Mardi 27 avril 2010 à 22:32


... Et son implication dans le développement des mariages consanguins


Il existe, dans les méandres d’un magasin de jouet, des choses finalement encore pires que John World, car au-delà des rayonnages étalant avec force couleurs criardes et boîtes à rêves insipides, se cache une forme terrible d’endoctrinement, véritable culte à l’innommable dont les sombres desseins se dissimulent sous l’apparat de l’innocent et du ludique.

On trouve, dans le rapport entre l’enfant et l’animal, une sorte de lien étrange, un attachement réciproque entre deux formes de vie primaires. Bien évidemment, il est facile de berner un être aussi peu évolué qu’un enfant, donc, pour tout parent qui ne souhaite pas voir évoluer chez lui une deuxième créature maladroite, sale et bruyante, il peut combler l’absence d’animal par sa représentation ludique. Les peluches, par exemple, ou encore des miniatures en plastique. Et c’est là que se situe une bien sombre limite entre l’attachement idiot de nos braves petits Kevin et  les saines pulsions naturelles propres aux humains : le meurtre, l’appât du gain, la cruauté. Et vous vous dites naïvement qu’aucun jouet - si on excepte les jeux videos - ne peuvent satisfaire ces envies, en particulier chez les plus jeunes. Détrompez vous.
Aujourd’hui, on le sait, les animaux sont un fléau : cultures ravagées, espèces en voie d’expansion à l'instar du lion ou la baleine etc... Mais qui, qui peut encore sauver notre planète ? Les braconniers bien entendu, alors quoi de mieux, pour faire naître la passion du massacre d’espèces exotiques qu’un kit de braconnage.

http://groumf.info/imageblog/braco.jpgToi aussi, jeune pouilleux, traque des animaux innocents et fais leur du mal.

http://groumf.info/imageblog/baleinier.jpgJ’ai troqué mes santiags et mon cuir un peu zone, contre une paire de docksides et un bon vieux harpon tata tiiiiin

Dans une autre optique, si votre enfant manifeste, envers les animaux, un désir autre que braconner - ce qui reste étrange mais pourquoi pas - et semble plus attiré par le côté charnel de la chose - ce qu’on détermine grâce à des nombreux trous fabriqués de manière très artisanale sur certaines de ses peluches - vous pouvez bien entendu lui offrir le gentil petit cochon, parce que comme il le dit lui-même « Prends moi et j’émettrais un son amusant » Ha la salope !

http://groumf.info/imageblog/cochon1.jpgOn notera au passage qu'il s'agit d'un jouet franco-allemand, ce qui explique, pour le coup, pas mal de choses. Et si vous vous étiez un jour posé la question, à savoir pourquoi diable les peluches ont toujours cet air désespéré et inquiet, et bien, maintenant, vous savez...

C’est à ce moment précis que tout bascule, car quitte à sodomiser des animaux en peluches, autant que les braves petites tumeurs ressemblent aux mous du bulbes qui les ont mis au monde. Respectant ainsi le vieil adage qui veut que les coutumes les plus douteuses ne sortent pas du cercle familial, un petit mongoloïde épanoui pourra reproduire les traditions ancestrales qui ont conduit à l’appauvrissement de son patrimoine génétique : le mariage entre cousins germains.

http://groumf.info/imageblog/consang1.jpgToi aussi, jeune trisomique bouffie, épouse le cousin Kevin
- On notera la similitude presque fraternelle des mariés, afin que l’enfant intègre parfaitement que sa famille ne paie pas de dot , entre autres choses...-

Il apparaît donc clairement, une fois de plus, que pour l’œil éclairé, l’innocence n’existe pas. Derrière le concept le plus attendrissant - Scusez moi je vomis vite fait - se cache une horrible vérité qu’on ne saurait ignorer… cher lecteur, tu viens de passer de l’autre côté du miroir.
Ceci étant dit, faudra quand même qu’on m’explique pourquoi aucune grande enseigne ne désire commercialiser la ligne de jouets que je voulais lancer. Y’a peut être trop de petits éléments susceptibles d’être ingérés, mais on pourrait le destiner aux enfants de 6 ans et plus. M’enfin…

http://groumf.info/imageblog/kkk.jpgOu alors les nouvelles générations sont réfractaires aux jouets éducatifs, allez savoir.



Vendredi 23 avril 2010 à 0:05


PUTAIN, 5 ANS !

La fabuleuse histoire d'Atom of the end
(Part 3)

http://groumf.info/imageblog/dyingbite2


Mois de mai 2006, je suis de retour à Nancy, je suis sans emploi alors je ris de cette situation parce que je mens comme un arracheur de dents sur mes C.V, ce qui donnera lieu à une invraisemblable réponse (fictive, of course) . Dans le même temps, puisque je suis un inemployé, j’essaie de poster le plus possible pour m’obliger à me lever le matin, je finirai par me coucher à pas d’heure à produire des iconographies immondes à l'égard des détraqués sexuels qui me lisent (1)(2) http://groumf.info/imageblog/dickriver.jpg
Les week end's, ou la semaine, je sais ne sais plus, je ne vis plus que la nuit, alors je sors, seul, ou avec des amis, mais inconsciemment, je sens que ma place n’est plus à Nancy. Je me sens seul, je fréquente des lieux pleins de gens - l'angoisse - où je ne m’amuse pas , tout m’emmerde, j’en fais donc profiter le lecteur qui ne voit que les dérives marrantes d’un jeune qui à trop picolé un samedi soir. La raison de cette morosité, outre le fait d’être un inemployé inapte à la vie en communauté, c’est d’être loin de celle qui m’apporte tant de joie.

http://groumf.info/imageblog/cover.jpgC’est alors que joKeR pond cette incroyable saga, c0wvivor, qui marque les esprits de l’époque, car tous, nous suivront cette grande série de l’été. Il faut dire que pour la plupart, les éminents membres de c0w, ainsi que ses plus gros boulets et faire valoir d’alors, sont les protagonistes de ce récit. Non content de me filer un rôle en or (Celui d’un connard subtilement sarcastique), joKeR demande ma participation. Avec Samantha.c4 et d’autres, nous planchons donc sur des artworks afin d’illustrer cette saga.
Ca m’occupe, et c’est tant mieux, car l’inactivité me fait virer poète, ou carrément abjecte.

