Mardi 13 juin 2006 à 1:45



Tu sais, il y a parfois, je le sens, une sorte de barrière infranchissable, une frontière avec péage et douaniers, entre toi et moi.
Longtemps j'ai pensé naïvement que mon amour immodéré pouvait braver tous les obstacles, force est de constater que je me trompais.

Pourtant, je sens aussi ce lien qui nous unit l'un à l'autre, et je m'échine à le renforcer chaque secondes, tandis que le sort lui, s'évertue à le fragiliser.
Longtemps, je t'ai considéré comme inaccessible, drapé dans ta beauté divine sur le piédestal de ta supériorité indéniable,  ton corps semblait être un fruit défendu auquel je ne pouvais goûter, ton esprit, lui, un Bouddha à la méditation imperturbable dont le shakra ne poserai pas même les yeux sur moi.

Oui, longtemps tu fus cette pomme d'Adam sur laquelle je ne pouvais que saliver. Et bien qu'aujourd'hui, tu restes une icône, objet de fantasme et de désire, j'ai appris peu à peu, a vivre dans ton indifférence. Oui, cela se révéla extrêmement difficile, tu étais cette drogue à laquelle j'étais accroc

J'ai erré, en proie à l'hallucination la plus horrible qui soit pour l'âme en peine, ton image se substituait lentement à mon propre reflet, si bien que, encore maintenant, c'est ton visage que je vois constamment lorsque je suis censé croiser le mien. Petit à petit, c'est ton rire qui résonnait, ce sont tes mots qui s'immisçaient en moi, ce sont tes pensées, que je ressens à chaque instant.


Je vis avec cette obsession constante pour ta personne, et ce depuis mon plus jeune âge, et malgré les obstacles anatomiques qui nous séparent, et qui fondamentalement, nous restreignent au simple contact charnel préliminaire ainsi qu'à l'amour cruellement platonique, jamais je n'ai éprouvé de sentiment plus fort à l'égard d'une autre personne que toi.

Je resterai fort, pour nous.

Oui tu l'as compris, je sais qu'en ce moment, tu lis ces mots à travers nos yeux, et sous tes doigts longilignes et délicats, tu tapotes les mêmes mots sur le clavier. Toi aussi, tu souffres de cet amour impossible, moi aussi, je suis ton icône inaccessible, ton trésor interdit, ton fruit défendu.
Ce qui me console, c'est que face à l'adversité, nous sommes toujours unis, par ce même amour fusionnel et passionné. Je te le dis sans crainte et sans faille, et d'ailleurs je tiens à ce que tout le monde le sache :

Je m'aime. Oui, je m'aime.

Même si chaque fois que je me tente de me lécher les couilles, je tombe du canapé,
et que l'auto-sodomie est une aberration anatomique que je ne peux guère contourner.

Mercredi 7 juin 2006 à 13:38



On l'attendait, et comme à chaque fois qu'on l'attendait, elle n'est pas venue. L'apocalypse, le Jugement Dernier, c'est un peu comme bon nombre de phénomènes paranormaux, ça n'existe que dans l'esprit des naïfs et de ceux qui font en sorte que le mythe perdure.
Je le savais bien moi, que rien en se passerait. Hormis quelques petites choses que je ne m'explique pas, il n'y pas de quoi casser trois pattes à un canard.
Tout s'annonce comme une journée parfaitement normale, si on excepte que pour des raisons inconnues, il manque un pan de mur à l'immeuble où je réside, d'un côté c'est pratique, j'ai une vue magnifiquement panoramique sur le barrage depuis mon lit désormais.
Lorsque je sors, afin de faire un footing matinal, ce qui consiste, à mon niveau, à marcher sur environ 500 mètres et revenir chez moi, je constate que l'eau est de plus en plus dégueulasse aux abords du barrage, elle a viré rouge sang, et tous les poissons sont, semble-t-il,  morts durant la nuit. D'un autre côté je m'en fous alors je continue mon chemin.
Puisque je suis dehors, autant faire un détour par la boulangerie. Je quitte mon quartier paisible, et exceptionnellement en ruine, et me dirige vers la boulangerie la plus proche même si le pain et les pâtés lorrains y sont infâmes, comme tout bon fainéant qui se respecte.

