Mardi 9 août 2005 à 19:01

 


 


La défense de l'environnement, une préoccupation né de la triste constatation alarmiste que font les scientifiques, les membres de green peace, les hippies et les pingouins de tous horizons sur le devenir de notre planète;
Car tenez le vous pour dit : on à un peu trop fait les cons !
Depuis la révolution industrielle, il ne nous a fallu que très peu de temps pour accomplir des prouesses techniques qui ont littéralement fait d'une belle planète une véritable décharge ambulante...
Alors préparons nous gaiement; les décharges publiques prennent de plus en plus de place, la déforestation va nous priver d'oxygène, les centrales nucléaires produisent des déchets qu'un jour des extrémistes pourrait nous faire peter à la gueule, histoire de faire une "bombe sale" ( à noter que j'ignorais l'existence d'une bombe propre) les voitures et l'industrie lourde contribuent grandement à l'effet de serre ( les fesses de qui?) ; rajouté la dessus un ou deux trou dans la couche d'ozone et le tour est joué.
Autant dire qu'on peut déjà faire de grandes provisions de crème solaire, investir dans les combinaison anti-radiation (pour le bombardement solaire ou le bombardement tout court) et la peinture au plomb pour nos intérieurs (plutôt le saturnisme que les radiations); et acheter un bon paquet de bombonnes d'air (pour lesp lus modestes, quelque pneu de voiture feront l'affaire) on peut également commencer à songer ne plus faire d'enfants, non pas par manque de place sur terre, trop tard nous sommes déjà trop nombreux, mais copuler au milieu des déchets pourrait donner des résultats assez surprenant; enfant cancéreux à la peau verte, peut être même un troisième oeil qui sait?

Alors vous vous dites sûrement :" mais que pouvons nous faire à notre petit niveau?" Et bien c'est simple : si vous etes croyant, priez !
 si vous êtes comme moi, c'est à dire un gros paresseux qui refuse de lever le petit doigt, ne faites rien, voir même, faites tout pour empirer les choses; après tout mieux vaut être dans l'équipe gagnante non? Puisque de toute évidence, il y a un peu trop à faire pour réparer nos conneries autant aller jusqu'au bout !
alors prouvons que nous ne sommes pas des tapettes et allons jusqu'au bout bordel à cul ! Et puis c'est ça ou retourner à l'âge de pierre; confort ou survie de l'humanité? La race humaine a fait son choix.
Ha ça y'est, j'entends encore ces douces ovations de gens outrés par mes propos; mais voyez vous, si je ne fais rien, c'est parce que j'ai foi en la science et en l'homme !
Je me dis que si en un siècle, la science a trouvé tous les moyens pour nous faciliter la vie et dans le même temps, raccourcir l'espérance de celle de notre planète, elle trouvera bien un moyen de réparer ces torts, c'est la logique même non?
Alors arrêtez donc de vous inquiéter pour rien, vous voyez tout est sous contrôle, tout-va-bien !
Répétons tous en choeur s'il vous plait : TOUT VA BIEN!
Encore une fois...TOUT VA B....
non mais tu casses tout là, j'essaie de t'apprendre qu'avec l'auto persuasion, on peut se convaincre de tout; pas plus tard qu'hier, j'ai enseigné cette technique à un ami dépressif, et du coup, il a repris goût à la vie; n'en déplaise à ses parents qui, le voyant sauter du haut du toit de l'immeuble et s'écraser dans un fracas d'os brisé et de cervelle qui se répand sur le macadam, disent qu'il a mit fin à ses jours : moi je sais qu'il essayait de s'auto persuader qu'il savait voler...il n'avait peut être pas assimilé toute la technique tout simplement, ou bien l'auto persuasion a ses limites; celle de l'esprit.
Alors quel intérêt de se persuader que tout va bien dans le meilleur des mondes, si ce n'est guère ça qui va le sauver?
Quitte à tous mourir dans d’atroces souffrances quand l'air sera devenu irrespirable, autant avoir le sourire non?
Bon...
Alors on reprend;


Tout va bien ! Tout va bien ! TOUT VA BIIIIIIIIIIIIIEN !!!
Ok c'est assimilé?

Maintenant on apprend à voler...


 


 


«.´¯¯`•.,¸¸,.•´¯*Δ†ØЛ ǿF †ħэ ЄИĐ*¯`•.,¸¸,.•´¯¯`.» ™
( tout va bien !)


Mardi 9 août 2005 à 15:22

 


 


Christian, c'est ainsi que s'appel cet étrange personnage qui, un soir, alors que je ne m'y attendais pas, est entré dans ma vie par certaines voies dont j'ignore encore les subtilités.
C'était encore une de ses soirées dont l'ambiance battait son plein, seul, assis devant ce cyclope nommé ordinateur, une boisson maltée à la main;
Lorsque, sans raison apparente, mes yeux mi clos et rougeoyant, tant ils étaient proche de l'écran et tant la fumée de cigarette avait envahie la pièce, se tournèrent vers ma droite; il était là.
Christian, un ours gigantesque au regard cruel, les crocs aiguisés, le poil...poilu, bref un ours, le tueur impitoyable par excellence...chose qui ne m'a guère surprise sur le moment : cet ours porte constamment un caleçon à petits coeurs.
Son premier geste fut de lever sa patte, je voyais déjà ma fin prochaine, la tête arrachée par cette force colossale et ces griffes gigantesques; je revois encore sa patte s'approcher dangereusement de moi, pour finalement empoigner une bière, la vider cul sec; puis, brancher son post cd, et se mettre à danser sur un twist.
Je cherchais une explication rationnelle à cette folie, comment était il entré? La porte, dont j'avais fermé les six loquets était inviolable; et pour un plus de sécurité, je déposais chaque soir une canette de verre vide afin d'être prévenu si quelqu'un venait à clancher la porte. Toute les fenêtres étaient également fermées; les stores baissés; cet ours n'avait pas pu rentrer: et pourtant il était la, et dansait le twist.
Je pensais simplement avoir trop bu, certains voient des éléphant rose, moi je vois un ours en caleçon qui danse; pour chasser cette vision, ou tout du moins m'assurer que s'en était effectivement une, je lui tirai un poil de son pelage, en toute réponse l'hallucination s'écria "pas toucher Christian" et me colla un revers de baffe qui m'envoya rendre visite à Morphée (Morphée est un homme précisons le)

Pour une hallucination il frappait drôlement fort.

Lorsque j'ouvre les yeux, afin de faire face courageusement à la gueule de bois, je découvre avec stupeur que je suis dans mon lit, preuve que j'avais bien rêvé; je ne me souvenais plus être allé me coucher. Je me mets à rire du ridicule de mes délires, quand j'entendis au loin, un air de twist.
Je me lève, j'attrape un objet anodin, comme une batte de base ball, afin d'aller observer ce qui se trame en ma demeure; il était toujours présent, dansant le twist, en caleçon, chez moi.
Lorsqu'il me vit au seuil de la porte du salon, il afficha un sourire machiavélique ( ou peut être simplement de joie, je n'ai encore jamais vu d'ours sourire) dans la perspective de peut être me manger; il m'attrape, me lève, je me débats comme un lion, un lion armé d'une batte certes, mais chacun de mes coups ne semblent pas l'affecter plus que la piqûre d'un insecte sur le cuir d'un rhinocéros; je vois ma vie défiler devant mes yeux; peu glorieuse au demeurant; mais au lieu de mettre sur la table afin de me déguster, il m'installa afin que je puisse me restaurer; il se dirigea vers la cuisine, toujours en caleçon et en dansant le twist; et amena moult plats; cet ours savait faire la cuisine. Je passe volontiers l'éponge sur notre altercation; et sur le fait qu'il avait vidé mon frigo afin de préparer ce somptueux repas digne des plus grands chefs, nous nous serrons la main, enfin la patte pour lui, geste qui scella le début d'une amitié insolite avec un ours adepte de twist et de caleçons à cœurs.


 


A suivre...


 

 

 


 

Samedi 6 août 2005 à 15:30



Pour bien comprendre le ressort psychologique de mon article, je vous invite à lire l'article intitulé le syndrome du tailleur ou la evil attitude mise en lumière. Ca se passe ici => ashtray
C'est bon vous êtes au point? ok c'est parti.


 


La contre attaque de la evil attitude qui se tape une insolation






Parfois je me dis que la vie est injuste...si si je vous assure, car, il faut bien le reconnaître, mon adversaire s'est montré digne de moi dans un post "à la atom", à défaut d'avoir fait dans l'originalité bien entendu.

