Samedi 6 septembre 2008 à 2:58



Impossible de dormir, donc profitons joyeusement de l'insomnie, levons nous - sans pour autant trébucher sur les cernes accumulées la semaine - et concentrons pour faire quelque chose de productif. Ca n'apporte pas le sommeil pour autant, loin de là, car commencer un dessin -surtout si on espère un bon résultat - c'est comme lancer un film et s'arrêter en chemin. Après plusieurs essais pour retourner botter le cul flasque de Morphée (qui n'est pas une femme je le rappelle), on se résigne systématiquement à se relever pour achever à grands renforts de coups de pinceaux ce qu'on a entamé.

Cela dit, ça en valait le coup. Et j'en connais un qui risque d'être ravi lorsque je lui filerai l'original.



"Let's put a smile on that face..."

Lundi 1er septembre 2008 à 17:59


Pour mémoire, vous pouvez retrouver les précédents épisodes dans la catégorie "Tribulations Atomiques"

 

Voyant une camarade shoum's malmenée, les autres se jetèrent sur moi. Pliant sous le poids du nombre, j'imaginais déjà les pires horreurs et voyais mon avenir d'un œil sombre, pour ne pas dire funeste. Cruel destin que de mourir si jeune, dans la force de l'âge, et sobre. Préparant mon âme à l'inconnu, je découvris que les châtiments corporels chez ces étranges petites créatures avaient quelque chose d'agréablement familier... Voir jouissif. A ma grande surprise, elle ne me firent aucun mal, au contraire même, puisqu'elle expulsèrent certaines tensions de mon corps, avant de recueillir dans une liesse générale un certain liquide aidant à la reproduction. Elle se répartirent équitablement la précieuse substance, et chacune d'entre elles déposa quelques gouttes sous toutes les feuilles d'arbres tombées au sol jusqu'à épuisement du stock de foutre. Elle dansèrent ensuite toutes ensembles, tournant sans cesse, et répétant encore frénétiquement "Shoum's".
Quelques minutes plus tard, alors que je me rhabillais, les Shoum's se mettaient à chercher sous les feuilles. Je vis d'ailleurs à ma grande surprise une feuille "ensemencée" bouger, je la soulevai donc. Je découvris en dessous une Shoum's, les yeux mi-clos, éblouie par la lumière. Je récupérai alors cette petite chose, qui commençait déjà à communiquer avec moi, prononçant un "shoum's" interrogatif. Les autres Shoum's continuaient à chercher sous les feuilles leurs nouvelles congénères, mais il m'apparaît évident qu'elles n'ont pas suffisamment de mémoire pour se rappeler où elles ont semé. Elles abandonnent bientôt leurs recherches et retournent dans les buissons, visiblement peu affectées par l'inutilité de tant d'efforts, puisqu'elles dansent à nouveau en shoum'sant joyeusement. Je pose la Shoum's que j'ai recueilli à terre, mais au lieu de les suivre, cette petite femme à poil décide d'aller de me monter dessus et de voyager avec moi. Ironiquement, je lui demande mon chemin.

«
Tu ne saurais pas où trouver Jesus par hasard ?
- Shoum's ! Fit-elle, en m'indiquant une direction.
- Ouais ouais ouais c'est ça...»

Je décidai de l'ignorer mais elle insista pour que nous empruntions le chemin qu'elle m'indiquait. Elle sauta de mon épaule et tira sur mon pantalon pour affirmer sa détermination.
Etant complètement paumé et n'ayant aucune idée de l'endroit où commencer mes recherches, je décidai de faire confiance à l'intuition de cette créature. Après tout, elle connaissait peut être les lieux d'instinct. Si j'avais alors pris en compte cette absence totale de mémoire observée cinq minutes plus tôt, je ne me serais pas risqué à faire confiance à une hypothétique connaissance des lieux obtenu via mémoire génétique pour trouver mon chemin dans la forêt vosgienne, ça m'aurait d'ailleurs évité bien des emmerdes. Je m'enfonçais alors dans l'épaisse végétation, quittant le territoire des Shoum's. Durant de longues heures de marche, je n'observais rien d'anormal, jusqu'au moment où un silence de mort fit place aux habituels  bruits de la nature.
On ne sentait rien. Une sorte de vide. C'est à ce moment précis que les oiseaux s'envolèrent comme un seul homme (bien qu'un homme ne vole pas), ce qui ne laissait présager rien de sympathique pour ma personne. A mesure que je m'enfonçais vers le nord, enfin je pense qu'il s'agit bien du nord, cette saloperie de mousse censée ne pousser que sur la face nord d'un d'arbre s'amusant  à recouvrir en général toute la circonférence des troncs histoire de vous paumer et de vous faire passer pour un con si vous dirigez un groupe d'abrutis dans les bois et que personne n'a pensé à prendre une carte, une boussole ou un GPS… Hem. J'avançais donc vers ce que je supposais être hypothétiquement mais probablement le nord, destination à laquelle j'aurais sans doute mieux fait de renoncer sur le moment, si je m'étais fié à tous ces animaux qui couraient dans la direction opposée à celle vers laquelle je me dirigeais. Après qu'une horde de dahus roulèrent tant bien que mal vers moi, qu'un troupeau de sanglier ait tenté de m'écrabouiller (et j'en soupçonne un ou deux d'avoir voulu me violer), qu'un ours en caleçon dansant le twist et que plusieurs centaines d'écureuils, lièvres et autres saloperies de rongeurs à la con aient croisé ma route, je rechignais de plus en plus à suivre la Shoum's, qui semblait être décidément la seule créature de la forêt à ne pas sentir un éventuel danger. Je lui sommais de s'arrêter, mais rien n'y fit. Elle avançait, poussant des petits cris de Shoum's, et que voulez vous, qu'elle fasse une taille normale ou vingt centimètres, je suivrais une jolie fille à forte poitrine jusqu'aux portes de l'enfer, plus particulièrement si elle se balade à poil.