Nous sommes le 6 juin 2006 (06/06/06), c’est le jour de l’apocalypse. Moi je suis au lit avec la gueule de bois, je ne vivrai que le 667, le jour d’après l’apocalypse, et on sent bien l’influence navets types séries Z qui me caractérise. J’assume. J’assume tout moi, même mon amour immodéré pour moi-même, ce moi auquel je déclare ma flamme, devant vos yeux ébahis. Toujours avec tendresse, délicatesse et subtilité.
Je continue sur cette lancée quelque temps et c’est un beau jour de juin 2006, le 19, précisément, qu’est né ce concept dont je voulais absolument accoucher. Je crois que ça m’est venu un soir de beuverie où je trollais avec des amis et des connaissances vaguement gauchos-hippies afin de leur expliquer que la dictature est le meilleure système politique qui soit : Mon argumentation tient toujours debout, même lorsque je défends l’indéfendable. C’est ainsi que naîtra la dictature scripturale, qui compte 40 articles à son actif aujourd’hui et qui est devenue une autre série phare de mon blog.

Je ne le sais pas encore, mais je passe ma dernière fête de la musique à Nancy et je ne supporte plus cette beuverie annuelle. Mon P.C meurt à nouveau, le manque engendré m’inspirera une nouvelle en trois partie (1) (2) (3). Entre temps, j’use des messages défilants de la page d’accueil pour vous montrer à quel point je suis drôle et méchant.
Sinon c’est la coupe du monde du foot, et ça, ça me gave. Ca prend une telle proportion dans notre pays que même moi, je parlerai de ce fameux coup de boule … Et ouais, même moi. Toujours aussi anecdotique, je suis de retour à Marseille car j‘y ai trouvé du boulot, je crève de chaud, et je rencontre Satan (aka Adolf Hitler) et Jésus qui se battent pour mon âme que j‘ai vendu contre une bière bien fraîche(1) (2). C’est aussi à cette époque que le monde fut envahi par les Emos, une culture profonde et ancienne au point qu’on en avait jamais eu connaissance jusqu’à présent.
Je suis devenus accrocs au Kebab (Pratique et pas loin, je suis une feignasse), ce que je n’avais jamais mangé avant ma toute première visite à Marseille, d’ailleurs, je n'avais jamais vu la mer non plus, j’ai donc découvert deux choses et j’ai fait 800 km pour ça.
Non sérieusement les Kebabs, c’est dangereux, on ne le rappellera jamais assez.
Survient alors un drame pour toute la cowmunauté, car le 8 août 2006, je suis mort, et j’ouvre avec mon trépas une longue série d’articles (pas loin de 25 chapitres), un crossover entre deux de mes catégories d'articles, un récit cowbloggien que je ne terminerai jamais… Entre temps, nous accueillons, avec Margritis, trois autres cow’s, pour quelques jours devenus mémorables : C’est avec JoKeR, Samantha et Morgoth que nous publierons cet article linké qui redirigeait le lecteur sur nos blogs en une sorte de boucle récurrente et dont la profondeur philosophique n’est pas à démontrer.

http://groumf.info/imageblog/desanusseur.jpgBien sur, mon récit, mes invités vite repartis et mon boulot ennuyeux ne m’empêchent pas de persister à me montrer mesquin envers d’autres bloggeurs. Je suis à Marseille depuis deux mois, je prends mon première appart’ et je n’ai pas la télé depuis donc environ soixante deux jours, sept heures vingt trois minutes et cinquante trois secondes, mais de toute façon je me console en me disant que la télé, c'est de la merde. En fait, pour la petite histoire, une semaine avant ça, j’ignorais l'imminence de mon emménagement dans le sud, à la base, je crois avoir dit à ma mère un truc du genre "J'me casse bosser un mois à Marseille". Haha.
Ma saga s’essouffle et mon lectorat n’en peut plus, afin de m’assurer qu’il est toujours là, je lui propose de branler ma bite… Enfin ma bannière de blog, qui était une bite… N’allez pas vous faire d’idée.
Tanné par joKeR pour que je tienne mes promesses pictographiques, j’ai pondu mon article souvenir de notre mini-rencontre c0w (un mois après quand même…) façon c0wvivor : C’est-à-dire avec humour et surtout, des artworks, comme ceux que je lui avais fourni quelques mois auparavant.
J’use mes franchises au possible avec le « kit minceur » (aaaah la méthode Auschwitz) et cultive ma nostalgie. Ma lorraine natale me manque.
J’arrive alors au 300ème article du blog et je passe quelques heures à compiler des articles et dessins en PDF afin de fournir un Best-of the End, toujours disponible en téléchargement via le menu catégorie d’ailleurs.

Je m’attaque également à l’économie, histoire de lancer pour de bon la dictature que j’entends installer, parce que depuis le premier article du genre, je n’ai rien foutu.
C’est aussi fin novembre 2006 que j’ouvre la série des Abstinences qui reste, artistiquement http://groumf.info/imageblog/diktator3.jpgparlant, la chose la plus profonde présentée à ce jour sur blog. Les textes sont beaucoup plus travaillés, les dessins me laissent exprimer mon côté glauque et tordu. C’est un régal pour moi, moins pour le lecteur, dérouté, qui n’accrochera jamais réellement sur cette catégorie. Ce n’est pas grave en soit, ces œuvres sont surtout là pour moi. Abstinence me permet énormément de faire évoluer le personnage d'Atom-of-the-end, et de lui donner une dimension plus intéressante.
Je bosse à l’époque en tant que vendeur dans une boutique de fringue depuis presque six mois (plus manutentionnaire que vendeur en fait) et je suis affligé de l’insondable stupidité d’un connard avec qui je dois passer mes journées et ça vaut son pesant de bananes, cela dit, ça me laisse du temps pour méditer sur la grande imposture que représente le concept divin.
Le 20 décembre 2006, Pinochet s’éteint, je lui rends hommage à travers un article poignant, car ce blog est désormais une dictature affichée, au point que le lendemain de noël, on prône sur ces pages les bienfaits de l’apartheid pour finir l’année 2006 avec classe.
Je ne serai pas le premier à poster en 2007 sur mon blog, ce sera joKeR, s’incrustant pour la troisième fois, qui s’en chargera, afin de faire la promotion de la peine de mort. Tout en finesse, qu'on vous dit !




(Pour le moment, cette série rétrospective s'arrête là le temps d'arriver au 500ème article, où nous explorerons les années 2007 et 2008, soit mes années favorites, puisqu'elles furent énormément axées sur le dessin. C'est en effet durant cette période que j'ai décidé d'illustrer le plus possible mes billets par mes propres créations et me suis par ailleurs remis à la B.D. C'est d'avoir renoué avec cette passion pour les cases et les bulles qui me poussa, un beau jour, à vous proposer une histoire courte en deux planches pastichant un monstre sacré des programmes pour enfants des générations passées, à savoir, "Bonne nuit les petits".)


