beau, rien n'est assez transcendant, pour que je daigne voir ce que je consume dans le brasier de la vie, à commencer par cette humanité qui est la mienne et que je m'efforce de ne pas regarder brûler. Essuie juste tes pieds avant d'entrer dans mon esprit, et n'arrache pas le cœur de son autel, ils me permettent de voir ce que nos yeux ne peuvent pas même admirer. Avec le troisième œil, je la contemple Elle, la lumière de mon néant, tandis d'une main fébrile et timide, je cherche les regards arrachés jadis. En attendant, son éclat me console et m'apaise, me réchauffe, et rien d'autre ne vaut la peine, non, rien.

Et parce que je le veux bien, je reste un putain d'aveugle qui vous regarde mourir.

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