La Shoum's, malgré sa faible taille, était vive. Elle arriva au tournant d'un sentier sombre et sinueux, et disparu. J'avais été semé par ma petite compagne de route. C'est alors que j'entendis un cri inhumain, rauque, presque plaintif, et vis la Shoum's réapparaître, me sauter dessus et se cacher sous ma chemise, en répétant à plusieurs reprise de sa voix enfantine « Sous la feuille, sous la feuille ! »
Face à moi, je vis les fourrés bouger, de plus en plus fort, comme si quelque chose s'approchait de moi. Je le vis alors, celui que tous redoutaient, celui à cause de qui les Vosges étaient devenues de vieilles montagnes ridicules et dépeuplées sauf par une tripotée de fous et de paysans consanguins ne s'aventurant plus depuis longtemps dans les vaste forêts (enfin tout n'est pas non plus sa faute… c'était déjà comme ça avant).
Il se dressa devant moi, tout comme son chibre. Il n'était pas d'une taille exceptionnelle, mais il était gros, étonnamment gros, ce qui ne semblait paradoxalement pas l'empêcher de se mouvoir avec agilité. Il était fortement poilu, d'un poil dru et noir comme on ne les voit que sur le dos d'une portugaise, il bavait et sentait fort. Il se dressa devant moi en hurlant, et j'étais pétrifié par ce spectacle autant effrayant qu'abject. J'étais impuissant face à une telle masse, impuissant face à l'abominable gay des Vosges.   
Il me frappa, et je fus si impressionné par sa vitesse, - tant elle est en adéquation avec le gros porc lubrique qu'il semble être -  que je ne pensais même pas à esquiver le coup, qui me fit faire un vol plané d'une bonne dizaine de mètres. La baffe m'avait pas mal sonné, et ma course aérienne ayant été stoppée par un chêne majestueusement solide comparé à ma boîte crânienne, je ne le vis même pas bondir et me rejoindre en une seconde, ni même me prendre un autre revers pas piqué des vers (Haha quelle tournure, prenez en de la graine !). J'étais là, le visage tuméfié après quelques secondes de combat à peine, tentant de me relever avec l'appui de la Shoum's qui avait quitté ma chemise. Je me préparais à recevoir une autre baffe, mais je m'aperçus que le monstre n'y voyait que dalle. Il regardait partout, et alors que j'étais à seulement cinquante mètres de lui, il ne me prêtait pas la moindre attention. Il flaira l'air, et soudain, se dirigea lentement dans ma direction, prenant fermement position pour s'élancer. Il était évident qu'il flairait quelque chose qui me trahissait.
Mon odeur masculine, ma sueur testostéronée, bref, ma puanteur de mec qui vient de passer plusieurs jours dans les bois sans se laver. Etrangement, il ne m'attaquait pas. En me retournant je compris que j'étais au bord d'un ravin. Grâce à son odorat d'homosexuel sauvage, il devait sûrement évaluer les reliefs et les distances.
Ma seule option consistait donc à me jeter dans le vide, en priant pour que ma chance me sauve une fois encore. Je mis la Shoum's dans mon sac, qui ne comprenait pas bien la situation, le pourquoi du comment, tout ça, et je m'élançai dans le vide. Je me souviens m'être réveillé quelques heures plus tard, trempé par la rosée matinale. Alors que j'ouvris les yeux, je vis un groupe d'hommes bedonnants, sales , nus et poilus s'avancer vers moi. Comme tout un chacun, confronté à des inconnus nudistes au fin fond des bois, la première question qui me vint à l'esprit fut :

  « Qui êtes vous ? » Question à laquelle ils répondirent promptement.
 « Nous sommes un peuple gay très ancien, oublié de tous…
- Nous vivons nus dans ces forêts. Nous sommes les Vosgiens. »

Avant que j'eus le temps de dire quoi que ce soit, l'un d'eux ajouta « A poil ! C'est un ordre ... »
Visiblement, ma situation empirait...

 

Mercredi 27 août 2008 à 0:30



Je l'avais dit il y'a quelques mois déjà, et l'idée a finalement fait son chemin. Ainsi je vous livre ce soir les 5 premières planches adaptée de ma nouvelle (toujours en cours d'écriture) intitulée "le Gay des Vosges" (cf catégorie Tribulations atomiques)




















A suivre

 

Jeudi 21 août 2008 à 12:08



 

 

Après l'énorme triomphe du « Kit du petit suicidaire » et du « Kit cool », suite à la consécration du « Kit minceur » par tous les gros cul du monde, fort de son expérience auprès des violeurs de tous poils grâce au « Kit du violeur » et enfin, suite au succès commercial du « Kit Présidentielles 2007 », les laboratoires Atom-of-the-end, en partenariat avec la catégorie « dictature scripturale » de ce blog (l'autopub, c'est MAL !) ainsi que la direction centrale des services de renseignements généraux et les ex-membres de la gestapo, ont élaboré pour vous, petit flicaillon qui s'ignore ou délateur qui s'assume, le « Kit EDVIGE »
Vous pouvez dès aujourd'hui aider un gouvernement compétent qui ne recule devant rien pour protéger vos libertés individuelles en s'immisçant le plus possible dans votre vie privée (alors ne venez pas vous plaindre que le gouvernement ne s'occupe pas de vous bande d'ingrats). Comment me direz vous ? En achetant dès aujourd'hui le « Kit EDVIGE  ».