 

Jeudi 15 avril 2010 à 22:52



J’en parlais hier via les commentaires de mon article anniversaire (Cinq ans qu’on te dit, sombre larve), je l’ai terminé ce soir. Ma Shoum’s m’avait passé commande d’un Wolverine, mais la dite commande était soumise à certains impératifs.
 Il fallait un Wolverine en format A3, en pleine action sur les gogues… Oui parce que cette superbe composition va finir sous verre, aux chiottes, afin que les invités admis à pénétrer dans son petit appart’ de Shoum’s puissent admirer Wolverine qui fait caca sur le mur en face d’eux. L’idée étant trop bonne pour ne pas me faire marrer, c’est donc avec joie que je me suis attelé à cette tâche.
Par contre, comme précisé plus haut, il s’agit d’un dessin en format A3, qui n’entre donc pas dans mon scanner, aussi il faudra vous contenter d’une photo qui ne rend pas vraiment justice à mon encrage, mais c’est quand même relativement potable donc c‘est pas si grave. (Et toujours moins pire que ce que nous produisent ces cons qui chatouillent leurs tablettes graphiques pour dessiner des bonhommes têtards et des ustensiles en formes de cacas de sphinx)

http://groumf.info/imageblog/wcolverine.jpg

D'ailleurs, si toi aussi, ami lecteur, tu souhaites te procurer un oeuvre originale pour tes toilettes ou toute autre pièce de ton choix, n'hésite pas (Cette offre n'est absolument pas à prendre au sérieux, sauf si vous êtes prêts à payer pour ça, ou si je vous estime digne de recevoir un tel honneur à titre gracieux )




Mercredi 14 avril 2010 à 22:00


PUTAIN, 5 ANS !


La fabuleuse histoire d'Atom of the end
(Part 2)

http://groumf.info/imageblog/putain4ans.jpg
Lors du dernier article anniversaire, j’avais relaté mon arrivé sur le serveur c0wb0ys et mon parcours de bloggeur lors de l’année 2005 / début 2006 avec pour conclusion la fin du projet X. A l’heure où certain se targue d’ancienneté parce que leur blog possède un ou deux ans au compteur, ou parce qu’ils multiplient les identités bancales depuis plusieurs années sur cowblog, il est bon de rappeler que je tiens mon blog depuis cinq ans,sans faillir. Afin de fêter donc dignement la cinquième année d’Atom-of-the-end, je vais vous relater, dans ce second post,(en deux parties, rassurez vous...) les tumultes de l’année 2006. Silverthorn, sur le post Putain, 4 ans ! émettait l’hypothèse que 2005 fut l’année la plus prolixe. Après avoir torché cet article, il m’apparaît qu’en fait, ce fut l’année 2006, tant au niveau de la quantité que de la qualité. Je vous invite donc à revivre cette période où ce blog prit la tournure qu’on lui connaît aujourd’hui.



Fin janvier 2006, le Projet X est définitivement stoppé, et ce blog reprend une activité normale, dans le sens où je continue avec mes articles habituels où, par exemple, m’inspirant d’un événement tout à fait banal de la vie ordinaire, comme un repas de famille, je le transforme en un espèce de banquet style foire aux monstres. A l’époque, je vous assure que je me demande réellement si certains pensent que je dissimule de véritables faits derrière mes délires. Ils n’auront jamais la réponse.
Toujours est-il que je cherche à réitérer, ou bien à exploiter, la mine d’idée qu’a été le projet X, et c’est à ce moment précis que j’ai changé en tant que bloggeur. Bien qu’un comparatif entre l’enfant et l’animal atteste que la dictature scripturale est née ce jour là, il n’en est rien, l’article fut classé dans cette catégorie ultérieurement, j’ignorais encore que je cherchais à la créer. Il faudra quelques mois pour ça.
http://atom-of-the-end.cowblog.fr/images/879435.jpgJe continue mes petits dessins humoristiques, préférant rire de ce qui choque l’opinion publique comme une agression d’enseignant, ou pour illustrer mes textes relatifs à l’actualité, comme avec la disparition d’un connard en pleine montagne et le pourquoi du comment je m’en tamponne. (Avec une belle sodomie de Yeti)
C’est à cette époque qu’éclate l’affaire des caricatures de Mahomet, et forcément, on devine très vite de quel côté je suis. (1) (2)
On s’intéresse aussi à des choses plus légères, comme la sexualité des vieux, et d’ailleurs, si ma mémoire est bonne, Margritis m’avait beaucoup aidée sur cet article. Il est amusant de voir que quelques années plus tard, ça fonctionne toujours de la même façon. (En gros elle a une idée, je lui pique, en fais un article et m’attribue toute la gloire qui en découle. Ma femme, c’est un peu mon roaddie en fait.) Dans une autre optique, j’use de plus en plus d’une ironie absolument abjecte, et mes cibles de prédilection n’ont pas changées : Les malades, les infirmes, les handicapés. J’expose ainsi de façon poignante combien c’est dur d’être « dans la norme » et à quel point tous les dépravés du monde sont, finalement, des connards de chanceux. Je sais, c’est odieux, et ce ne sera pas la dernière fois.

Février 2006, je passe mon deuxième séjour à Marseille, et j’immortalise ça avec quelques dessins, des idées stupides qui me sont venus lors de mes promenades avec Margritis. (Comme quoi, vous pouvez constater que je suis drôle même hors de mon blog)
J’attaque aussi à nouveau avec mes « Kit du bonheur », en l’occurrence « Le kit présidentielle 2007»,  toujours avec un style très télé-shopping. C’est tellement bon qu’on finira même par me le plagier, celui la.
Lors d’un retour vers Nancy par le train de nuit, je tente de dessiner dans la pénombre, sans lumière, avec les secousses du train et un pack de bière pour le trajet. Je suis un dessinateur de l’extrême, moi. Les catégories changeront de nom à cette époque, et revêtiront un aspect très sensuel et subtilement, j’y glisserai quelques allusions sexuelles. Il existe d’ailleurs quelques survivances, du coup, ma catégorie « dessins » garde depuis le nom « Spermivore » tandis que les autres ont évolué vers un aspect plus en phase avec l’esprit actuel du blog. Bien sûr, tout ça s’est fait progressivement.
A noter, en parlant dessin, que je raconte quand même ma vie, graphiquement, que c’est mal fait, mais que c’est drôle (Alors tu ris, lecteur), et je réagis toujours à l‘absurdité de l’actualité comme avec la psychose concernant la grippe aviaire (qui devait tous nous tuer, deux ans avant la grippe A, qui devait elle aussi tous nous tuer).
http://atom-of-the-end.cowblog.fr/images/1024956-copie-1.jpgJe m’afflige toujours du comportement navrant de mes semblables, et les fans de japonaiseries en prendront eux aussi pour leur grade. On notera que si on tolère chez moi les allusions au IIIe Reich, les expressions à la limite du racisme et le côté volontairement vulgaire / axé cul, et bien, on accepte pas, mais alors pas du tout, que je dise des méchancetés sur la « culture » nippone et sur ses adeptes. Ce paradoxe me fera beaucoup rire.
Cela dit, voir les gens prendre mes généralités au sérieux m’énervera suffisamment pour que je mette les choses au point, une fois encore.