Non vraiment la vie est injuste, comment, comment quelqu'un avec une telle verve, a pu se laisser corrompre par la niaiserie qui caractérise son blog en temps normal? il y avait un tel potentiel, et moi voir ce talent gâché pour quelques posts sentant l'eau de rose bon marché, pour quelques poèmes miteux emprunts de sentiments vomitifs dont l'absence de profondeur n'a d'égal que leur incroyable imperfection, ça me rend malade ( oui oui bien plus que ne m'a rendu malade la lecture de son torchon qui lui sert de blog)

Tout ce temps perdu, afin de remplir des pages et des pages, placées sous le signe de l'ennui, si bien que le lecteur semble bien souvent s'endormir avant d'avoir pu laisser un commentaire; ou peut être s'est il simplement étouffé dans ses larmes, sait on jamais, il y a des sensibles sur le net; enfin quand je dis sensible, je serais plutôt tenté de dire un tantinet chochotte.
Non moi ça me sidère, tant de facilité dans le taillage de costar, et se résoudre à nous bombarder de cet amour insipide de gamine en retard sur le plan émotionnel et de ces tracas futiles typique d'une fille dont l'hymen est encore intact, des lignes sur l'amour qui fut ou qui sera et nia nia nia, je le dis et je le répète : quelle gaspillage; quelle abomination...
Non il n'y aucun mot pour dire que je ressens; je vois tout ce potentiel, et je le vois gâché, et pourquoi? Pour avoir envie de se mettre une lame sur les veines une fois la lecture terminée, et après je me demande pourquoi la demoiselle à des amies légèrement mal dans leurs têtes...une chose est certaine si elles ont parcouru ce no man's land de midinette en mal d'amour, il y a vraiment de quoi se mettre une balle.

Conteuse de l'âme? Quelle ignominie; quelle considération réductrice, car il est clair et net qu'elle n'a bien entendu aucun talent dans ce style classique qui caractérise ceux qui s'adonnent à l'écriture tout en ignorant ce que veux dire le mot "style", "originalité" ou encore "qualité", qui prennent la plume uniquement pour vomir leurs états d'âme à longueur de temps... mais a force de vomir, les gens se sauvent ( exception faite de mon blog, à croire que mon lectorat est légèrement maso...)d'ailleurs, si la demoiselle avait quelques lecteurs honnêtes; ou quelques lecteurs tout court; elle se serais peut être déjà aperçue du ridicule de ses écrits; quand on fait un blog humoristique encore je peux comprendre qu'on se ridiculise ainsi, mais se leurrer en imaginant posséder une once de talent, c'est autre chose. 
Non contente de gaspiller son temps, il est fort dommage de constater que quand ( le peu) d'inspiration qu'elle semble manifester, car il faut bien le reconnaître, au bout d'une dizaine tout ses poèmes mornes et sans âmes finissent tous par se ressembler; à défaut de s'en prendre toujours aux mêmes personnes par méchanceté gratuite, elle nous pond inlassablement le même genre d'inepties grotesques autour d'un thème affreusement récurrent. Et si encore, elle le faisait bien...


Non vraiment la vie est injuste, car même si son attaque mérite d’être encensé, elle a montré que quoi qu'elle fasse, il lui était incapable de faire dans l'originalité; dommage.


 


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(fuck your fuckin' ass, fuckers !
ps : depuis hier je vois un ours en calecon qui danse le twist)

Samedi 6 août 2005 à 0:50


 


Dans la grande tradition du post inutile, je me devais de faire à la hauteur de mes prédécesseurs, virtuoses de l’inutilité et de l’article sans intérêt qui se font légion sur le net.
Alors pour une fois, moi aussi je tiens à faire dans l’inutilité, moi aussi je veux faire un article stupide et sans intérêt aucun si ce n’est le plaisir ( ?) de suivre mon délire.


Je me dois, pour que l’inutilité soit complète, me mettre en condition ; c’est alors que me sont venues ces idées :


-         pour faire un article stupide et d’un faible niveau intellectuel, il faut de l’entraînement


-         Pour palier ce manque d’entraînement, il me faut une méthode ou un produit miracle qui rendrais stupide Einstein lui-même


-         Il me faut pour ceci ; de la bière, en quantité si possible J


 


…"une ou deux" bière plus tard…


la stupidité commence à m’envahir, un sourire niais se dessine sur mon visage, l’écume au lèvre apparaît, et le regard vide d’intelligence arrive à grand pas : ça y’est je suis paré : avec une bière à la main je n’ai peur de rien !


Mais l’inconvénient de la bière c’est que la ou elle limite vos capacités, c’est dans un but précis, la seule chose qui vous reste en tête sont des mots comme : mousse, bière, kro, Heineken, pochtron, bière, houblon, bière, bière….heu…bière….


 


Donc pour vraiment faire inutile, je vais vous parler d’un truc inutile ; (non je ne l’ai pas encore fait ; car la bière est utile, puisque dans le cas présent, elle me sert à écrire mon article inutile) je vais donc réitérer un exploit, je vais me battre, je vais me battre oui ! je vais prendre position inutilement pour un truc dont tout le monde se fiche : oui mes amis, je prends position ;
-pour tout les anciens alcooliques anonymes qui ont eu le courage de boire à nouveau,
-pour tout les jeunes de quinze ans qui vont se saouler pendant l’heure des cours,
-pour le sdf tenant affectueusement sa seule compagne alcoolisé acheter grâce à la mendicité,
-pour tout les piliers de bars qui ont jalonné mon enfance, mon adolescence et ceux dont je n’ai pas eu le loisir de partager la philosophie,
-pour tout ces globe-trotters de la bibine et de la fête de la bière,
-pour tout nos ivrognes retraités buvant en cachette de ces vieilles rombières qui contrairement a ces derniers profiteront de leur retraite plus d’un ou deux ans avant de mourir d'une cirrhose,
-pour tout ces chauffards ivre mort dont les délires alcooliques auront ôté la vie a de jeunes enfants,
-pour tout les potes qui m’ont gerber dessus au cours de nos soirées,
-pour moi qui me suis gerbé dessus au cours de nos soirées,
-pour mes potes sur qui j’ai gerbé,
-pour tout ceux d’une manière générale qui ont su associer l’acte vomitif et l’alcool ; et je sais qu’ils sont nombreux ;



Bref ami pochtron ; il est temps de relever la tête ! Nous sommes le pays des alcooliques ! la terre promise pour les apôtres du houblons ! oui en vérité je vous le dit mes frères ;


NOUS SOMMES DES POCHTRONS, NOUS SOMMES LE CLAN MAJORITAIRE AU MONDE ( les statistiques parlent d’elles meme)


NOUS SOMMES DE PLUS EN PLUS NOMBREUX À RESISTER À L IGNOBLE PROPAGANDE ANTI ALCOOL ; REJOIGNEZ NOUS; alors ouvres toi une bière et laisse toi vivre.



 
Le mot de la fin...




Ancien post, mais quand je suis retombé dessus, j'ai pas résisté à la tentation^^



«.´¯¯`•.,¸¸,.•´¯*Δ†ØЛ ǿF †ħэ ЄИĐ*¯`•.,¸¸,.•´¯¯`.» ™
( l'aventurier vicelard amateur de houblon)


 


Vendredi 5 août 2005 à 15:26

 


 


Comme il ne suffit pas de se mettre une plume au cul pour avoir l'air d'un coq, il ne suffit pas de virer aux vêtements noirs pour ne plus avoir l'air d'un clown. Rendons gloire à coca-cola qui grâce à sa pub sur les origines du groupe kiss; à su expliquer de manière clair et intelligible les véritables fondements du gothisme et les motivations des adhérents de ce style. Une bande de ploucs en mal de confiance en eux.
D'ailleurs, pour preuve d'une recherche toujours plus absolue dans le ridicule ainsi que l'affichage plus que poussé d'une volonté inébranlable de perpétuer la crise d'ado; nous avons vu se multiplier, cette abonimation sans nom...enfin si ca a un nom : les dolls.