Le « Kit EDVIGE », c'est un véritable arsenal de petit collabo dans un magnifique coffret fait à la main par une machine. Vous trouverez entre autre chose, une liste de délégués de classes de treize ans susceptible de porter un jour éventuellement atteinte à l'ordre public, ainsi que les présidents d'associations de votre quartier (Individus dangereux s'il en est). Vous porterez d'ailleurs un regard particulièrement attentif aux opposants politiques anti-Sarkozystes, plus particulier encore s'ils sont basanés. Oui, car le « Kit EDVIGE  », ce sont aussi et surtout, des fiches de renseignements complètes sur les origines ethniques des individus susp…heu des citoyens.
Qui est en situation régulière ? Qui voit sa carte de séjour arriver à expiration ? Dénoncer en temps réel les nouveaux sans papiers, prenez les en photos, pistez les en attendant l'arrivée des services régulant l'immigration avec tact, humanité, et délicatesse : Les CRS. Le « Kit EDVIGE  », c'est du fun à l'état pur comme on en avant pas vu depuis 39-45. Vous trouverez également dans votre kit une panoplie complète de pyjamas rayés et d'étoiles jaunes (Sait-on jamais, ça pourrait servir à nouveau). Vous êtes éblouis, mais ce n'est encore rien.

Car si en prime, vous êtes homophobe, vous serez ravi de trouver sur nos listings des renseignements précis sur l'orientation sexuelle de vos proches, parents, collègues, ennemis… Enfin des renseignements précis sur l'orientation sexuelle : si la personne fichée est gay, s'il est hétéro, tout le monde s'en fout, les gays étant scientifiquement connus comme étant des dépravés pervers et dangereux pour la société. Et oui, grâce au « Kit EDVIGE », revivez les plus belles heures d'une France pure, hétérosexuelle, pétainiste  et catholique de préférence. En ces heures troubles, le doute n'est plus permis sur qui fait quoi, et surtout, sur ce qu'il fera éventuellement peut être probablement plus tard, alors que les signes de dangerosités n'étaient pas forcément manifestes (mais sait on jamais, mieux vaut prévenir que guérir).

Après tout, qui sait si les syndicalistes ne seront pas demain une grande puissance (Oui je sais, dit comme ça, ça parait peu probable) ? Et bien rien que pour ça, ils sont fichés eux aussi ! Un syndicaliste se cache peut être parmi votre entourage ! Et sait-on jamais, vous pouvez vous aussi dénoncer d'éventuels ignobles syndicalistes ! Participez au plein essor d'une politique sécuritaire assumée, car votre Kit est relié en permanence aux services de renseignements, et peut donc ainsi transmettre à tout moment de nombreux renseignements grâce à ces caméras et ses micros espions. Comment se procurer une telle merveille ? C'est très simple.
Fournissez nous par courrier les pièces suivantes : Cheveux, échantillon de sang, échantillon d'urine, acte de naissance, photocopie de la carte d'identité, ainsi qu'une lettre manuscrite décrivant précisément vos activités passées et présentes. En échange de votre collaboration, vous recevrez un charmant ensemble chapeau-imperméable-gant noir ainsi qu'un ravissant brassard nazi avec votre Kit. N'attendez plus, dénoncer les autres, avant qu'ils ne vous dénoncent. De toute façon tout le monde sera fiché.



«.´¯¯`•.,¸¸,.•´¯** Atom of the end **¯`•.,¸¸,.•´¯¯`.»
( des solutions pour un monde meilleur )




Vendredi 8 août 2008 à 16:57




Contrairement à certaines idées reçues, le monde du blog n'est pas une bouse indescriptible jalonnée de sous-êtres stupides s'embourbant toujours plus loin dans ce qu'on pourrait interpréter comme la négation même de la théorie de Darwin. Oui c'est bien moi qui dit ça, pour la simple et bonne raison que je suis, finalement, un acteur de ce monde merveilleux qu'est la blogosphère, au même titre que ces idiots qui en font baisser le niveau et à ce même titre, je n'accepte pas de vivre dans la merde (Certains s'y ébattent avec délectation, je ne suis pas de ceux là). Je n'ai pas peur de l'admettre, je compense largement à moi seul le peu de talent qui caractérise cet univers irréel, et rien que pour le plaisir de me lire, ça valait bien le coup de se taper tous les boulets inhérents à la mise à disposition des masses d'un grand moyen de communication.
N'en déplaise à tous ces demeurés consanguins ou ces complexés du neurone, je gueule, certes, mais surtout, je créé. Je propose une alternative. Car ça va bien cinq minutes, de gueuler contre les modes en se targuant de ne pas comprendre ces nouveaux phénomènes comme un vieux con (là par exemple, cher vieil étron paranoïaque je fais allusion à toi), parce que je ne vois pas quel gloire on peut tirer à admettre volontairement être dans l'incapacité de comprendre ce qui sort de notre conception étriquée de l'existence et de la nature humaine (tout en se la jouant ouvert, franc, tolérant et dans le même temps, casser les couilles aux gens, en douce, comme un pleutre qui s'excite sans réel raison.). Il suffit, de singer les plus idiots et les plus faibles d'entre nous, quand on est incapable soi même de pondre autre chose que des merdes sans intérêt. Le fruit même de vos révoltes est aussi passionnant à lire que les raclures de fond de couilles pondues par ces individus contre lesquels vous vous insurgez.