Je m’essaie au style façon destins croisés, toujours pour raconter ma vie, le tout entrecoupé de délires imaginaires. C’est bête et méchant et on y tue des clodos pour la gloire du système capitaliste.
Sinon, un strip longtemps attendu par certains, fera sensation. Pour la petite anecdote, mon personnage se tient comme un gay, ce qu’on ne manquera pas de me faire remarquer en commentaire… Le fait que j‘y brandisse une bite à la main ne jouera pas vraiment en ma faveur.
J’exprime une fois encore la profonde haine que je voue au culte de Bob l’éponge par une planche bien sentie. Mes amis (Dans la vrai vie… Tu sais, de l’autre côté de la fenêtre) me diront que je n’ai pas la « Sponge bob attitude ». Et c’est vrai, j’aime pas les niaiseries, et il existe peut être un truc qui m’échappe chez Bob l’éponge, un truc profond mais je m’en tape. Je le hais et puis c’est tout.
Nouveau kit, cette fois relativement controversé puisqu’on y tombe dans la promotion du viol et des violences faites aux femmes. Avec le recul, bah je regrette pas. Je regrette jamais de rire de ce qui n’est pas drôle. On devrait rire de tout, et d’ailleurs, je prouve une fois de plus que je m’emploie à respecter cette idée, notamment avec un deuxième épisode de « c’est MAL » qui devient pour le coup une autre série à succès de mon blog avec sa catégorie dédiée (Inutile donc de tout vous linker)
Je m’attaque aussi aux gens comme vous et moi, qui téléchargent et sont contents de le faire. Hadopi est loin à l’époque, d’ailleurs, on imagine même pas qu’un truc pareil existera un jour. Au passage, même aujourd’hui, son existence fait marrer : Sept gugus dans des locaux immenses, un dispositif béton quoi. On tremble devant ces sept supers agents qui doivent fliquer 30 millions d’internautes, si si, j’vous jure. On se ronge les ongles.
Sinon, à cette époque, Rocco Siffredi écrit un livre (Il jutte sur des pages blanches quoi), donc forcément, je dois immortaliser le moment.
A cette époque de l’année, comme tous les ans, le pays est en grève avec ses manifestants lâchement agressés par de vilains CRS, ses grands discours et ses casseurs venus de banlieues.
http://atom-of-the-end.cowblog.fr/images/1038520.jpgMoi, à cette période, je suis au chômage, et peu enthousiaste à me rendre régulièrement à l’assedic (Comme on dit), qui me radie. Au lieu de faire quoi que ce soit pour remédier à la situation, j’en fais un texte.
Pendant ce temps, les autres minables bloggeurs de cette plateforme me gonflent tellement à nous envahir pour nous bombarder de clichés et de lieux communs que j’en fais mon choux gras et je ponds la série des « Dans ton cul » où, au mépris total du règlement, je règle mes comptes ouvertement avec tout le monde, en citant les pseudos, et croyez moi, ça tapait sec à l’époque, c’est autre chose que vos petites prises de becs de gamins. (1),(2),(3), (etc…y'en a 15 au total, z'avez qu'a les chercher si ça vous tente)
D’un autre côté, vu que tous mes adversaires quittent généralement le serveur suite à nos affrontements, je tombe pas tant sous le coup de la diffamation, les pseudos n’existant plus. De plus, vu qu’en général, je les asticotait tellement qu’ils faisaient un article à mon encontre les premiers, j’étais même dans mon bon droit (Et je n’attendais que ça en fait)

C’est anecdotique, mais dans l‘intervalle : J’ai rencontré la Mort en personne, et c’est une fonctionnaire (1)(2). Mon processeur à cramé, je trouve néanmoins le moyen de poster pour fêter le premier anniversaire de mon blog. J’ai créé le Bite-bite en réponse au Chwal et autre Gnous qui envahissent Cow. Ma création les surpasse de loin.
http://groumf.info/imageblog/bitebite.jpgJ’ai aussi prouvé que je savais faire un portrait au vitriol de mes petits travers, prouvant par cet acte que la plus grande capacité d’un humoriste accompli, c’est avant tout savoir rire de soit même, puisque je tacle les Serials critiqueurs et les bloggeurs, catégorie absurdo-sociologique auquel j’appartiens pourtant.
A noter que je suis de retour à Marseille à l’époque, et Margritis et moi sommes attaqués par des zombies à Avignon. Pour le coup, j’avais fait des vaches de progrès en matière de dessin, disposant pourtant d’un matos sommaire (Feuille d’imprimante et un seul stylo pointe hifi)
Lors de l’open blog du mois de mai 2006 (En gros, chacun laissait libre accès à son blog), je n’ai offert la possibilité de poster qu’à une seule personne ; le sémillant joKeR, il le fera, avec classe comme toujours, puisqu'il fera l'effort de pondre un texte über consistant relatant l'origine de l'atome de la fin.




(A suivre dans quelques jours. Rassurez vous, la seconde partie est déjà pondue, vous n'aurez pas à attendre une année pour lire la suite cette fois. Et puis je vous connais, les articles de deux pages, ça vous rebute déjà pas mal, alors si je vous en tape cinq d'un coup, vous allez me claquer dans les pattes)

Mardi 30 mars 2010 à 23:28





Il arrive, assez fréquemment je dois dire, que ma femme et moi-même déambulions dans une grande enseigne de jouets pour enfant, généralement pour assouvir notre passion dévorante pour les figurines de super-héros - ou simplement pour satisfaire mon besoin irrépressible de frapper des animaux en peluches – mais toujours est-il que nous nous prenons à flâner dans des rayons qui n’ont à priori rien d’attrayant et pourtant, ce plaisir coupable répond à une curiosité grandissante pour ces générations qui semblent s’engluer toujours plus loin dans la plus abjecte stupidité… Ces incursions dans le monde merveilleux du matérialisme juvénile et des nez qui coulent sont un moyen de répondre à cette grande question : Pourquoi ?
Il apparaît évident que les affres de la consanguinité où même le faible potentiel génétique du vulgus pecum n’ont pas suffit , en quelques décennies seulement, à créer une espèce hybride si semblable à l’Homme mais dont le cerveau semble faire un bond spectaculaire en arrière. Ce serait trop simple, et ça reviendrait à faire la part belle à l’eugénisme dont je suis un fervent pourvoyeur - Hahaha on y croit -
Je pense que la régression générale est à mettre sur le compte d’un faible épanouissement de l’enfant. Je pense qu’on massacre les neurones de nos répliques miniatures avec des jouets idiots qui ne donnent pas envie d’aller au-delà des barrières liées à l’hérédité et de surpasser leur condition de sous-merde. On ne donne pas aux enfants l’envie de réussir leur vie, et j’en veux pour preuve : John World.