Depuis tout temps l'Homme cherche le moyen de prolonger la jeunesse; c'est désormais chose faite; à défaut de perpétuer la jeunesse du corps, entretenons celle de l'esprit; et comme l'habit semblerait bien finalement faire le moine, il est essentiel d'afficher un look de gamine qui aurait sensiblement mal tourné.
La doll, c'est un peu comme la petite fille de huit ans, à ce détail prêt qu'elle vie dans un conte de fée plus ou moins glauque, mais c'est avec un regard tout aussi infantile qu'elle (re)découvre le monde.
Bien sur sa vision du monde se limite à ses fringues que "elle seule possède" ( la doll appliquant encore ce beau concept qu'est "l'originalité") au japon et ses goth-lolita, ses androgynes ( Mana Sama : Saez du pays du soleil levant?) et aux living dead dolls; bon ces dernières ne sont peut être pas japonaise, mais il y à doll écrit dessus et puis c'est fabriqué en chine par de petits esclaves, donc à défaut d'être japonais c'est néanmoins asiatique; et bien sur, l'étrange noel de monsieur Jack; c'est absolument pas asiatique, mais c'est enfantin et glauque; alors c'est doll
. Mais à part ça me direz vous? Et bien rien.
La Doll a su rester simple (bien que l'effort fourni n'a pas du etre extrèmement intense), mais d'un coté quand on retombe en enfance sans jamais vraiment en être sorti, ça n'a rien d'exceptionnel.

Faut il que le monde soit si diversifié? Sans ça, ces pauvres âmes égarées n’auraient pas à muter en fille de Charles Manson pour attirer quelque peu les regards.
Et bien sur, à l'âge ou la doll prend conscience de sa dollitude, elle est tiraillé par ses hormones (à treize ans c'est normal) du coup, et parce qu'être une salope autoproclamée n'est plus le signe d'une sexualité épanouie, la doll se doit d'être bisexuelle; chose qu'elle assume entièrement puisqu'elle affectionne rouler des pelles, ivre morte, à sa meilleure amie ayant perdu toute feminité depuis que son grand-père la culbutait dans la cave, et à l'inverse la doll aime les hommes, les vrai males de seize ans, anorexiques de surcroît, sans un poil sur le torse ; qu'on nomme "androgyne" ... d'ailleurs toi qui lis ces lignes, si tu veux connaitre la recette de l'androgynie, c'est simple : mange une fois par semaine, laisse pousser tes cheveux et rase toi sur toute les partie de ton corp; trois couche de maquillage est le tour est joué.

Finalement, la doll c'est un peu comme ma petite soeur de 10 ans; ça joue à la poupée, ça aime les garçons qui n'ont pas encore des allures d'homme, et surtout, c'est avec un regard toujours émerveillé qu'elle découvre les couleurs bariolés mal assorties et des fringues d'un gôut douteux. Comme les enfants, la doll n'a pas peur du ridicule, elle suit son instinct, comme les enfants, la doll vit dans un joli petit monde bien à elle; et comme les enfants, ca lui fera mal quand elle devra ranger ses jouets le samedi, et ca lui fera mal d'aller bosser parce que ses parents ne pourront plus suivre, financièrement parlant, ses excentricités. Et comme les enfants, un jour, elle rangera ses déguisements au placard, elle grandira et deviendra une adulte...seule chose à noter c'est que contrairement à l'enfant, cette évolution peut prendre beaucoup plus de temps; mais pardonnons lui, elle commence avec un "léger" retard.
La doll, c'est la version moderne de la blonde, l'équivalent de la pouff, bref, c'est la femme dans toute sa futilité épanouie. Elles vont etre aux anges le jour où, à seize ou dix-sept ans, elles tomberont enceinte par inadvertance et refuseront catégoriquement l’avortement. Oui, ce jour la mes amis, elle aura enfin quelqu’un qui la comprenne, quelqu’un de son niveau, quelqu’un avec qui grandir, quelqu'un avec qui retarder son entrée dans le monde impitoyable, triste et terne, des adultes.


 


«.´¯¯`•.,¸¸,.•´¯*Δ†ØЛ ǿF †ħэ ЄИĐ*¯`•.,¸¸,.•´¯¯`.» ™
(qui ne mettra rien sous son pseudo aujourd'hui, car il a tendance à trop en mettre...
ha si : y'à une super ambiance sur mon blog ces jours ci j'adore ^^
 )

Mercredi 3 août 2005 à 7:46

 


 


Bon, le grand moment est arrivé; je vous préviens, sortez vos mouchoirs...

Vous avez raison, tout ceci est allez trop loin, j'y pense depuis des jours entiers, cette question abominable me taraude chaque seconde, comme des milliers de diablotins me piquant le derrière avec leur fourche rouillés et mal aiguisé; dieu me garde, je ne suis pas vacciné contre le tétanos; alors quelle peut bien être cette question te demandes tu, ô toi lecteur, ami, ennemi, âme de passage ou casse couille qui vient régler des comptes parce qu'un(e) ami(e) vient de jouer une marche funèbre avec un rasoir en guise d'archet et ses veines en guise de violon par ma faute; ou simplement pour me faire la morale, me faire prendre conscience de mon immense connerie, autres... (Cochez la case appropriée), et bien cette question, c'est dois je justifier, ce que je semble être ?
Et bien pour apaiser mon âme, afin de me libérer de mes démons, je me dois de faire couler les larmes; afin d'obtenir le pardon de tout ceux que j'ai estropié sur ma route d'une quelconque façon, je me dois de vous raconter cette histoire déchirante et bouleversante qui fut mienne, et qui est finalement en grande partie responsable de l'être insipide que je suis devenu.


"Je suis né un 23 novembre 1984 vers six heures dix-sept et demi du matin; ou du soir peut être, je ne savais pas encore bien lire l'heure sur les pendules à aiguille qui finalement n’indiquent pas s’il fait nuit ou jour.
Me trouvant à mon aise dans le cocon maternelle moelleux et gluant, je naquis une semaine en retard; et ce terrible matin ( ou soir vu qu’un horloge ...bon ok je me tais) du 23novembre 1984, un rustre inconnu tout de blanc vêtu vint me tirer de ma douce léthargie en vue de m'offrir à cette existence barbare ; pour bien me prévenir et me souhaiter la bienvenue, il me claqua le cul; bienvenue sur terre petit.
J'eu une enfance paisible, bercé entre les cris et les pleures.
 Mes parents étaient des gens extrêmements affectueux, qui ne manquaient pas de se prouver un amour à toute épreuve à grands renforts de taloches bestiales dans la gueule; (à noter que mon père semblait bien plus affectueux que maman, car il la frappait beaucoup plus)et qui ne manquaient pas de me faire profiter de ces cajoleries qui caractérisaient tant leur union. Surtout papa.
Aujourd'hui les bruits et les hurlements, les meubles qui casse ou la vaisselle qui se brise, le sang sur les murs, bref tout ce petit cocon douillet et familial me manque; pour rappeler à maman combien elle aimait papa, je la frappe tous les jours pour lui. Je suis très affectueux avec maman.
Plus que papa.
Mais un jour maman n'aima plus assez fort pour que papa puisse continué à la frapper amoureusement; elle décida de le quitter et de m'emmener avec elle.
Papa, qui était un homme délicat et raisonnable, compris et n’opposa aucune objection à notre départ, en guise d’adieu, il la traîna par les cheveux jusque dans la chambre pour faire une dernière fois l’amour, mais comme maman devait être pressé, papa l’avait attaché au lit, elle hurlait à l’aide et pleurait, elle faisait toujours ça quand elle était contente, je me dis naïvement que mes parents s’étaient finalement réconciliés. Mais après quelques minutes de ces adieux déchirant, papa vida une bouteille de whisky avant d’avoir à nouveau soif, il monta au grenier rechercher une bouteille, et comme il était sacrément bourré, il s’est assis dans le vieux fauteuil et confondit le canon d’un fusil chargé pour le goulot d’une bouteille.  Après ça il n’était plus le même ; j’aimais beaucoup les puzzles, mais refaire la tête de papa avec les petits bouts collé aux murs et au plafond, c’était bien trop dur, et l’odeur devenant insupportable au bout d’une semaine, je suis allé détacher maman, et nous sommes partis.