Sur le chemin je constate avec tristesse que les émeutes ont recommencé. Les voitures sont pour la plus parts retournées, en feu, ou déjà carbonisées. La chaussée a souffert des excès de ces vandales, puisqu'elle est défoncée, complètement irrégulière et distordue. Je vois que les émeutiers se sont également attaqués aux maisons de particuliers, dont beaucoup fument encore.
«Belle exemple pour la jeunesse», pensais-je alors.
Arrivé à la boulangerie, je m'aperçois qu'elle est fermée, visiblement victime des émeutes. Vitrine brisée, grille forcée, pain dévalisé, boulangère violée et partiellement mangée. (Ne me demandez pas comme je sais que cette dernière fut la victime d'un viol)
Je poursuis donc mon chemin, afin de me rendre en centre-ville, et me dirige vers l'arrêt de tram le plus proche.
Les bornes qui affichent le temps d'attente sont hors d'usage, les voies où circule le tramway ont connu des jours meilleurs, et après vingt minutes à chercher au loin un véhicule de transport en commun qui n'est jamais arrivé, je comprends qu'une fois de plus il est en panne. Enfin quelque chose d'à peu près normal ce matin.

J'avance et commence à désespérer de trouver un commerce ouvert, serions nous un jour férié ? Quand les boutiques n'ont pas été mises à sac, elles affichent « fermeture définitive ».
Les poubelles brûlent, on entend des cris humains et inhumains, et toutes les dix minutes on peut entendre les sirènes d'alerte de la ville, utilisées en cas d'incendies ou de problèmes gravissimes, mais cela s'explique parfaitement, nous sommes le premier mercredi du mois : le jour des exercices d'alerte. Heureusement que je ne suis pas un crétin, sinon j'aurai commencé à paniquer, a plus forte raison quand je suis arrivé place du marché, et qu'un illuminé devant le parvis de l'eglise sonnait une cloche en hurlant qu'il était encore tant de se repentir.
« Viens à moi, mon fils ! » me dit il en me voyant passer  alors que je le fixais d'un air hébété. Le plus incroyable c'est que je voyais bon nombre de nancéiens, apparemment terrorisés, se ruer vers l'intérieur de l'édifice.
Je constate que certains conservent tout leur sens, en continuant à marcher tranquillement dans les rues… Bon pour la plupart, ils sont sales et ont la peau verte, leurs fringues sont déchirées, ils gémissent longuement lorsqu'on les interpelle, marchent lentement et semblent désorientés. Le plus étrange et qu'ils semblent se nourrir de chair humaine, et que l'on peut voir distinctement un code-barre sur leur nuque, avec tatoué en dessous « 666 ». Sûrement des touristes étrangers, venant d'un pays où manger des gens est légal. Peut être des touristes allemands, qu'on aura étiqueté pour ne pas les perdre.

En désespoir de cause, je me décide à rentrer chez moi sans pain ni pâté lorrain. En passant devant d'autres églises, j'entends d'autres prêcheurs qui meuglent en agitant des cloches. Soudain le curé me semble être un personnage proche de la vache. Et encore, je ne vous parle pas du charabia qu'ils vocifèrent tous.
Des trucs à propos du Jugement Dernier, de repentir, parfois on entend distinctement que les morts reviennent sur Terre, on me met en garde contre la marque de la bête et ceux qui la portent, 666 par ci, 666 par là… Je ne pensais pas qu'un jour l'Eglise serait à ce point en mal de fidèles pour user de stratagèmes aussi minables, ça ne ressemblait pourtant pas à cette grande institution.
Un journal se colle à ma tronche, amené par le vent. Je lis rapidement le gros titre « La fin du monde : l'apocalypse est là ! » et je suis bien obligé de reconnaître que l'Eglise n'est guère la seule à user de moyens limites et racoleurs pour attirer les foules.
Il serait peut être tant qu'ils comprennent tous, que nous ne sommes pas assez cons pour nous ruer sur un truc de merde comme le catholicisme, un journal, ou même un film pourquoi pas, tout ça parce que cela aurait un vague rapport avec la fin du monde.
Non mais franchement ! Heureusement je ne suis pas né de la dernière pluie moi, je ne marche pas dans tous ces trucs là.
Tiens cet après midi je vais me poser place Stanislas et profiter de ce magnifique ciel rouge et de ces jolies chutes de météorites qui n'en finissent plus de tomber sur ma ville, en plus, ‘paraît qu'ils ont remplacé la mairie par une sorte de château psychédélique de style gothique avec écrit « Hell » au dessus de la porte. J'irai peut être y faire un tour à l'intérieur si j'ai le temps.