C'est que, contrairement à ces feignasses du web qui pleurent continuellement sur leur sort (La aussi, je fais encore allusion à toi, débris poussiéreux) et se fatiguent à écrire trois lignes (au moins) pour nous en faire part, je passe un minimum de temps à réfléchir à ce que je vais vous proposer, histoire de vous occuper plus de dix secondes sans pour autant vous rendre un peu plus débile que vous ne l'étiez avant de venir me visiter. Et pour le coup, ça ne plaît pas forcément à tout le monde, ce qu'évidemment, on ne manque pas de me faire remarquer, souvent de façon assez inélégante je dois l'avouer, mais là, je vous le donne en mille, tout le monde trouve ça normal (après je me plaints pas, j'explique). J'ai parlé en long en large et en travers de ma conception de la tolérance, qui diverge des standards, car je suis logique voyez vous :
On me sert souvent cet argument (imparable je vous assure) qui me renvoie à ma condition d'être humain devant se demander qui il est pour se permettre de juger les autres, que ce soit lorsque je commente chez les autres (ce qui, à la rigueur, est compréhensible, je ne reproche à personne de se défendre lorsque je déclenche les hostilités) mais ces individus, qui déplorent qu'on les mettes plus bas que terre, qui se défendent d'agir comme le dernier des connards que je suis, ne manqueront pas d'en faire autant pour la simple et bonne raison que mon humour les dépasse, que ce que je dis les dérange. Après tout, avec ce que j'écris, il est naturel de me chercher les poux, il est normal de formuler les pires critiques à mon encontre plutôt que de s'acheter un peu de second degré. Un peu comme ces hippies peace'n'love qui crient "à mort les fachos" pour nous expliquer ce qu'est la tolérance.
La vérité mes enfants, c'est qu'on tolère tout, sauf ce qui nous emmerde. On tolère ce qu'on juge soi même comme étant digne d'être acceptable. Il n'y a pas de mode d'emploi avec la tolérance. Et c'est là qu'intervient le côté versatile style petit militant FN qui s'ignore, c'est là que l'individu lambda sautera sur la moindre faille pour vous faire un procès d'intention.
De la même manière que le premier quidam venu, qui craint en général de froisser la sensibilité de ses semblables humains, sautera avec délectation sur le prétexte qu'offre les femmes voilées pour se lancer dans une diatribe qu'on pourrait intituler « Mein Kampf II » en foutant tout le monde dans le même four, un bloggeur quelconque, toujours enclin à éviter soigneusement de se coller une image de vieux connard, sautera sur le premier prétexte venu pour vous traîner dans la  boue. Ceci m'est arrivé récemment.

 

 Il y'a quelqu'un, une vieille sous merde paranoïaque, qui n'hésite pas à pister mes visites sur son blog pour me foutre dans la gueule « hahaha tu m'espionnes ! » (sur un espace web publique, c'est vous dire le degré d'intelligence de ce demeuré congénital) et qui me sort de but en blanc, via la messagerie, je cite  « que sais tu de ma vie pour me juger ? sais tu pourquoi je ne désire pas poster en ce moment ? ».
Franchement, je n'ai pas tout de suite pigé de quoi il parlait. C'est seulement quelques jours après, en relisant l'article vous signifiant ma prise de congé, que j'ai compris qu'il avait apprécié ces lignes comme lui étant destinées « non je dis ça parce que sur cowblog on est les rois pour dire qu'on ne postera pas, genre "je dois prendre du recul tu comprends le blog c'est une part si importante de ma vie que je ne gère plus du tout le temps que j'y consacre ça me fatigue tout ça nianiania et là normalement tu me consoles avec pleins de commentaires, gentil lecteur" pour finalement poster deux jours après, donc, vous êtes prévenus.) »
Alors pour faire bref, j'écris ça, et ce pauvre con, avec qui nous avons échangé quelques propos houleux il y'a six mois (ce fut d'ailleurs la seule et unique fois) prend pour lui une réflexion somme toute généraliste sous prétexte que son blog est beaucoup visité, ce type que je lis régulièrement sans m'en cacher pour autant mais sans laisser de traces de mon passage pour ne pas qu'on vienne encore me dire que je passe mon temps à chercher la merde, me sort que je le harcèle et ajoute même « si ton seul plaisir et d'emmerder les gens , ce serait sympa de trouver d'autres cibles » alors qu'on n'échange jamais le moindre propos.
Ça va les chevilles ? la popularité te monte pas trop à la tête visiblement...
Alors une fois de plus, je généralise et caricature vite fait le monde du blog (car c'est quand même une grande tendance que de dire que le blog nous gonfle, qu'on arrête, pour reprendre aussi sec) et lui, comme ça sans crier gare, qui me tombe dessus comme s'il était le seul sur cowblog à correspondre au profil. (Si tu te sens visé mon gars, ne me le reproche pas, reproche le à ton comportement, moi je caricature c'est tout).
Je pourrais facilement dévoiler l'identité de ce sombre connard, mais ce serait contraire d'une part au règlement (que je m'acharne à toujours respecter en tout point) et d'autre part, parce qu'avoir la confirmation de ce que je pense depuis le début, ça me suffit.