A cinq ans je découvrais l’école, je m’y fis d’ailleurs de nombreux amis ; dès le deuxième jour d’école, les gamins du petit village où nous habitions désormais me courraient tous après afin de me souhaiter la bienvenue à l’école, ils ne devaient pas être pas bien riche eux aussi, car ils m’offraient tous des pierres ou des marrons, généralement depuis l’autre coté de la cour pendant les récréations, c’est vous dire si ils étaient timides. Parfois ils venaient me serrer la main, mais leur timidité était telle qu’il voulait le faire tous en même temps de manière confuse, et les mains atterrissaient généralement sur mon visage ; mais bon c’est le geste qui compte ; j’étais content d’être aussi apprécié, j’étais le seul d’ailleurs, et cela a recommencé tout les jours ; c’est vous  dire s’ils m’aimaient. Comme quoi les enfants sont vraiment des êtres dénués de toute cruauté.
Jusqu’au jour ou bob est arrivé ; bob était énorme, et en plus, il était bête comme ses pieds horriblement puants, et encore, si il n’y avait eu que les pieds. Du cou il devint soudain le préféré de l’école, c’est à lui qu’on offrait mes cailloux et mes marrons, c’est à lui qu’on allait serrer la main confusément à quatre ou cinq derrière les W.C avant d’offrir une bonne rasade d’eau fraîche dans une des cuvettes, et les jours de neige et de grand froid, c’est toute la tête qui était immergée.
Je haïssais Bob d’être plus aimé que moi, il n’avait pas le droit ; je voulais devenir puant et gros, j’ai réussi tout au plus à devenir puant en ne prenant plus aucune douche, je mangeait comme huit, mais je ne grossissais pas.
Quand je demandais à Bob, pourquoi il était aussi gros et comment il faisait, il me répondait que c’était un problème de glande…Papi disait que les problèmes glandulaire c’est de la connerie de fumistes de médecins de merde ; des gros y’en avait pas à Auschwitz disait il, y’avait pas de problème glandulaire à Auschwitz, sauf chez les Allemands.
J’aurait bien voulut vivre à Auschwitz, y’avait pas de gros, et en plus, d’après papi c’était plein de gens intéressant ; des pédales, de la juiverie et des ennemis du Reich. J’aimais beaucoup mon grand père, tout les dimanches on allait à la pêche, mais c’était juste un prétexte, en fait papi m’apprenait à tirer à la carabine ; on allait en haut d’un immeuble, et grâce à une sorte de jumelle sur le fusil on pouvait voir très loin, papi disait que plus ma cible était bronzée, moins c’était immoral de tirer dessus. On passait de bons moments ensemble, papi et moi. Et puis un jour, des policiers sont venus et ont arrêté papi, alors il est monté au grenier, et comme papa, il a prit le canon de son fusil pour le goulot d’une bouteille. Je suis triste parce que cette fois, je n’ai même pas eu le temps d’essayer ce nouveau puzzle. Mais j’en ai un autre que je garde en secret ; je l’ai fabriqué moi-même, je le laisse dans une cabane construite dans les bois ; j’ai emmené Bob là bas, et comme j’avais emprunté un fusil de mon papi, Bob s’est gentiment proposé pour faire le rôle du puzzle. Mais j’n’ai pas joué longtemps avec Bob, lui aussi se mit à puer trop au bout de quelques jours. Il attirait plein de mouches. A l’école j’étais redevenu le préféré. On me faisait mes petits cadeaux tous les jours.
Tout se passait bien, à la maison aussi, maman préférait avoir plusieurs hommes en guise de papa pour moi, un différent par jour, d’ailleurs parfois plusieurs d’un coup ou plusieurs d’affilé dans la journée ; parfois certains revenaient souvent, pour aider maman qui n’avait pas de travail et qui buvait beaucoup, tout les messieurs ou presque laissaient des billets sur la table de nuit de maman avant de repartir.
Il y avait souvent du monde chez nous, c’était tout le temps la fête, des gens qui riaient avec des yeux aux pupilles dilatées, et comme tout plein de toutes petites piqûres sur les bras. D’ailleurs beaucoup d’entre eux étaient amis avec moi, ils m’apprenaient plein de truc ; un copain à maman, je l’appelais « oncle tom », lui m’apprenait ce que c’était la pédophilie; lui et quelques autres copains à maman, pour bien que je comprenne...
Ils m’expliquaient tout les jours, chacun leur tour. J’avais hâte d’apprendre de nouvelles choses, mais je ne devais pas comprendre très bien parce qu’il m’expliquait toujours de la même façon ; et toujours dans mon dos. Pour avoir une chance d’apprendre d’autres choses, je devais garder le secret, maman me l’avait bien dit, mais un jour j’ai tout raconté a la directrice de l’école primaire, pour lui expliquer pourquoi je refusais de me mettre assis ; la leçon de la vieille me faisait encore trop mal pour pouvoir m’asseoir. Je n’ai plus jamais revu maman depuis ce jour la. Sauf la fois ou on s’est croisé au tribunal, mais elle ne devait plus vouloir de moi ; puisqu’on m’a donné à de nouveaux parents.
Ils m’aimaient aussi bien que mon vrai papa et ma vrai maman, et pour que je sois un bon élève, mon nouveau papa m’expliquait lui-même la pédophilie.
J’espère que je serais bon dans ce domaine plus tard.

Tout se passa ainsi jusqu’en fin de collège ; je voulais voir si j’avais bien compris « sado-masochisme », alors une nuit, pour faire une surprise à papa, j’ai voulu combiné ce que j’avais retenu du sado-masochisme, mais aussi de l’homosexualité, alors j’ai collé des lame de rasoir sur un manche à balais, avant de l’enfoncer dans l’anus de papa. Mais je n’étais pas encore prêt. Papa ne s’en ai jamais remis, et je n’ai plus jamais vu mes parents ; ils m’ont oublié en vacances dans un sac en toile fermé avec des pierres dedans, comble de l’étourderie, ils l’avaient oublié au fond d’un lac. Quelle histoire.
On m’a ensuite placé avec moult autres jeunes, plus grands, du même âge, ou plus jeunes, dans une grande maison, avec des adultes qui affinaient nos bases dans les domaines que les amis de ma vraie mère et mon faux papa m’avaient inculquées. Alors je me tournai vers de saines activités avec d’autres amis, la drogue, l’alcool, le sexe sans contraceptif à plusieurs avec des inconnus consentant ou non.
Mais un jour, je compris, que je ne serais jamais heureux, je sais pas pourquoi, mais comme tout le monde était malheureux autour de moi j’ai fait de même, je me suis mis à voir tout en noir, à penser en noir, à vivre en noir ; bref j’étais frappé d’une horrible maladie : le gothisme.
Une maladie si terrible que seul le suicide pouvait arranger ; j’en ai fait plusieurs, avant de d’arrêter le gothisme, pour devenir dépressif, boulimique et de temps en temps anorexique, (plutôt le mardi et le jeudi l’anorexie) j’ai rampé comme une merde en m’ouvrant les bras au fil à couper le beurre, et pour bien faire comprendre aux gens ma souffrance j’ai ouvert un blog pour mettre en évidence les marques de ma peine incommensurable ; parce que tout bien réfléchit, j’avais eu une enfance de merde et qui sait, peut être guérir en remuant toujours ma merde dans tout les sens aux yeux de tout le monde, car sur le net, les gens sont tous gentils, non ? et c'est comme ca qu'on avance dans la vie.
Mais surtout ne jugez pas, c’est pas que j’ai besoin de parler de moi, et de toute façon vous pouvez pas comprendre, c’est intime ce que je dis ; et vous n’avez pas le droit de rire à mes dépends ; les gens qui rient de la souffrance des autres c’est parce qu’ils n’ont jamais souffert ; c’est vrai eux ils n’ont jamais été violenté étant enfant, ils n’ont jamais perdu un proche, ils ne savent pas ce que c’est le suicide, il n’ont jamais attrapé le gothisme ou bien la dépression, ni même la crise d’adolescence ; ils n’ont jamais souffert, c’est pour ça qu’ils rient de tout, c’est quand même de sacrés enculés, d’être heureux alors que moi je suis triste, eux qui n’ont jamais eu à faire un effort pour l’être et qui se permettent de me juger alors que moi je ne les juge même pas bien qu’il s’agisse de fieffés connards…mais je ne juge pas. D’ailleurs je les verrai bien s’expliquer un peu concernant le pourquoi du comment ! On ne peut pas être con et méchant à ce point la sans raisons.

Et puis un jour je me suis réveillé, j’en ai eu marre de toute ces conneries et je me suis dit que j’allais moi aussi être un sale con, histoire de rire un peu de tout, et peut être d’être un peu heureux, en prenant un peu tout à la légère, plutôt que d’accorder trop d’importance à ce qui, finalement, n’en à aucune. La suite vous la connaissez."