John World est l’archétype du jouet de merde qu’on refile au fils de prolo pour calmer ses rêves idiots plus vite que ne le fera l’éducation nationale, à l’âge où il se met à débiter  des absurdités du genre que quand il sera grand, il sera astronaute, pilote de F1, médecin, écrivain à succès ou dessinateur - Oui je sais, cette profession n’a rien de reluisant, mais c’est pour vous montrer à quel point les enfants sont stupides - et que sais-je encore.
Outre l’évidente vague notion de la merde financière dans laquelle se trouvent ses parents qui lui dicte d’orienter sa carrière là où l’on amasse le plus de caillaisse, l’enfant manifeste un désir inconscient et profond de s’éloigner du modèle parental afin de pouvoir rompre toute relation un jour avec ce passé. Conscient alors d’avoir enfanté le démon, notre éboueur ou notre plombier au chômage verra en sa progéniture un rival, un « Homo Superior » dont le potentiel doit être tuer dans l’œuf s’il veut que sa lignée perdure en l’état - C’est qu’on plaisante avec le patrimoine génétique et un patronyme familial à la con quand on ne possède rien d’autre et qu’on est une grosse merde -  et c’est là que John World intervient. Raaaah John World ! JOHN WORLD !

John World est un pauvre connard syndiqué qui exerce les métiers dont les dépositaires du droit du sol depuis plus de cinq générations ne veulent depuis qu’ils ont découvert le bon côté de l’immigration. John World est une expansion du syndrome Charles Ingalls - Sujet développé ici il y’a…oula ! T’étais même pas sur cowblog à l’époque, ami lecteur - qui dicte à l’enfant que l’on est humble, honorable et vertueux uniquement en exerçant les tâches les plus pénibles et ingrates. John World est un con.

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Il est intéressant de noter que durant notre intrusion en milieu hostile, nous n’avons néanmoins pas trouvé de John World « au chômage ! », de John World « Ivre mort au bar du coin ! », ou encore de John World « va quémander des aides à la CAF et joue ses allocs’ au PMU ! », ni de John World « vend de la drogue dans les cités pour s’en sortir t’as vu ! » et surtout pas de John World « manifeste avec son syndicat ! »
Soit John World ne colle pas trop avec son époque, soit il s’agit d’une tentative gouvernementale visant à éradiquer certains comportements en ne faisant la promotion que de ce qui devrait être acceptable de la part des masses laborieuses.

La semaine prochaine, nous parlerons de l’attrait irrésistible qu’exerce le concept de la zoophilie chez les enfants et son implication dans les mariages consanguins.

Si cet article n’a pas été rédigé à deux mains, il n’en reste pas moins pensé à deux têtes. Je remercie donc ma chère et tendre pour sa participation, et les réflexions hilarantes qui m’ont grandement inspiré ces lignes (ou que j’ai carrément repompé).



 

Jeudi 25 mars 2010 à 20:55




Plus d’une fois je me suis élevé contre ces journées promotions dont les motivations sont aussi niaises que les problèmes aux quels elles s’attaquent sont inintéressants, et pourtant je dois avouer que je me suis laissé charmer par l’ennemi. Oui, devant vos yeux ébahis, j’ai succombé à la tentation doucereuse de la journée à thème, et il en fallait beaucoup pourtant… Non je ne parle pas des élections de ces deux derniers dimanches - manquerait plus que le pro-diktat que je suis aille sauvegarder la démocratie - et encore moins du week end du sida qui s’annonce larmoyant et stérile.  - D’un côté, vu son mode de transmission, il vaut mieux qu’il le soit… stérile -

Non figurez vous, pour ceux d’entre vous qui ne le savent pas encore, aujourd’hui est le jour béni entre tous où nous, fainéants bâtards, branleurs compulsifs et autres démotivés sommes à l’honneur. Ce jour, à l’initiative de je ne sais qui - Manquerait plus que je me documente alors que je peux faire ça plus tard - est déclaré, officiellement ou non ça on s’en branle, comme le saint jour de la procrastination.

http://atom-of-the-end.cowblog.fr/images/procras.jpg(Il devait y avoir un dessin ci-dessus mais finalement ce sera pour demain...)

Mais qu’est-ce donc que la procrastination, te demandes-tu, larve pathétique et ignare qui foule le sol de mon blog de son incommensurable ignorance quand il lui suffirait d’un clic pour combler ses lacunes ? - Internet, à défaut de rendre les gens plus intelligents ou cultivés, car il convient de faire le distinguo, permet néanmoins de mettre à jour les systèmes cérébraux de vos interlocuteurs virtuaux (Cette erreur est là pour le côté lyrique et sensuel de la phrase que vous venez de lire, et parce qu’un chacal, des chacaux, on ne le dira jamais assez) ce qui peut faciliter la compréhension, et ce qui explique aussi pourquoi dans la réalité je suis souvent amené à me contenter de limiter mon approche sociale par  une interjection du type « ta gueule » vu que le vulgum pecus ne possède pas un wikitionnaire derrière les neurones - Je vous mets au parfum, c'est pas le nom commun de la castration chimique. - Chez les catholiques, elle porte le nom de surdité au passage -

Et bien ce jour est le jour où il nous faut absolument tout remettre au lendemain, car dans cette époque troublée et incertaine où les choses vont aussi vite qu’une jambe d’enfant projetée par une mine anti-personnelle oubliée au fin fond du trou du cul du Vietnam, il est bon de rappeler à chacun ce qui fait la grandeur, sinon de l’Homme, mais au moins du bon peuple de France, c’est bien d’entrer dans cette spirale salvatrice, désinvolte, qui veut que l’on renvoie tout au lendemain. Si le mouvement perpétuel existe, il se nomme procrastination et puis c’est tout.