Tu te prétends sympathique, ouvert, et tu exerces sur les jeunes de cette communauté un attrait particulier que te confères à la fois ton grand âge, ta mentalité et ta culture de gamin de cinq ans. Mais moi, je sais, je sais que sommeille en toi un être primaire, égocentrique au point de croire que je gâche du temps à placer des messages qui te seraient destinés dans mes articles. Rancunier et haineux au point que, six mois après une brève altercation via commentaire, tu en sois toujours là. Tu es pathétique. Puis-je ajouter que tu es un pleutre ? Car qu'as-tu fais, lorsque je t'ai commenté pour la première fois ce jour là, lorsque tu as vu que tu étais incapable de me tenir tête ? Tu t'es muré dans le silence juste après avoir posté mon commentaire sur ton blog en guise d'article, en citant évidemment mon pseudo, en espérant voir ton lectorat se charger de mon cas (manque de bol, tes lecteurs ont autant de répartie que toi).
Et que fais tu aujourd'hui ? Tu m'attaques courageusement par e-mail, et lorsque tu vois qu'une fois encore, j'ai plus de répondant que toi, tu me laisses dans le vent, sans explication. Tu es un lâche. Tu es faux. Tu mens. Tout n'est que paraître et artifice chez toi. Tu es fourbe.
Alors je pourrais en faire profiter tout le monde, étaler au grand jour ton véritable visage, mais tu n'en vaux même pas la peine, et je fais ça juste pour te prouver, qu'avec un demi siècle de moins que toi, je suis infiniment plus intelligent que tu ne le seras jamais, et même si tu disposais de mille ans pour y parvenir, ce serait peine perdue.
Et sache une chose, c'est que ces rapports que tu entretiens avec les autres sont très surfaits ; Ce qui te rattache aux autres, ce n'est pas ton charisme débordant semblable à celui d'une moule pas fraîche, c'est ton omniprésence, c'est ta condescendance abjecte et mensongère, ce sont tes faux semblants. Ce qui te rattache aux autres, c'est ce que tu n'es pas.
Et toi qui me demande d'arrêter de te faire chier alors que je ne le fais pas, j'aimerais que tu arrêtes de faire une fixation sur moi juste parce que je t'ai rembarré en mettant l'index sur ton attitude paradoxale.


A bon entendeur, petit étron insignifiant.







Lundi 28 juillet 2008 à 1:11


Départ pour Nancy dans un peu moins de 24 heures, mais avant ça, histoire d'alimenter mon blog avant de le laisser pourrir sur pied durant deux semaines, je vous laisse admirer ceci. On ne présente plus cet adorable petit personnage qu'est la Shoum's (pour mémoire, consulter cet article > Clik < et celui la > Clik < ), et qui meuble le fond de mon blog, et bien figurez vous que grâce à l'amie d'un Dada qu'on ne présente plus non plus, me voici l'heureux possesseur d'une statuette de Shoum's. Merci donc à Mélanie pour ce sublime cadeau. Voir l'une de ses créations prendre forme, je vous jure que ça fait quelque chose.








Sur ce, ce blog devrait reprendre une activité normale d'ici deux à trois semaines, peut être un ou deux post' d'ici là si j'ai le temps (non je dis ça parce que sur cowblog on est les rois pour dire qu'on ne postera pas, genre "je dois prendre du recul tu comprends le blog c'est une part si importante de ma vie que je ne gère plus du tout le temps que j'y consacre ça me fatigue tout ça nianiania et là normalement tu me consoles avec pleins de commentaires, gentil lecteur" pour finalement poster deux jours après, donc, vous êtes prévenus.)

En attendant, on admire la Shoum's. Mieux que ça. Voilà.

Mardi 22 juillet 2008 à 23:08



Je sais ce que vous allez me dire. Moi même, j'ai toujours été de ceux qui ont clamé haut et fort qu'il est des sujets qu'on aborde pas sur un blog, pas sous prétexte qu'ils pourraient froisser, pas même sous prétexte qu'il s'agit de sujets si grave qu'il ne faut en faire mention, mais bien parce qu'il existe des sujets si terre à terre, si simplistes, qu'ils ne valent même pas le temps qu'on leur consacre. Et pourtant, si je franchis aujourd'hui une limite, c'est bien parce que c'est nécessaire. Une fois n'est pas coutume, alors que celui là même qui haranguais jadis qu'il n'y avait que les cons qui perdaient leur temps à regarder des émissions de Real T.V, pour en plus nous briser sympathiquement les testicules avec cette merde sur leurs blogs, celui là, mes amis, s'apprête à se fourvoyer sous vos yeux ébahis sentant l'anus. Cela dit n'allez pas vous faire des idées non plus, cet article ,n'aura pas pour unique thématique la télé dite réalité. Faut pas pousser. Mais mon sujet de réflexion du jour m'étant directement inspiré par, d'une part, mon expérience personnelle, et d'autre part, par l'émission "l'amour est dans le pré", je ne pouvais évidemment pas caché cet état de fait. Ceci étant dit.