Désolé pour ceux qui, aux premières lignes de l'article ont réellement cru que j'allais déballer toute ma vie, soyons sérieux un instant.
J’aurais très bien pu faire un post long et ennuyeux à mourir sur mon existence, afin de me justifier, d’expliquer qui je suis, mais ce n’est pas dans ma nature et je voulais faire dans l’humour salace et déplacé une fois de plus. Je ne vous parlerez pas de moi, je pense en avoir fini, de retourner sans cesse un passé auquel je ne peux rien changer, de devoir justifier ce que je suis ; je suis ce que je suis, c’est ma nature, et j’ai décidé d’être heureux tel que j’étais ; la maturité consiste non pas à trouver son identité, mais à accepter le fait qu’on la cherche toute notre vie, qu’on la construit au fur et à mesure, et que jusqu’à la mort, nous la cherchons encore.
Et n’oubliez pas que si je grossis toujours les caricatures,  je suis moi-même une caricature d’un être tout aussi stéréotypé que ceux que je me plais à démolir, n’oubliez pas que la caricature à toujours son fond de vérité, son reflet.
Le personnage grossier, méprisant, porteur de jugement, incohérent bref, l’atom-of-the-end n’est que votre propre caricature, lorsque vous vous trouvez en face de lui, l’atom, c’est vous.
N’importe quoi ? Possible, en attendant, je ris quand vous venez en ces « lieux » pour m’agresser d’une certaine façon, parce que mon comportement à votre égard vous incite à agir de la même manière envers moi. C’est une bien triste ironie, vous partez d’une bonne intention en bon redresseurs de torts, pour vous comportez exactement comme je me comporte. Et par la même en vous prétendant différent de moi, vous faite preuve de cet exécrable complexe de supériorité que vous me reprochez toujours avec tant d’obstination.
Le problème n’est pas que vous ne me comprenez pas, mais au contraire, vous ne me comprenez que trop, car quoi que vous en disiez, je suis vous, et vous êtes moi. Dès l’instant ou vous mettez les pieds ici, vous faites ce que j’attendais de vous.
Car si vous croyiez que vous pouvez m’atteindre, imaginez que la moitié des personnes qui commentent ici se comportent comme moi généralement sur les blogs des autres, et pourtant  je suis toujours là, je ne m’écrase pas, et pour conclure, j’irais même jusqu’à dire…que je gagne sur toute la ligne. 
Vous dites que je ne suis pas différent des autres, c’est vrai, les autres c’est vous, et nous sommes pareils, vous me le prouvez chaque jour.


 


«.´¯¯`•.,¸¸,.•´¯*Δ†ØЛ ǿF †ħэ ЄИĐ*¯`•.,¸¸,.•´¯¯`.» ™
( Someone, tu veux pas m'acheter un kit du petit suicidaire?
Ashtrey, prends en un aussi pour ton amie eternal' que tu défends avec tant de conviction, et si tu peux avoir la bonne idée de t'en servir également dans l'élan, tu rendrais à l'espèce humaine un fier service ainsi qu'une part de sa dignité...
 Waterwall, t'es conne, paranoiaque et dénuée d'humour, c'est pas ma faute prends toi en à toi même
Toi qui n'a rien fait, rien demandé, qui passait par la par hasard : je t'emmerde (y'à pas de raisons que tu y échappe)
ps:
Jesuismonpropredieu
, je te remercie, c'est en partie grâce à tes réflexions que j'ai eu l'idée de ce post, semi-humoristique-salace, semi-explicatif quoi que j'en dise; bien que je ne sois pas sur que tu sois plus éclairé sur mes convictions, mon but ou mes aspirations, ou la place que je considère occuper dans l'existence ou je ne sais quoi d'autre, une affaire à suivre donc.
Merci à mes
fidèles lecteurs et lectrices, à mes "ami(e)s du net" qui me lisent régulièrement, qui sont au dessus des considérations et des préoccupations morales d'un âge révolu, et qui, faisant preuve d'une grande ouverture d'esprit, rient d'un humour qui bien souvent n'amuse que moi.
Merci à mes
amis prochesenfin, qui m'encouragent à rester tel que je suis...et qui ne lisent pas un article de ce blog car ce sont de purs paresseux.
d'une manière générale, je tiens à remercie
celles et ceux avec qui mes rapports furent aussi divers qu'enrichissantzs, et qui somme toute, font de moi ce que je suis)


to be continued...of course; you can't kill me motherfucker

Ps-2:
merci à Joely, dont le souvenir me rappel que aussi bas que je puisse tomber, toi, au moins, tu seras toujours 10.000 pieds en dessous.


 


 



Vendredi 29 juillet 2005 à 19:47


 


Tu souffres?


Ta vie est un enfer? Tu es un incompris?


Tu es gothique ou assimilé?


La mort est ton fantasme?


...



Ne cherche plus ! en venant ici, tu as fait le bon choix.


Pourquoi lutter, tu as raison, le monde c'est vilain et la vie c'est l'angoisse, personne peut comprendre ton malheur, tu es seul face à un monde qui se ligue contre toi pour que tu ranges ta chambre le samedi aprèm' au lieu d'aller picoler avec des amis dépressifs dans le parc municipale le plus proche...Déjà à onze ans, tu savais quel était ton avenir; tu voulais devenir mort à plein temps; et comment t'en blâmer, c'est une occupation complète et enrichissante, et soit dit entre nous, tu as une lucidité exceptionnelle sur la condition humaine; après tout ne meurt on pas tous un jour?
Alors à quoi bon se torturer quand la solution est aussi simple, d'ailleurs tu le sais, tu l'écris constamment : plutôt mort que vivant.

   Et bien je vais te venir en aide, je ne veux pas te vendre un ultime attrape-couillon, ni une formule magique pour que tout aille mieux, je veux ni t'enrôler dans une secte ou te faire trouver une raison de vivre dans la religion; ma solution n'est pas la psychanalyse, d'ailleurs il n'y a rien que l'Homme pourrait comprendre en toi, tu es un incompris; Non rien de tout ça
Ce que je te propose, c'est le fruit d'une recherche élaboré par nos scientifiques les plus minutieux et les plus intelligents, des dizaines de techniciens de tous horizons se sont penchés sur le cas, et d'un brainstorming incroyable est née la solution idéal à tout tes problèmes, ici même dans nos laboratoires.
Des tests le prouvent, réalisé sur un panel de 1000 dépressifs : tous ont adopté notre produit !



Le kit du petit-suicidaire ™ convient à toute la famille; il est léger et tu peux le transporter où tu veux grâce à sa petite poignée; il est fermé par deux petites serrures; ainsi tes parents ne pourront pas l'ouvrir ! N’est ce pas merveilleux?
Il contient divers accessoires pour ne pas rater ton coup; et même si tu rates, il y à tant de manière de s'y réessayer, et le kit du petit-suicidaire ™ répond à plus de cent façons différentes; l'efficacité, c'est notre soucis principale.



Vous trouverez donc :


une corde de chanvre munie d'un noeud de pendaison, un assortiment de lames de rasoirs ( 6 tailles en tout, pour les petits et les gros coup de cafard ) un cutter, du cyanure et deux boites de tranxènes,de la mort aux rats, un album de Saezun tuyau avec deux embouts hermétiques pour relier votre orifice buccal à une bouteille de gaz, deux cartouche de calibre 12 (les armes a feu sont vendues séparément) une chaîne munie d'un boulet en bronze et un maillot de bain lesté de plomb pour les petites baignades, un petit d'essence pour une personne et sa boite d'allumette...
et pleins d’autres surprises !


Mais combien coûte cette merveille me diras tu ? Et bien pour la modique somme de quinze euros, elle est à toi !




Tu vois c’est une affaire en or, il faut en profiter car dès le mois prochain, son prix augmente, alors profites de l’offre de lancement et n’attends plus !
A noter que nous n’acceptons pas les chèques ni les cartes bleues, tu recevras ton kit sous deux semaine après réception de ta commande, elle te sera envoyer en « contre remboursement », inutile d’envisager donc de mourir avant de nous avoir payé ton kit, petit malin va ^^


...and remember kids, it's down to the road, not across the street !


Nouveau !!!
 le kit du petit-intégriste  ; contenant un coran, une barbe et une bombe. Et si vous n’êtes pas trop islam, vous disposez d’un autre coloris ; le kit du petit-intégriste existe en catholique contenant une bible, un godemiché et une bombe.
  