D’ailleurs dans la logique de cette journée dont la thématique me met la goutte à la kike - Public, rassure toi, c’est toujours pour le lyrisme - je ne vais pas conclure cet article et remettre à plus tard ce que je
 

 

Jeudi 11 mars 2010 à 19:18



Amis, lecteurs, anonymes qui n'avez rien de mieux à foutre de vos vies inutiles et qui êtes tombés sur mon blog en cherchant des vidéos de bites dans un pot d'échappement sur google, parasites sociaux difformes aux destins absurdes bercés par l'ineptie de vos tâches serviles – et qui vous font puer la friture même après trois douches – putes et affiliées ainsi que ceux que je risque d'oublier, c'est avec une joie certaine que je vous force à lire cette sémillante introduction qui bat désormais le record de la phrase la plus longue de ce blog – et que je vous invite à déclarer à haute et intelligible   voix.
Vous pouvez donc, après ce coup de maître, retourner à vos occupations, quelles qu'elles soient, qui que vous soyez, en admettant que vos fonctions cérébrales de primates n'aient pas entraîné chez vous une fatal error en essayant de suivre le fil d'Ariane d'une pensée qui ne va nul part.
Bon, maintenant que la sélection naturelle, ma sympathie légendaire et mon style inimitable ont clairsemé le troupeau et que nous sommes entres personnes de bon goûts, je peux entamer mon article. Ce n'est un secret pour personne, après tout, la haine du parasite sociétaire et sa dénonciation, ou de tout ce qui symbolise l'ennemi plus généralement, c'est le leitmotiv de ma Dictature Scripturale... Ou était-ce rire de choses dont habituellement on ne rit pas ? Non il y'a la catégorie Humour Noir pour ça. Quoi que, les sujets dis tabous, ou le politiquement incorrect dans son ensemble, sont régis par des codes sociaux qui autorisent depuis belle lurette une forme édulcorée d'humour noir.
Disons que la Dictature Scripturale, non contente de taper sous la ceinture, utilise pour vous broyer les valseuses un point américain clouté. Vous apprécierez au passage avec une délectation certaine – ou un épileptique énervement – que l'intro n'est toujours pas achevée et à dire vrai, à l'heure ou j'écris ces lignes je ne sais toujours pas de quoi je...

MEDECINS SANS FRONTIERES !

Amis de la transition éclair et experts es blogging, vous venez d'assister au plus minable des embranchements et paradoxalement, à ce que les spécialistes en la matière – Dont je suis seul représentant – nomment une épiphanie bloggienne, un instant de grâce rédactionnel... Bref, l'éclair de génie sans lequel la quasi totalité d'entre vous exercent, pourtant, ce qu'ils croient -  à tort - faire le mieux : Ecrire.
Il est vrai que chaque fois que je croise ces petits êtres mesquins qui vantent les mérites de Médecins Sans Frontières, je me dis, qu'il faut absolument que je vous fasse profiter de ma vindicte du moment pour que cette haine irraisonnée trouve un exutoire légal avant que je ne m'en chope un pour lui faire mordre le trottoir. Je ne vous dirai ni comment, ni pourquoi,  mais professionnellement, je suis souvent amené à me déplacer dans toute la ville – Je précise à tout hasard que je ne suis ni gigolo, ni chômeur ou livreur – car je n'ai pas l'intention - Ni éboueur - de faire de ce blog un réceptacle d'articles longs et ennuyeux - Et surtout pas cantonnier -  au possible en faisant traîner des anecdotes pitoyables sur ma vie professionnelle qui ne mériteraient pas plus de trois lignes – Bon okay je travaille pour une agence immobilière... voilà, je suis escroc. Tout à fait – et donc maintenant que ma phrase ne suit plus une quelconque forme de pensée cohérente, je vais simplement faire une pirouette stylistique unique en son genre de manière à ce que l'indicent passe totalement inaper HO PUTAIN ATTENTION DERRIERE TOI ! ...à me déplacer dans toute la ville de manière aléatoire mais fréquente.
 Le problème, c'est que j'en deviens la proie idéale aux yeux de ces hyènes vêtues de bleu. Médecin sans frontières, ces jeunes merdeux prétentieux qui passent leur journée en bande à tenter de vous grappiller – soit disant – juste quelques petites minutes. Ces raclures de fond de couilles et leur arsenal de réponses toutes faites, prévues pour chaque cas de figures... Maudits soient-ils !
http://atom-of-the-end.cowblog.fr/images/medecinssansfrontieres.gifJ'ajoute au passage que je n'ai aucun respect pour une organisation quelconque
quand elle fait preuve d'un sens de l'esthétisme aussi navrant

Non mais sérieusement, cette entrée en matière, je la supporte plus « Bonjour, vous avez cinq petites minutes pour Médecins Sans Frontières ? »
Mais putain, ducon, si j'avais cinq minutes – En semaine, ce qui suggèrerais que je suis donc inoccupé - , tu crois que je serais dehors à même pas dix heures du matin ? Et le pire, c'est quand on essaie vainement de leur faire comprendre, avant qu'ils vous barrent le chemin, que vous êtes pressé, et qu'ils cherchent en une fraction de seconde dans leur base de données de bons petits soldats une réplique pour soit vous faire culpabiliser, soit pour tenter d'accrocher un dialogue que vous vous évertuez à tuer dans l'oeuf.
Petites réflexions mesquines à peine masquée par un humour pauvre et stéréotypé, agression verbale dévalorisante à peine voilée, ce n'est pas la tolérance et la compréhension qui les étouffe, ces connards.
D'un côté ce qui m'horripile le plus, outre leur façon de vous accoster, c'est la finalité : Ils ne sont pas là, contrairement à ce qu'ils prétendent, pour vous informer, mais bel et bien pour vous soutirer du fric – J'ajoute par ailleurs que les jeunes filles membres de cette organisation douteuse tentent régulièrement d'user de leurs charmes inexistants (C'est pas parque tu es une femelle que tu es digne d'intérêt) pour établir le contact, un peu à la manière d'une pute.
C'est de la vente brutale et directe, une fois qu'ils vous tiennent, ils ne vous lâchent pas tant qu'ils n'ont pas ce qu'ils attendent, quitte à tenter de vous accompagner au distributeur bancaire le plus proche pour que vous leur éditiez un R.I.B, rien que ça. Et le pire, c'est que j'en rajoute même pas. Non mais c'est quoi ces méthodes de voyous de banlieue ? Sous couvert de s'afficher comme de bons gauchos hippies, ce sont de véritables sangsues aux méthodes infâmes. M'étonnerait pas que les plus fragiles d'entre vous se soient sentis violés après de tels échanges tiens, vu que ces salauds collent autant que le sperme d'un VRP.