(La consanguinité, ce tueur silencieux)
 
Avez vous jamais dans votre vie croisé un paysan ? Car franchement, ça vaut le détour. Pour avoir passé mon enfance dans un trou paumé du fin fond de la lorraine où l'agriculteur moyen ressemble plus à ses vaches qu'autre chose, je puis vous dire sans exagération que c'est un spectacle qui éveille curiosité, peur, fascination et parfois, parfois, un soupçon d'une haine tintée d'une once  d'eugénisme.
Loin de moi l'envie de réutiliser les clichés les plus gros, mais est-ce ma faute si, à force de passer son temps les bottes dans la boue à nourrir des animaux avec un Q.I sensiblement aussi élevé que le sien, le paysan est une caricature à lui seul ? Et est-ce ma faute, si la télé (en particulier ce genre d'émission) s'acharne bien évidement à nous montrer nos semblables sous leur jour leu plus hideux et le plus ridicule ?
Les clichés rassurent ceux qui s'en servent c'est un fait, mais surtout, ils amusent. Je reste persuadé que le but premier de cet fanfaronnade de bouseux courant dans les champs dans l'espoir de nous pondre des petits merdeux (qu'on espère stérile d'un côté, pour le bien de l'humanité) est bien entendu de nous faire marrer devant la bêtise étalée de la sorte, sans complexe. On se gausse, de leur manque flagrant d'éloquence (dire qu'ils parlent français et qu'on doit quand même se taper des sous titres, c'est quand même magnifique), on rit, de cet pèquenots incultes votant certainement Le Pen pour éviter à la France le déclin au quel ils pensent ne pas contribuer, rejetant la faute sur la crétinisation de ces petits couillons de banlieues (qui finalement en terme de vocabulaire n'ont rien à envier à la "douce France").
Cela dit, je trouve le concept de l'émission intéressant, sortit de l'étui pénien  dans lequel elle enferme définitivement ces pauvres bougres en les ridiculisant (quoi qu'ils n'ont pas besoin d'aide pour ça) au point qu'on ouvrirai bien les vannes de zyklon B.


(La zoophilie, pratique courante dans les milieux ruraux. On peut voir dans cette pratique sexuelle étrange une manifestation violente de la solitude propre aux paysans)

Oui oui, intéressant, c'est bien le mot que j'ai employé. Il faut bien se rendre à l'évidence. Qui, sinon des êtres génétiquement aptes à effectuer des tâches sans intérêts, fatigantes et rébarbatives se taperont ce genre de boulot ingrat, dont, c'est triste à dire, nous avons tous besoin (jusqu'à ce qu'on automatise suffisamment la profession, n'en déplaise aux hippies de tous poils). Les campagnes se dépeuplent, il appartient donc à un gouvernement compétent (comme celui que je propose de mettre en place depuis un moment quand même) de prendre les rennes de ce projet d'envergure : Sélectionner des hommes et des femmes avec de faibles Q.I, aux  physiques ingrats, et les lâcher dans nos cambrousses où ils pourront s'ébattre à même le sol afin de repeupler ces régions où seule une espèce en voie d'extinction comme le paysan est apte à survivre.
Il faut rendre à césar ce qui appartient à césar, car qui, qui (je pose la question sur un ton dramatique histoire de rajouter un peu d'émotion à tout ça) a osé lutter contre la solitude des Hommes des champs ? Qui se fait l'ennemi de la consanguinité ? Qui aujourd'hui, arrache nos compagnes à la main mise de la zoophilie et de l'inceste ? Équipes de production d'M6 trop longtemps décriées pour la qualité douteuse de ses produits, je vous adresse en ce jour ma plus profonde admiration. Grâce à vous, des milliers d'hommes et de femmes vont se voir tiré du marasme nauséabond de la solitude pour être catapulté dans autre marasme nauséabond, mais un marasme béat, sécurisant, douillet et crasseux comme ils aiment. Et ce sera merveilleux. L'exode rural, mais dans le bon sens. Pour un monde meilleur.

Et qu'on ne vienne pas me dire que j'exagère, pour une fois que je repompe un concept exploité tel quel par la télévision…



 

Samedi 12 juillet 2008 à 1:14



Ce n'est un secret pour personne, il existe sur cette belle nappe blanche qu'est la France, un sombre tâche informe marquée du sceau de la différence. Il existe un problème, que personne ne s'attache à résoudre, sans langue de bois, sans masquer le dégoût et la haine que ces individus nous inspire. Il existe parmi nous, une population qui n'obéit ni à nos codes, ni à nos règles. Elle est facilement reconnaissable puisqu'elle ne manque pas une occasion de nous rappeler qu'elle existe, ne serait-ce uniquement par le fait qu'elle peut circuler librement au risque de souiller notre vue meurtrie par le spectacle navrant qu'elle offre sans que personne ne l‘en empêche. Vous savez de qui je veux parler. Je veux parler de celles et ceux qui n'ont que trop fait régner leur dictat par la force du nombre. Je veux parler de ces chantres de l'immobilisme. Oui vous ne vous trompez pas, aujourd'hui, quelqu'un  ose en parler. Car il suffit, d'avoir à redouter le futur et de subir la loi d'une minorité de racailles et de crapules. A moins que vous ne viviez en ermite et donc, que vous n'ayez jamais rencontré ce genre d'individus, vous aussi, vous ne supportez plus de les voir, flânant toute la sainte journée à ne rien faire alors que vous vous crevez le cul toute la journée au boulot. Ha je sens monter en vous cette légitime colère.