 


«.´¯¯`•.,¸¸,.•´¯*Δ†ØЛ ǿF †ħэ ЄИĐ*¯`•.,¸¸,.•´¯¯`.» ™
(i am so all-american, i'll sell you suicide)

Jeudi 28 juillet 2005 à 15:01

 


Allez déconne pas, je sais que la vie c’est pas facile tout les jours, mais faut y voir des  bons côtés…bon d’accord tes parents t’ont foutus dehors, mais comprends les, depuis que tu as découvert le mouvement punk, tout ce que tu as su en tirer c’est « ne plus prendre de douche »…si encore t’avais oublié la doctrine qui consiste à  boire comme un trou…comprends les tes parents, dès que tu franchis la porte tu vomis sur le paillasson, et après six comas éthyliques au panaché, ils en pouvaient plus.
Ouais c’est sur, vivre dehors c’est pas la meilleur chose pour un mec comme toi, regardes dans quel état lamentable tu es…et ça ne fait qu’une nuit que tu passes dehors… en même temps les traiter d’enculé et de parents de merde parce qu’ils ont refusé un nouveau pc portable dans ta chambre de 100m² c’était pas la meilleure approche ; surtout quand on ajoute « je serais mieux dehors qu’ici »…note que c’était courageux, sauf que cette fois ci ils t’attendaient au tournant ; mais ça mis à part, ta vie peut pas être aussi déprimante que ça.

Tes potes ? C’est une bande de corbeaux qui pensent qu’à s’automutiler avec du fil à couper le beurre en écoutant Saez à longueur de journée, tu crois que c’est comme ça que tu vas t’en tirer ?
Tiens un point positif : depuis que tu pues et que tu te fringues comme un croque-mort tu te fais plus taper dessus…non j’irai pas jusqu’à dire que tu fais peur, tu inspires plus la pitié que la peur… disons que maintenant on préfère pas t’approcher tant l’odeur est insupportable.
Bon, c’est sur si tu sors le grand jeux, tu t’es engueuler avec ta grosse mais ça passera ; elle t’en voudra pas toute sa vie parce que t’empruntes son maquillage et sa lame de rasoir…ha elle s’est pendue  hier ? Ben tu vois elle a enfin réussi quelque chose dans sa vie ! L’effort a été payant ; après dix-huit tentatives elle a réussi !
Mais enfin pleures pas comme ça, toute façon elle était aussi bien foutu qu’un rouleau de P.Q, t’as rien à regretter, elle est sûrement mieux la où elle est, d’ailleurs c’est certain, elle a quitté son enveloppe charnelle, et quand tu vois la dite enveloppe je la ne la comprends que trop. Je sais c’est dur de perdre le seul et unique amour de sa vie à seize ans ; mais y’en a plein des grosses vaches moche comme tout habillé comme pour un enterrement. Alors tu vois tant que y a de la vie y a de l’espoir…non je dis ça en général, c’est sur toi t’es mal barré, compte pas sur l’espoir pour t’en sortir, mais y a forcément un truc que t’aimes dans l’existence qui fait que…tu écris des poèmes ! Mais c’est très bien ça ; en plus tu ne peux que progresser, je vois difficilement comment tu pourrais faire plus nul, donc c’est une bonne chose non ?

Mais allez ressaisis toi, si à ton âge tu vois déjà tout en noir…quoi ? non je t’arrête tout de suite, crois pas que c’est mieux après…c’est pire après, j’ dis ça comme ça mais t’es en train de gâcher les seuls années où t’aurais pu être heureux…oui je sais, une fois qu’on à un boulot après l’appart’ et tout et tout, mais bon, je veux pas être méchant mais redescend sur terre : tu sais rien faire, au lycée ta moyenne est tellement basse qu’il faudrait inventer un chiffre plus significatif que zéro ; pourtant t’adore lire, depuis que t’es gothique, non ? …ouais en même temps en deux semaine c’est difficile de rattraper le retard, et puis lire en boucle les fleurs du mal de Baudelaire...tu sais il y a d’autres auteurs…
Moi j’ te dis ça pour ton bien, mais t’es un con finis et un incapable, tu vas rater ta scolarité, et taillé comme t’es j’ te donne pas une semaine dans un boulot ou t’en chieras comme un esclave, t’as des goûts de merde, des potes de merde, une petite amie qui ressemble à la petite dans l’exorciste...Ah oui elle s’est pendue désolé…non retourne chez tes parents gros, parce qu'un type aussi pitoyable que toi, y’à qu’une mère pour l’aimer…j’ savais pas que t’avais été adopté…ha toi non plus ? Tu l’as su comment ? Intuition ? Non mais c’est pas parce que tu leur ressemble pas que t’as été adopté…de toute façon tu ressemble à rien alors comme ca...

Et puis chez toi t’es tranquille, t’as la console, une pure chambre, un pc de fou, un dolby dernier cri, un écran géant…tu t’en fous de tout ça ? Les possessions sont éphémères et c’est pas ça qui te rendra heureux…et tu t’en fous, une fois mort tu les emportes pas
 Tu parles sérieusement…tu me laisserais tout ça ? Ça me gène un peu tu sais…même ton petit frigo à côté du lit ? …la Playstation 2 avec tout tes jeux ? Ton pc enfin tout quoi ?...
T’as raison gros, ta vie c’est d’la merde, suicide toi…ah non tu fais pas ta tapette, ça fait une heure que tu me casses les couilles avec ton existence pitoyable, alors maintenant tu te dégonfles pas ! Ouvres toi les veines ! Putain mais vas y merde ; plus vite tu le fais plus vite j’aurais ton dolby, ta console et tout. Voilaaaaaaaa ! Tu vois c’est pas si dur !
Bon je te laisse, j’ fais un saut chez toi…attends ça fait des années que j’ te vois agoniser, sauf que cette fois y a un peu plus de sang c’est tout, et j’ vais rater le dernier tramway si je décolle pas maintenant…Ha mais lâches moi la jambe tu vas me foutres du sang partout abruti ! Quoi ? « Hôpital » heu désolé j’entends rien…bon allez je te laisse, j’ vais rater le tram…tu veux pas mourir ? Ha non c’est trop tard maintenant, t’es si proche du but, et faudrait savoir un peu, t’avais qu’a y réfléchir avant, maintenant t’assumes ! Et réponds moi quand j’ te parle ! Ho ! Je te parle ! Et me regardes pas avec des yeux révulsés j’aime pas ça ! Bah c’est tout fais semblant de rien entendre, fais le mort j’ m’en fous moi… Connard va ! Après tout ce que je fais pour toi…pff !! les amis ! ha j’ te jure
.


 


 




 

Vendredi 22 juillet 2005 à 19:38

 


 


Quand l’inconnu entra dans le bar, un profond silence, quasi religieux semblait dominer la pièce. Au milieu des effluves de tabac, d’alcool et de sueur, l’intriguant petit personnage avançait, déterminé ; il prit un tabouret au coin du bar, s’installa et commanda une bière pression.
Il regarda l’homme assit à sa gauche ; longuement, des pieds à la tête…il but une rasade de bière, avant d’engager la conversation.
 « Vous n’êtes pas du coin vous
- Ca se voit tant que ça ?
- vous savez ici c’est un bar de quartier, on connaît pratiquement tout les gens…
- je pourrais très bien venir d’un autre quartier
- les types des autres quartier ne viennent pas ici.
- Pourquoi ça ?
- est ce que j’en sais quelque chose ? 
- vous êtes du coin vous ?
- j’ viens de vous dire qu’ici y à que des gens du quartier
- donc vous êtes du coin, dit il avec un sourire.
- c’est ce qu’à juste titre vous auriez du penser mais ce n’est pas le cas, je viens d’arriver. »
L'homme assit au bar était pour le moins déconcerté par le discours du petit inconnu, pour détendre l'atmosphère, car son interlocuteur n'était pas dès plus sympathique de prime abord, il tenta une approche plutôt maladroite, bardé de son plus beau sourire :

- Vous êtes un original
- Vous m’insultez; rétorqua le petit homme

- Je ne vois pas en quoi...l'homme du bar était dérouté par cette réponse inattendue
- Vous me parlez depuis à peine cinq minute et déjà vous me traitez d’original ; dans une heure vous me traiterez peut être de cinglé…
- Mais je ne vois pas en quoi vous dire que vous êtes un original est…insistait il,
- Parce que c’est dit d’une manière qui ne me plait pas, monsieur.
- Très bien, je suis désolé ; je vois que votre verre et vide, pour me faire pardonner l’affront je vous offre un verre
- Si ça peut vous faire plaisir. »
Un profond silence s’ensuivit, et lorsque le patron lança « let there b e rock » l’atmosphère semblait plus détendue.