 Vous vous dites que si je passe mon temps à les éviter, je ne dois rien savoir de leurs attentes,  que j'extrapole, et pourtant, une fois, ils m'ont coincé, alors que je tentais de traverser la route et que le feu piéton est passé au rouge, à l'heure de pointe... Je dois dire que j'ai un peu hésité entre les écouter et me jeter sous le trafic automobile.
Je m'en suis tiré par la ruse, en promettant de faire un don sous réserve qu'ils m'envoient la documentation nécessaire et l'autorisation de prélèvement, usant du nom et de l'adresse d'un ami que je ne vois pas depuis belle lurette mais qui, pour le coup, se reconnaîtra s'il passe par ici.
Tout ça me fait penser quand même que, finalement, je suis trop parano pour filer n'importe quel info me concernant, car après tout, qu'est-ce qui me prouve qu'il s'agit bien de MSF ? Qui me dit qu'il ne s'agit pas d'escrocs qui se sont confectionnés des uniformes et ont produit de faux documents afin d'extorquer de l'argent aux pigeons qui seraient pr...

Hum.

Je vous laisse, je dois faire de la couture, ouvrir un compte aux Caïmans et éditer des autorisations de prélèvements...


 

Jeudi 4 mars 2010 à 0:19



Il y’a quelque temps, j’annonçais sur ces pages l’arrivée de sortes de chroniques ayant attrait à l’univers merveilleux des comics (Oui oui, pour une fois, j’emploie un mélioratif sans ironie aucune), mais avant de nous mettre en bouche je me suis dit qu’il pourrait être intéressant d’expliquer ce que représente pour moi cet univers.

Voyez vous, il y’a bien longtemps, dans ces contrées lointaines et reculées de la lorraine profonde où les consanguins s’expriment avec un accent à faire passer un ch’ti pour un parisien, un jour pluvieux de février, à la nuit tombée, je suis entré chez le seul buraliste à vingt kilomètres à la ronde après que la bétaillère de ramassage scolaire m’ait déposé au centre du village. A l’époque, je n’étais pas un fervent fanatique de comics, car lire les publications françaises via les éditions semic nécessitait une situation géographique autrement plus civilisée, aussi je devais me contenter des numéros disparates dénichés dans les vides greniers et autres brocantes où les bouseux espèrent se débarrasser de tout ce qui fait offense au bon goût.
Bref, si je n’étais donc pas un fanatique, c’est  en cette soirée de février 1997 que je le suis devenu, car il était là, perdu au milieu des magazines de vieux croulants ou de ces insipides revues féminines (Qui tendent depuis leur création à faire stagner le Q.I de la femme), avec sa couverture aux reflets métallisés, son numéro « 1 » inscrit en gros. J’étais sous le charme. Je pouvais commencer une collection qui augmenterait au fil des mois, avec des histoires qui se suivent ! Plus question de galérer à chercher tel ou tel numéro manquant. C’est ainsi que je me suis fendu de 24 francs (et ouais, des francs mon gars, ça te la coupe hein ?) pour m’offrir mon premier numéro de Spider-Man, et c’est cet acte anodin qui ouvrit la porte aux héros qui allait accompagner toute mon adolescence (Et achever de torpiller une vie sociale déjà chaotique, mais j’en parlerai un peu plus loin).
Constatant que la revue, éditée par Panini (Vous savez, les images à collectionner et à coller maladroitement avec force de pliures ou de bulles d‘air en dessous, en biais pour la plupart, dans un album), ne se privait pas de faire sa pub pour ses autres revues dans les pages de ses publications, je me suis arrangé pour que mon buraliste élargisse son présentoir, et voyant que j’étais prêt à y claquer tout mon argent, il ne s’est évidemment pas fait prier. C’est ainsi que j’ai craqué pour le supplément bimestriel du tisseur (Spider-man extra), Wolverine, Thor, Silver Surfer ainsi que les « grosses publications » style « Marvel Mega, Marvel Top » , regroupant plusieurs séries qui ne trouvaient pas un assez large public en France pour se voir confier leur propre revue, et j'en passe. Rapidement je suis devenu un accroc du Marvel Universe. 
Pourquoi Marvel et pas D.C (Editeur entre autre de Batman et Superman, pour ne citer qu’eux) ? C’est simple. Je l’ignorais à l’époque, mais l’accessibilité plus aisée faite aux comics Marvel en France s’explique par le simple fait que le groupe américain avait tout bonnement acheté Panini. M’attacher au monde du géant Marvel fut donc chose aisée, puisque la concurrence était quasi inexistante.

Bien sûr, tout ça, c’était avant les block-busters (Enfin les navets, pour la plupart) cinématographiques qui ont  dépoussiérés l’image ringarde qui collait au comics. Lire des comics, c’était quelque chose d’unique et paradoxalement, ça vous collait l’étiquette de tocard ad vitam aeternam. Les comics, c’était pas tendance, c’était pas une mode. C’est presque si on ne vous attendait pas à la sortie du buraliste pour vous jeter des pierres, et certains d’entre nous préféraient sortir avec leurs comics sous le manteau, pour éviter les railleries d’une bande de puceaux couverts d’acné passant leurs journées vautrés comme des merdes sur le parvis de l’église, estimant qu’à treize ans, la seule occupation pour être dans le coup consiste à se bourrer la gueule.
Etre fan de super-héros c’était la loose, mais je préférais la compagnie des ces personnages fantastiques aux relations humaines surfaites avec une bande de débiles congénitaux et peu à peu, je me suis enfermé dans un monde ou tout était possible, dans une mythologie moderne de dieux volants, d’être grimpants aux murs, de surhommes à la force inimaginable et aux pouvoirs exceptionnels (Ou exceptionnaux, parce que un chacal, des chacaux...). Chaque mois, leurs aventures, leurs combats, devenaient un moyen d’échapper à mon existence sordide, d’oublier mes problèmes, et de trouver, je ne sais pas, peut être de l’espoir, l’espoir que tout peut s’arranger. J’avais trouvé chez les super-héros la force de supporter n’importe quel fardeau.
Le temps a passé, et j’ai laissé loin derrière moi des années difficiles, mais j’ai gardé avec moi mes compagnons, et c’est avec ce même frémissement et cette même dévotion que je plonge aujourd’hui dans un comic, c’est avec ce même émerveillement que je plonge de l’autre côté, comme un gosse.
A bien y réfléchir, lorsque j’ouvre n‘importe lequel des mes volumes consacrés à mes héros, j’ai de nouveaux une dizaine d‘années à peine, et je pose ma main sur un mur, sachant pertinemment que je ne vais pas y adhérer, mais avec à l’esprit cette pensée que si c’était possible, ce serait le pied. C’est ça que j’ai trouvé, et que je trouve encore aujourd’hui dans les comics : Du rêve, tout simplement.