Toute la journée, nous pouvons les croiser, déambulant sans but aucun, arpentant les centres-villes dont la hausse salvatrice des loyers les a chassé, souvent en bande, bloquant votre passage et feignant de vous ignorez avant de vous interpeller de façon agressive lorsque vous  faites la moindre remarque. Il suffit, de les voir constamment chercher querelle. Comme la doctrine populaire le précise, lorsqu'ils sont seuls, et cela se vérifie, en particulier s'ils ont une faveur à vous demander, il retrouvent l'usage correct de la langue de Molière (je dis Molière parce que l‘usage le veut, vu que pour ma part, l'œuvre du bougre est une sombre merde sans intérêt), et parfois même, ils se montrent courtois, ou sans aller jusque la, simplement polis. Car parlons en de leur langage ! Ce verbiage incompréhensible, formé d'expression étrange et d'unités de mesure monétaire inconnues, signe de leur implication dans toutes sortes de trafics louches. Parlons en, de notre belle langue martyrisée par ces sauvages qui semblent mâcher un chewing-gum lorsqu'ils communiquent. Ha, elle est belle, la France. Et tout en eux prête à la mise à l'écart. Je ne mentionnerai que trop brièvement une culture musicale faisant totalement abstraction de la musicalité ou de l'originalité, elle est si obscure que je ne pourrais en parler.
Que dire de leur codes vestimentaires ridicules, ces couleurs mal assorties, ces matières textiles laides au possible ou ces couvre-chefs minables ? Et encore on en demande pas beaucoup, juste de quoi ne pas nous agresser la cornée, et si possible le nez, avec ces parfums atroces dans lesquels on jurerait qu'ils se trempent à la manière des rois pour ne pas avoir à se laver. Peut être que là d'où ils viennent, on apprend à ne pas se laver… Éducation ou pas, la plus part d'entre eux puent la mort, et ça aussi, dans une société telle que la notre, c'est un problème. Et après ça on vient nous pleurer dans les miches parce qu'on ne trouve pas sa place ? C'est proprement hallucinant.
Je mentionnais avec délicatesse un peu plus haut leur éducation, car il apparaît évident qu'elle est aussi différente de la notre que eux sont différents de nous. Sans m'avancer, elle semble dater d'un autre âge, tant leur attitude est aux antipodes de la façon que nous avons d'agir. Ca parait insensé, mais on jurerait qu'il ne devrait en avoir que pour eux, et ils n'en ont jamais assez. C'est quand même un comble !
 
Parce qu'évidemment, ils oublient un peu souvent qu'ils nous doivent tout, et qu'ils vivent avant tout au crochet de cette société à laquelle ils ont renoncé à contribuer il y'a bien longtemps . Alors je m'emporte peut être, certains d'entre eux ont vécu des choses marquantes, certains ont même connu la guerre et la misère, et il ne faut peut être pas généraliser, n'empêche qu'ils sont les premiers à faire dans la généralité dès qu'on fait quelque chose qui ne leur plaît pas. Dès qu'il existe un problème d'individu, ils en font un problème général, un phénomène d'une société ségrégationniste comme s'ils étaient la cible d'un complot, comme si la France entière leur en voulait ! Ils ne manquent d'ailleurs pas une occasion de jeter l'opprobre sur un gouvernement compétent qui n'est somme toute pas responsable de leur propre déchéance.
Moi je ne les supporte plus, j'en peux plus de les voir traîner là où ils n'ont rien à faire, empiéter sur notre espace vital, en compagnie de leurs semblables, ou bien souvent, en compagnie de chiens hideux et inutiles, souvent non harnachés et non muselés en plus ! Et ils ont le culot de dire, lorsqu'un mioche s'approche de piège à doigts, que cet adorable merde à quatre patte « n'a jamais mordu personne » et « qu'il est pourtant si gentil » lorsqu'ils s'aperçoivent de l'inquiétude de la mère tirant son enfant du bras dans la direction opposée au canidé…
Et là, mais je ne vous apprendrait rien, où ils se conduisent le plus mal, c'est bien dans les transports en commun ! Ils arrivent, en bande (mais je crois l'avoir assez précisé), aux heures de pointes (comme s'ils avaient quelque chose d'important à faire), s'installent à l'arrache, n'importe comment, n'importe où, occupant parfois deux place (une pour l'individu, l'autre pour ses effets personnel) sans se soucier de savoir si vous n'aimeriez pas vous asseoir vous aussi. Et le ballet de leur verbiage incompréhensible et plaintif, de leurs goûts vestimentaires de merde et de leurs odeurs vomitives vous achève en cet espace clos, et vous laisse impuissant, citoyen désœuvré et solitaire face à ceux pour qui nous fûmes toujours bienveillants, et qui aujourd'hui nous crachent à la gueule sous prétexte qu'on les parque entre eux dans des ghettos souvent insalubres où règne la violence, la peur et la solitude.