«.´¯¯`•.,¸¸,.•´¯*ΔØЛ ǿF †ħэ ЄИĐ*¯`•.,¸¸,.•´¯¯`.»
("Faut pas boire l'eau du robinet...non, faut pas la boire...")

Mercredi 7 juin 2006 à 12:56


Et oui, c0wvivor, c'est terminé, mais les artworks continuent, du moins jusqu'à ce week end, date échéance pour remettre nos productions (ça me rappelle le lycée tiens). Voici donc :


Le maître des renards de feu, en compagnie de Aveuh le communiste au nez cassé


Moi même expliquant à joKeR le pourquoi du comment de l'achat d'un vibro-canard


Mardi 6 juin 2006 à 12:17

J'adresse une petite pensée du jour aux accrocs de la bible, aux témoins de Jehova, aux adorateurs de la conversion sectaire, ainsi qu'à tous les fans de Dieu sous toutes ses formes religieuses.

"Dieu est amour..."




Bien entendu, si tout le monde avait la même conception de l'amour, ce serait vachement plus clair que Dieu est pédophile.

Mardi 6 juin 2006 à 0:21


A Nancy, nos pas dansent au rythme de la pluie qui martèle le pavé, et des ivrognes trempés vous demandent quelques piécettes ensoleillées sous un ciel gris. Cette pluie qui, par son voile de cristal frappe sans distinction, sans sommation, et chasse crasse, solitude et imperfections.
Les odeurs de kebabs se marient avec les effluves des greluches qui, d'un air de dédain, vous agressent les sens, tandis que les punks de la gare en font de même et s'en vont pisser avec leurs clébards au coin de la place Thiers, où s'affairent les dealers du néant remplissant leurs casquettes.

A Nancy, au coin d'une gouttière située boulevard Jean Jaurès, on cueille la prostituée slovaque ou togolaise, et tandis que ces fruits croissent en toutes saisons, on s'émerveille de voir qu'à la faveur propice d'une nuit de folie et dans l'humidité du printemps, une blonde a poussé devant la demeure d'un ami.
Si t'es remonté ou que t'as le cafard, fais un détour par la place Stan, où bourgeois friqués et restaurants chics côtoient sans gêne les prolos endimanchés (et inversement). Et si t'as la descente aussi facile que le contact humain, une ribambelle d'idéalistes massacrant des classiques de la chanson à coup de guitares mal accordées t'attendent avec de la bière à la Pépinière. Le garde municipal aussi, pour te dire que l'alcool y est interdit.
On reconnaît d'instinct le touriste qui s'émerveille encore de musées où, pour rien au monde, je ne mettrai à nouveau les pieds, ou simplement le mec pas du coin, que notre dialecte de lorrain laisse perplexe.

A Nancy, les gens sont mornes et sans âmes tel des zombis, c'est ce que j'aime chez eux, ils sont aussi gris que l'est la ville sous les averses. Cette attitude froide et réservée, cette sensation de n'appartenir qu'à son propre monde sous sa carapace, et pourtant à chaque coin de rue on trouve une histoire unique, sous chaque parapluie il existe un monde à découvrir, et nos rues deviennent alors des galaxies.
Le ridicule côtoie aussi bien l'inutile que l'abject et le surfait, tandis que passe le tram de l'insouciance. Le centre ville est le poumon encrassé de l'ennui et son oxygène se répand dans des rues dont j'ignore le nom. Est-ce ma faute à moi, si dans certains quartiers à part les pigeons qui vous perlent dessus, il n'y a rien à en dire.