 «  Ce que je me demande, c’est si vous venez d’arriver, comment savez vous qu’il n’y a que des habitués du coin ici …
- C’est comme ça dans tous les bars ; et regardez les cinq minutes, vous comprendrez qu’ils se connaissent tous.
- Vous venez d’où ? l'homme du bar tenta encore une fois une approche banale afin d'en savoir plus sur l'inconnu,

- Du même endroit que tout le monde, je pensais que tout le monde savait comment on venait au monde…
- Ne jouez pas sur les mots...
- et en plus vous me donnez des ordres.
- Vous êtes tatillon
- C’est mieux que d’être stupide.
- La c’est vous qui m’insultez, l'homme du bar reprit une certaine confiance, éphèmère..

- Je généralisais, les gens ramène tout à eux, si vous vous sentez stupide je n’y peux rien. Et si l’offense est trop grande je vous paierai un verre, le vôtre touchant à sa fin.
- Vous n’avez toujours pas répondu, d’où venez vous ? L’homme du bar tentait de contrôler la discussion, comme s'il éprouvait un danger à laisser l'inconnu dominer la situation.

- Je n’ai peut être pas envi de répondre…par contre vous je sais d’où vous venez…
- Sérieusement ? fit l'homme du bar, étonné.
- Avec un accent pareil vous ne pouvez être que lorrain ; et même si vous tentez de le dissimuler, consciemment ou non, on retrouve certaines intonations propres aux petits bleds minables qui bordent les quelques agglomérations importantes de cette région. Vous êtes lorrain ça crève les yeux.»
L'inconnu, tout comme le lorrain, but une rasade de bière. Puis le lorrain ajouta

« En effet je viens de lorraine ; enfin je n’y retourne plus mais je viens de la. Je ne pensais pas trouver quelqu’un ici qui soit capable de reconnaître cet accent.

- Je n’ai aucun mérite j’en suis originaire aussi.
- Vraiment ? Où avez-vous grandit?
- Un peu partout jusqu’à mes dix neuf ans où je n’ai plus grandit d’un pouce…
- Vous recommencez, dit il en soupirant.
- Vous êtes perspicaces mon ami lorrain ; plus sérieusement je suis de la région Nancéenne, j’ai habité un peu tous les patelins alentour, Dombasle pendant un temps, si ça vous dit quelque chose…
- Bien sur, j’étais de Rosières, vous étiez peut être au collège avec moi…
- L’Embannie ?
- Oui ; c’est dingue, je voyage un peu et je trouve quelqu’un qui étais lui aussi dans cet établissement et qui vient de la même région.
- Les petits mystères de la vie. Vous avez quel âge ?
- … ans, répondit le lorrain.
- Alors nous étions au collège ensemble.
- Peut être que votre nom me rappellera quelque chose…
-  je m’appel ………
- Non votre nom ne me dit rien.
- Moi je me souviens de vous. Je vous ai reconnu tout de suite.
- Pardon ?
- Oui je vous assure ; dès que je suis entré je ne me suis pas assis ici par hasard, mais je n’étais pas sur. Vous etes bien …… n’est ce pas ?
- En effet c’est moi-même. C’est incroyable tout ceci.
- Non c’est d’une banalité effarante. »
L’inconnu commanda alors deux autres verres, avant d’entamer à nouveau la discussion.

 «  Je ne me souviens pas de grand monde, j’ai préféré me faire oublier ; je ne sais pas si vous êtes au courant, mais beaucoup de nos conscrits disparaissent ou meurent dans des circonstances étranges…
- Oui je suis malheureusement au courant, c’est pour cette raison que j’ai quitté la lorraine, je voyage beaucoup en espérant que ça ne me tombera pas dessus.
- Bah ne parlons pas de choses si macabres ; après tout, nous sommes loin et hors de danger non ?


- Je l’espère… le lorrain, en proie au doute, tournait son verre du bout des doigts.
- Gégé !
- Le pion ?
- Oui, je viens de me souvenir de son surnom ; qu’est ce qu’il était con ce type.
- Je ne sais même plus pourquoi on l’appelait Gégé…
- A cause de ses initiales, et parce que pour nous ce surnom avait une connotation homosexuelle ; et parce qu’un élève faisait circuler des caricatures criantes de ressemblance avec ce cher surveillant et l’avait baptisé « Gégé »
- Exact ! Vous avez une mémoire étonnante. Maintenant que vous le dites ça me revient ; le même élève avait fait circuler des caricatures du directeur aussi non ? Le lorrain s'enthousiasmait de se remémorer ces souvenirs d'un autre âge.

- Oui une espèce de parodie de super héro avec un jeu de mot minable typique d’adolescent. Je crois me souvenir que le nom du directeur était Duclasson ; évidemment ce n’était pas dur de rire avec si peu, surtout après l’avoir mué en «Super Ducalecon » et l’avoir affublé d’un sous vêtement féminin en guise de costume…Je me demande ce qu’il est devenu d’ailleurs…
- Le directeur ?
- Non, le camarade qui faisait ces dessins ; j’avais gardé contact avec pas mal de monde, mais lui semble n’avoir gardé contact avec personne…
-En même temps à sa place j’aurais fait de même ; il n’était pas très populaire…
- C’est le moins qu’on puisse dire, le plus juste serait de dire qu’il était martyrisé.
- C’est la dure loi de l’école, il y à toujours un bouc émissaire…le lorrain s'en cachait, mais il n'aimait guère la tournure que venait de prendre leur discussion

- Oui, mais on s’en prend rarement au plus fort et au plus entouré ; on préfère s’en prendre à un gamin solitaire, pauvre.
- Et sale, mon dieu qu’est ce qu’il était sale, tout autant que son père alcoolique.
- c’est certain...
- Je me souviens bien de lui, c’était un caractériel, combien de fois on le faisait sortir de ses gonds, c’était trop facile.
- Oui c’était tellement facile, en même temps on vous aurez insulté et malmené tout les jours vous aussi vous auriez eu du mal à vous contrôler.
- Comme si c’était de notre faute, nous étions des gosses.
- Est-ce une excuse pour autant ?
- Ho il n’en est pas mort…le lorrain comprit alors qu'il avait trop parlé. Il ne voulait pas en parler.

- Ca on en sait rien, ce dont on est sur c’est que sa jeunesse à du être un enfer…
- Chacun sa merde !
- Belle conception, mais ça n’enlève aucun tort.
- De toute façon c’est loin derrière nous. Parlons d'autres choses.
- Peut être mais lui…il y pense peut être encore…
- peu importe. Fit il sèchement, parlons d'autres choses !
- Si ma mémoire est bonne, il avait juré de se venger.
- Ou il à peut être mit fin à ses jours, ou encore... l’auteur des disparitions de nos conscrit, c’est peut être lui ! Dans tout les cas je m’en fiche ! Le lorrain semblait être agacé par son étrange interlocuteur.

- Je crois que j’étais en cinquantième position sur sa liste noire.
- Il avait... une liste noire ?
- Oui, une sacré liste...
- Je...je suis dessus moi ?
- Vous étiez tente-huitème…combien de nos conscrit ont disparus ou bien sont morts ?
- Trente sept…le lorrain était maintenant plus livide que jamais lorsqu'il répondit

- Vous étiez au courant n’est ce pas ? Pour la liste…
- Oui mais avec les événements actuels, je préfère ne pas y penser…
- Surtout vu votre position. Reprenons des bières, j’ai soif.
- C’est moi qui paie. Le lorrain payait d'une main tremblante
- Trop aimable.
- Vous pensez qu’il pourrait être mêlé à tout ceci ?
- Pourquoi pas ?
- C’est effrayant.
- C’est ça que vous fuyez n’est ce pas ? Indirectement c’est lui que vous fuyez.
- Peut être. Non...enfin...je ne pense pas, ce sont tous ces ...enfin pas lui mais...
- tout ceux qu’il a croisé lui ont gâché l’existence, il est naturel de vouloir échappé à son juge, juré et bourreau. Aujourd’hui c’est lui qui gâche nos existences.
- Pourrait on changé de sujet ? Dit nerveusement le lorrain

- Non ce sujet est parfait. Il faut que vous compreniez au lieu d’en avoir peur.
- Et vous êtes sensé me le faire comprendre? Et que voulez vous donc me faire comprendre?
- Vu ma position sur la liste, j’ai une longueur d’avance, pas vous. Et je dois vous aidez à laver votre âme de la culpabilité, je dois vous préparer à la venue de ....
- C’est ridicule tout ça, il y a une probabilité infime pour qu’il soit effectivement le coupable.
- Vous ne regrettez pas ?
- regretter quoi ?
- D’avoir gâché sa vie ?
- ...Non...je n'ai rien fait...le lorrain marqua un bref temps d'arrêt, l'inconnu également.
- Comment voulez vous qu’il soit désolé de gâcher la votre ?
- Il ne me la gâche pas…je ne fuis rien ! Je ne regrette rien ! Et puis vous m’ennuyez avec vos histoires de bonnes femmes ! Je m’en vais ! Le lorrain se leva d'un bon, fixant son compagnon comme si il voyait la mort en face.