Il suffit de culpabiliser, exterminons les ! Oui, vous m'avez bien entendu ! Exterminons les vieux !
Comment ? Oui, j'ai bien dit les vieux. Pourquoi vous me demandez ça ? 


De qui diable pensiez vous que je parlais ?
 
 

Samedi 5 juillet 2008 à 19:11



Je sais que j'avais annoncé qu'on parlerait du cas Bétancourt ici, mais finalement non. Pas par sympathie ni par respect à l'égard de cette imprudente, médiatisée par une bande de bœufs shootés à l'empathie, non, juste parce qu'on ne va pas retourner le problème dans tous les sens, moi je le dis clairement, on s'est fait entubé. Si si parfaitement. A l'heure où l'on fait l'apologie de l‘effort et du travail, on concentre notre énergie et notre argent sur une personne qui vient de profiter de six ans de vacances gratos. Six ans de négociations foireuses, de reportage à vous tirer la larme à l'œil,  six ans de manifestations aussi chiantes qu'elles étaient mièvres et dégoulinantes de ces bons sentiments qu'on a que pour tous ces cons responsable avant tout de leur propre malheur. Six ans pour qu'une bande de Rambos viennent la tirer du merdier où elle s'était foutu elle-même, le tout en 22 minutes montre en main. Six ans que vous me gonflez avec le sort de cette idiote, pour qu'elle remercie bien tout le monde, pour vous sentir uniques, pour qu'elle remercie Dieu (hahaha, remercier une entité qui ne fait rien d'autre que de ne pas exister, quand on a passé six ans dans la jungle, c'est quand même fort !) . Six ans a attendre qu'elle chante les louanges cette "douce france"quand tout ce que tout le monde a fait, c'est pleurer un bon coup en espérant faire vibrer la corde sensible d'une bande de terroristes. Vous me faites rire tellement c'est navrant !
Inutile de se voiler la face, tout ce beau monde qu'elle remercie n'a rien fait si ce n'est médiatiser quelqu'un au détriment d'autres otages, qui sont parfois captif depuis plus longtemps qu'elle. C'est beau l'humanisme des passes droits et de privilèges. Vous devriez avoir honte de vous, d'avoir à ce point concentré vos efforts sur elles, et à peine sur les autres. D'un autre côté je m'en fiche, c'est également de leur faute s'ils sont dans cette merde.
On aurait rasé cette jungle à la con au napalm, s'aurait été une meilleure idée, tellement plus juste et humaine, pour tous ceux qu'on va abandonner aux mains des FARC. Cette brave Ingrid à beau nous faire croire qu'ils se sont affaiblis, sous prétexte qu'ils sont mal ravitaillés, conclusion qu'elle tire parce qu'on ne file pas grand-chose à bouffer aux otages, mais justement, imaginez, vous êtes guérillero, vous avez des otages, vous leur donneriez suffisamment à bouffer au risque de manquer vous-même de nourriture et de les voir suffisamment fort pour prendre la fuite ? Et puis franchement, pour un otage quasi mourrant sur la dernière vidéo en date, elle à pas l'air si mal en point que ça… Je suis mauvaise langue, les FARC lui ont bien entendu filé des vitamines en cas de sauvetage de la part du gouvernement colombien, ça tombe sous le sens.  Ou alors, plus plausible, c'est encore grâce à Dieu. Haha.
Par soucis d'équité et de cohérence, il faudrait la renvoyer dans la jungle. D'une ça permettrait à tous ces cons qui vous parlent d'elle comme s'ils avaient passé six ans à ses côtés (quelle blague) à continuer de meubler leurs vies insipides et inintéressantes, et de deux, ça nous éviterait d'en entendre encore plus parler que lorsqu'elle était captive. Ca fait trois jours à peine et je regrette déjà qu'elle s'en soit tiré. C'est bon elle est libre, très bien. Et après ? Je vois pas en quoi c'est si important que ça de nous raconter la même fable pendant une demi-heure chaque soir. Un coup on s'intéresse à l'opération commando. Juste après, à la première personne qu'elle sert dans ses bras à la descente de l'avion. Le troisième reportage est consacré à ce que contient son sac et à sa prière à la con, et ainsi de suite. La terre ne s'arrête pas de tourner sous prétexte qu'elle est libre ! Stop maintenant. Qu'on la refile au FARC, finalement c'était mieux, au moins on en parlait pas tous les jours.
Non je parle sérieusement, refilons la au FARC, en plus si elle reste deux ans de plus je gagne mon pari. Allez quoi merde, 100 euros quoi ! Je vais pas perdre 100 euros parce qu'on s'est enfin décidé à faire quelque chose au lieu de blablater comme des tarlouzes ! Putain de merde… Vous avez vraiment aucune pitié. Vous me dégoûtez tous autant que vous êtes.


Je me rends compte que j'avais commencé par dire qu'on en parlerait finalement pas, et ma petite parenthèse s'est transformé en article. Qu'Est-ce qu'elle m'énerve cette Ingrid !
 

Mercredi 2 juillet 2008 à 22:23


Largement inspiré par la pub pour perle de lait ou une connasse pas terrible voyait son visage transformé par les bienfaits de la douceur d'un yaourt (la chirurgie esthétique, c'est d'un démodé mon ami, bouffe des yaourt nature plutôt).







[ Et dans deux jours, on parlera de la libération d'Ingrid Bétancourt mouahahahaha]

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