A Nancy, la vieille ville s'endort dans ses relents d'alcool le dimanche soir, quand les maris cocus se consolent sur l'épaule de jeunes célibataires noyant la solitude qui est la leur dans un demi bien frais, cachant leurs larmes aux sons irlandais venus tout droit du Médiéval. Et quand Saint Georges indique une heure, les quelques âmes errantes profitent du silence, déambulant sans destin, laissant à d'autres le soin de cueillir de la pute ou de la blonde sous le regard des réverbères, avant de finir à l'Envers.
Loin du chahut et des bruits, loin des fêtes estudiantines, loin des groupes de jeunes assis en tailleur et tirant sur le joint, loin des bars et loin des Hommes, j'appartiens à ces ombres sans histoire qui ne vivent que pour voir la lune bien haute dans le firmament. Je suis comme ces larmes du ciel, ni vraiment d'ici ni vraiment d'ailleurs. Je tombe où bon me semble.

A Nancy, mes pas dansent au rythme de la pluie nocturne qui balaie nos vies, et je déambule sans but vers l'infini.


Lundi 5 juin 2006 à 21:17


Depuis sa lecture assidue des « Harry Potter », et après s'être gavé durant des années aux séries pseudo occultes de M(erde)6, faisant de « Charmed » la référence de son addiction puérile, le praticien occulte voue un véritable culte à la sorcellerie. Conscient que le ridicule ne tue pas, et que l'obtention de pouvoirs surnaturels le rendront apte à se venger de ceux qui se sont allégrement payés sa tête, rien au monde ne détournera cet intrigant personnage de sa vocation.


On le voit traîner, aux abords des boutiques spécialisés où ils trouvera tout pour satisfaire sa soif d'expériences coûteuses et inutiles, remplissant sa petite marmite d'encens confectionnés avec du sang d'animaux imaginaires, de bougies colorés qui n'éclairent ni mieux, ni moins bien, qu'une vulgaire bougie, ainsi que nombres d'amulettes fabriqués dans les forges du grand sorcier Mëdine Tayouhane.
Casser sa tirelire n'est pas vraiment un problème, les sorties et les amis, très peu pour lui. Depuis que l'entourage de ce dernier a découvert qu'il testait ses rituels sur ses parents et amis, ils ont pris le large. On pourrait aussi croire que cette débandade est le résultat de cette soirée où, tentant de prouver l'éventail de ses pouvoirs, il tenta de sacrifier sa petite amie à Chtuluh après avoir organisé un viol collectif.
Toujours est il que la vie sociale de néophyte des arts noirs est devenue un désert sans âmes, ce qui lui permet de s'adonner totalement à sa passion, en commençant par ramener l'élue de son cœur auprès de lui, puisque le rituel lui permettant de la mettre à mort par la pensée ne fonctionne pas, constat qu'il se doit de faire après cent trente tentatives infructueuses rien que sur cette dernière.

On trouve dans sa bibliothèque, entre l'adaptation hautement littéraire des épisodes de Buffy et les novellisations d'X-files, un panel impressionnant de tout ce qu'on fait de plus ridicule en matière de grimoire : La magie noire pour les nuls, la magie druidique pour mieux vivre son quotidien, 100 rituels à faire chez soi, une bible sataniste, comment faire fonctionner son windows XP… etc.
Et bien entendu, comment oublier l'indispensable à tout praticien occulte :
Table basse recouverte d'un rideau rouge piqué à la grand-mère (le velours c'est beau mais un peu cher), des restes de cadavres d'animaux moisissant à l'intérieur d'anciens pots de confiture, un poignard de décoration qui lui a sûrement coûté la peau des fesses et qui coupe si bien que du coup, il se sert essentiellement d'un couteau de cuisine.
Sur un chevalet repose son précieux grimoire, mais un vrai cette fois ci, où le praticien amateur va recopier les formules de ses manuels ainsi que les rites trouvés sur des sites web où d'autres éminents praticiens recopient également les mêmes manuels que lui, afin de transmettre un savoir dit ancestral.