- Très bien, alors adieu, et puisse Dieu avoir pitié de votre âme quand vous vous trouverez en face de ……
- Il y a peu de chance que ça arrive, il ne me retrouvera jamais ; et puis vous êtes plutôt cinglé, comment pouvez penser ce que vous dites ; vous aussi vous y passerai.
- Vous voyez je vous l’avez dit qu’au bout d’une heure vous me traiteriez de cinglé…vous êtes prévisible, et si ….. est aussi déductif que moi, il doit prévoir le moindre de vos mouvements.
- Vous êtes effectivement cinglé, maintenant je prend congé ; adieu »
Le lorrain paya le patron du bar, prit sa veste et se dirigea vers la sortie
Il quitta le bar, suivit quelques minutes après par l’inconnu.
Le lendemain, sur le parking, dix mètres en face du bar, fut retrouvé le corps de Aurélien Simon, poignardé à plusieurs reprises ; son corps était étendu à côté de sa voiture…sur sa poitrine était épinglé un petit bout de feuille de papier déchiré avec son nom inscrit dessus,  des annotations tels que des adresses, des téléphones…et devant son nom, on pouvait lire « numéro 38 »…


 


 


 

Jeudi 21 juillet 2005 à 17:41

 


 


Une fois n’est pas coutume, mais aujourd’hui, on va donner dans un style plus classique ; laissons de côté mes diatribes mesquines, oublions un instant le ( mauvais ) poète torturé qui sommeil au fond de mon colon, et surtout par pitié, ne philosophons pas (aucune envie de me torturer les neurones)
Oui laissons un peu de tout ça de côté ; car je viens de me rendre compte que je ne vous ai jamais parlé des blogs qui, même si je suis du genre avare en commentaire, ne manque pas d’éveiller mon intérêt et de recevoir mes visites régulières.


 


Puisqu’il faut bien commencer par quelqu’un, commençons donc par ce cher Serviteur ;
et que dire que nous ne sachions tous déjà : un grand chroniqueur, écrivain de talent, un critique de film qui n’a rien à envier aux professionnels ; un être cultivé aux goûts très surs ( je ne dis pas ça parce que je sais qu’il visite mon blog ), saupoudrez le tout d’une mauvaise foi à tout épreuve, d’un ego inébranlable et d’un humour cinglant et vous serez encore à cent lieux du résultat, car serviteur, c’est un homme qu’on ne peut expliquer.
Sa profonde antipathie pour les vermines est à souligner, au détour de certains blogs peu reluisant, vous verrez peut être un commentaire signé de sa patte, invitant le bloggeur minable à plié valise ; et moi ça me fait marrer ^^
Ce fut l’un des premiers à visiter mon blog sur c0w lorsque je l’ai ouvert, et si ma mémoire n’est pas trop lamentable, le courant n’était absolument pas passé, il m’aura fallut un certain temps pour admettre avoir fait preuve d’un jugement un peu trop hâtif, car sans conteste c’est un bloggeur hors paire.


On enchaîne avec : bilbol !
bilbol, grand amateur de boisson à base de houblon également, une personnalité à part ; c’est quelqu’un de calme, presque réservé, à travers son blog il nous fait partager un peu tout, coup de gueule comme petit week end jeu en réseau, film ou encore question à la con.
Bilbol, c’est un magicien, car depuis que la bannière de son blog se résume à un fond bleu ou est inscrit « fatal error – press any key to continue » 9 fois sur 10 mon Internet Explorer plante dès que je tente d’aller sur son blog, très fort ce bilbol ^^
J’aimerais parfois qu’on puisse parler plus longtemps et plus souvent, mais il me manque le temps, et je pense que pour lui il en est de même. Il reste néanmoins quelqu’un que j’apprécie beaucoup, pour sa sincérité, son humour et pour sa simplicité.
Il s'appel robert polson^^



Ensuite, je tiens à vous parler d’une demoiselle, j’ai nommé margritis.
Je ne sais plus vraiment comment j’ai atterri sur son blog, mais depuis je n’en suis pas reparti ; il y à beaucoup d’émotion dans ses textes, beaucoup de noirceur, et pourtant on trouve toujours derrière le masque sombre une étincelle d’espoir et de doute ; comme toute artiste qui se respecte, c’est une écorchée vive, elle écrit avec ses tripes ; et même si on pourrait faire rapidement l’amalgame entre son blog et celui d’une pseudo-gotheuse quand on est un crétin prompt à juger, il n’en est rien ; pourquoi ? Parce que la qualité parle d’elle-même. Ici on n’a pas à faire à une petite inculte sans talent ; c’est tout le contraire.


On continue avec la gente féminine avec : balltongue
J’aime son petit univers rouge et noir (surprenant n’est ce pas ?) ses petites anecdotes, ses petits racontages de vie, des chroniques de concerts métal en passant par ses inquiétudes, ses petits et gros tracas. Une personne douce et aimable, un peu trop fragile parfois, c’est toujours avec plaisir que je vais voir ce qui se trame sur son petit espace…une personne charmante possédant beaucoup d’humour et une grande sensibilité, et tout cela, ça se ressent à travers ses pages.


Ladies and gentleman, here come ’s : eyeless
Eyeless, la bloggeuse dont le prénom est l’un des secrets les mieux gardés de c0w ne manque jamais d’humour, toujours le mot pour vous énerver, le petit surnom qui soule et qui vous poursuit, toujours le mot qui tue ; si un mot pouvait la définir ce serait sarcastique ; mais derrière cette semi méchanceté plus que feinte se cache une fille sensible, très sensible, toujours prête à tout pour ceux qu’elle aime ; elle possède une grande force de caractère, une force au-delà de ce que nous pourrions tous imaginer . Qu’elle parle de sa vie, de ses films ou acteurs cultes, de ses deux boules puantes ou bien encore de ses états d’âmes, il y à toujours un fond de poésie presque mélancolique quand elle nous livre le fond de son cœur.


On revient un peu aux bloggeur masculin ; avec inset-and-cid (anciennement cidfuckpeople)
Artiste ; c’est je pense le qualificatif qui lui convient le mieux. Cid’ laisse exprimer ses sentiments par un art qui lui est tout aussi propre ; torturé, sombre, presque malsain, voila comment je perçois le personnage qu’il incarne ; ce que j’aime particulièrement chez lui, c’est sa verve assassine envers le monde qui nous entoure, et cette provocation sur les sujets qui fâchent ; cid n’a peur de rien, et surtout pas que ces mots soient le reflet exact de sa pensée, ce qui est d’ailleurs bien souvent le cas.


Hardblog, alors lui c’est un peu particulier ; disons que dans ses écrits, je retrouve beaucoup de mes opinions ; il expose, développe, argumente ses idées. Toujours bien conçus, ses articles sont un réel plaisir pour quiconque sait accepter des idées parfois divergentes d’avec les siennes ; car Hardblog vous propose SA vision, et pas une autre…et ce n’est pas négociable.


Ensuite il y a l’incontournable JoKer,
qui ne le connaît pas ? Et est il vraiment besoin de le présenter ?   C’est un vieux de la vieille, et je mentirais si je disais avoir prit le temps de lire tout son blog; j’ai attrapé le train en marche mais c’est toujours un voyage agréable. Et puis j’ai toujours aimé les blogs avec une pointe (une pointe ^^) de narcissisme et de sarcasmes dont le message et très clair ; il est pas la pour nous dorloter mais pour nous enfoncer. Il ne mâche pas ses mots et ça me plait.


La liste est loin d’être finie, il y a encore tant de blogs dont je voudrais vous parlez, mais ceci sera l’affaire d’un prochain post.
Ps : note pour les mous du bulbe, pour accéder aux blogs il suffit de cliquer sur les liens des pseudos.


 

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