On ne trouve pas ou peu d'intérêt, nous autres pauvres mortels incultes, à recopier ainsi connement des formules stupides, mais parait il que lorsqu'elles sont écrites par la main de celui qui s'en servira, c'est plus efficace… Le taux d'efficacité restant encore à déterminer, quoiqu'on penche pour « inexistant ».
Non, rien ne semble atteindre le praticien occulte, pas même la maturité, car bien souvent, des années d'adolescence à pratiquer la sorcellerie de supermarché laissent des traces quasi indélébiles. Envers et contre tout, malgré l'argent perdu et les moqueries, le temps passé à pratiquer des rituels inefficaces, et tout un bric à brac dont personne ne veut, pas même lors d'un marché aux puces, notre valeureux pionnier persiste et signe. Il y croit encore.
D'ailleurs, lorsqu'il parlera de ses jeunes années dédiées à l'occultisme, il affirmera que ça marchait, mais qu'il a compris que ses pouvoirs terrifiants devaient être muselés, et que pour cela, il renonce à la pratique des arts occultes
Il se consacre généralement à l'ouverture et la mise à jour d'un site ou d'un blog dédié à sa passion, ou il recopiera une fois encore, ces fameux rituels, agrémentés de commentaires savoureux ou il apportera son expérience à la relève, entrecoupés de fascinantes litanies sur les phénomènes paranormaux tels que fantômes, ovnis, dames blanches, monstres du loch ness, big foot et autres attrapes couillons pour dépravés victimes d'un délire de persécution doublé d'une furieuse paranoïa, convaincu de l'existence d'un complot gouvernemental visant à cacher la vérité à grand publique qui de toute façon, se branle complètement de ces histoires à dormir debout.

Les pratiques occultes ancestrales sont un Eldorado pour les éditeurs de conneries, les faux-mages, druides de profession et autres diseuses de bonne aventure… Le praticien quant à lui, à défaut d'être une mine d'or, est un brave pigeon bien crédule. Comme quoi, le monde est bien fait.


«.´¯¯`•.,¸¸,.•´¯*ΔØЛ ǿF †ħэ ЄИĐ*¯`•.,¸¸,.•´¯¯`.»

Lundi 5 juin 2006 à 17:08

Enfin sous acide certes, après on ne peut pas dire que le bougre trip réellement... Vous avez deviné, il s'agit encore d'un artworks c0wvivor.



Jeudi 1er juin 2006 à 12:08

Bon vous commencez à connaître la chanson, un artworks de plus à mon actif (avec une petite retouche made in joKeR pour la police d'écriture qui, ma foi, rend très bien sur le dessin) Voici donc ma version de la "couverture" de la saga c0wvivor.



A gauche en partant du haut : Moi, Margritis, Goldice et Ankou
Au centre : joKeR
A droite en partant du haut : Samantha.c4, Morgoth, Demon, Count
En bas : les mystérieux encapuchonnés ainsi que les mercenaires communistes de Aveuh
...

La ressemblance avec une quelconque affiche d'un certain film est totalement volontaire.

Mercredi 31 mai 2006 à 16:34

Alors que la saga c0wviv0r bat son plein, voici que Demon se lance lui aussi dans le récit de type c0wb0ys, en intégrant d'illustres membres de la c0wmunauté au fil de son histoire. Futur apocalyptique façon Mad Max qui aurait copulé avec Terminator, anti-héros bourrin à la Duke Nukem, inventaire d'arsenal d'armes aussi meurtrières qu'efficaces à chaque épisode, qui nous rappelle nos jeunes années passées sur des jeux tous plus violents les uns que les autres à dessouder tout ce qui bouge, le tout saupoudré de détails anatomiques délicieux dignes d'un étudiant en médecine, durant les scènes de combat.
Etant encore une fois l'un des protagonistes, je remercie humblement Demon pour cette délicate attention, faisant de votre bloggeur préféré (oui oui c'est à dire moi), un ex-acteur de film X devenant, plus ou moins par la force des choses, assistant mercenaire à l'humour lourdingue et relativement peu à l'aise sur un champs de bataille.
Amateur de subtilité, ce récit n'est pas pour toi.


Un mercenaire efficace ce Demon

Dimanche 28 mai 2006 à 4:03


Et oui, encore et toujours des artworks "c0wvivor". En cette période ou l'inspiration se fait rare, je ne peux que remercier joKeR pour cette saga qui m'inspire énormément.



Moi même venant me placer à côté de Demon, qui scrute l'horizon vide. (épisode 5)



Le viol collectif de nelizpuce par messieurs : (de gauche à droite sur le dessin) Count, joKeR, Moi et Demon (épisode 1)

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