http://groumf.info/imageblog/spidergroumf.jpg
J'ai à ce jour 25 ans, à l’heure ou j’écris cet article, je porte un t-shirt noir orné du symbole de Venom, et sous le regard figé d'une collection de figurines,  je termine un dessin entamé ce week-end au cours duquel ma femme et moi-même nous sommes amusés à nous dessiner en super-héros (La faute à mon t-shirt justement), et pour le coup, je me dis que c'est une passion qui visiblement ne me quittera jamais…



Mercredi 3 février 2010 à 13:46



Et c’est mourants et atterrés que je vous retrouve sur ces pages, privés que vous étiez ces derniers temps de votre lumière céleste et divine, en d’autre termes, moi. Derrières vos prières quotidiennes implorant mon retour et les offrandes faites à ma rognure d‘ongle de pied que vous avez trouvé en mon absence, je pouvais sentir votre désarrois et vos questions. Où est-il allé ? Quand reviendra-t-il ?
Ne pleurez plus, mes adorateurs, car je suis un bloggeur bienveillant. Je vous passe les détails de mes silences répétitifs sur ce blog, qui sont devenus monnaie courante, je préfère de loin ne rien poster plutôt que me complaire dans le surfait, l’inutile ou le larmoyant (C’est pas les blogs du genre qui manquent sur la plateforme), on le dira jamais assez.
Alors par contre, autant vous prévenir de suite, je n’ai rien de prévu de follement spectaculaire, c’est juste histoire de faire mouvoir cet espace assez suffisamment pour rallumer une lueur d’espoir dans vos cœurs tristes et meurtris, pour raviver la foi, par quelques iconographies du moment.
Il y’a quelques temps, un ami que je tiens en haute estime ouvrait ma culture restreinte du monde de la danse grâce à un formidable et déroutant spectacle de Pietragalla. Le moins que je puisse dire c’est que ça m’a tout simplement scotché. Après, je ne dis pas que j’aime la danse, loin de là (Manquerait plus que ça), mais je fus assez touché par la grâce, l’esthétisme, l’humour et l’étrangeté ainsi déployés pour qu’une image résonne en moi, telle une obsession. Une image d’une danseuse portant une masque au sommet de son crâne, jouant avec un immense voile devenu une extension de son propre corps tant elle le contrôlait si bien. Une danseuse métamorphosée par la seule force de sa volonté et de son talent, jouant avec l’espace de ses mouvements arachnéens, et captant notre essence même dans une toile d’araignée que nous ne pouvions voir.

 http://groumf.info/imageblog/pietra.jpg
 
 
Et puisqu’on parle d’araignée. A l’origine, ce dessin est un petit cadeau fait à ma chère et tendre, qui, depuis que je me suis dégoté la double réédition de la saga du clone de Spider-man, semble partager ma préférence pour Scarlet Spider. Je comptais aussi m’en servir pour illustrer une chronique prochaine de la dite saga, mais rien ne m’empêche de faire de la réutilisation d’image donc… Toujours est-il que cette chronique alimentera prochainement la catégorie « comics » de mon blog, et qu’elle sera suivie par de nombreuses autres. Pour le moment, je prévois de m’attaquer à Dark Knight Returns, Wolverine : Ennemi d’état et Arme X,  Avengers Forever, Captain Marvel V.3, Daredevil : Sous l’aile du diable - Minie-série scénarisée par Kevin Smith, rien que ça - et ainsi de suite, suivant mes envies. Faut dire qu’a mon goût, on ne parle pas assez de comics ici, et quand c’est fait, c’est généralement mal fichu et torché par de poulpesques incapables. Partant du principe que lorsqu’on veut que quelque chose soit bien fait, il faut le faire soi-même… D’autre part, les chroniques seront au possible agrémentées d’un hommage personnel aux héros qui feront l’objet de mon article. A suivre donc.

 

http://groumf.info/imageblog/scarlet.jpgIl faudra par contre vous contenter d'une version photographié étant donné
que j'ai perdu le scan du dessin que je ne l'ai plus en ma possession.

 

Ha et je ne résiste pas à l’envie de vous montrer ceci : Il s’agit d’une photo prise lors d’une chasse aux disques d’occasions afin de me dégoter le « Master of reality » de Black Sabbath que je n’avais plus écouté depuis l’époque bénie du collège où je m’explosais les tympans avec la collection de vinyles du paternel ( Recherche qui s’est avérée fructueuse… après une fouille minutieuse des bacs de cinq de mes disquaires habituels, quand même, puisque je refuse de filer 24 euros à Virgin pour la version double collector, ‘faut pas déconner non plus. Je ne m‘étendrai pas sur la frustration que peuvent parfois générer mes lubies musicales dans une ville ou le rap est malheureusement roi.)
Mais je m’égare. Bon je sais, il suffit de s’attarder sur le cas de Mario et son univers pour y voir les délires d’une bande de drogués accrocs aux champis hallucinogènes, mais est-ce une raison pour que les concepteurs des pochettes des coffrets DVD de la série animée se soient adonnés à ce genre de plaisirs coupables et aient dessiné sous acide ? La question est posée.

 

http://groumf.info/imageblog/mario.jpgLes enfants, dites non à la drogue, au C.A.P plomberie et au monde de l'animation, sinon, voici ce qui vous attend.



Ha et sinon, je profite de l’occasion pour vous annoncer le retour de Nounours sur ces pages d’ici la fin de la semaine. Alors, merci qui ?

Dimanche 17 janvier 2010 à 18:29





Récemment, j’ai découvert qu’un ami très cher avait décidé de parrainer un petit africain (Oui je sais, je fréquente des gens étranges). A dire vrai, je lui pardonne, puisque cette démarche s’inscrit dans une logique qui est la sienne, et puis tout le monde a ses petits travers. Toujours est-il que, contre toute attente, cette idée m’a obsédé, au point que je me suis penché sérieusement sur la question et, dans un moment de faiblesse et d’inattention, ma conscience, du genre discrète et léthargique, décida que je devais suivre cet exemple. Etonnant, non ?
Alors bien entendu, on ne change pas ainsi du jour au lendemain, il me fallait donc une juste cause à défendre en accord avec mes principes peu orthodoxes.
L’avantage du parrainage, c’est qu’on met un visage sur le fric qui s’envole de notre compte en banque, exit donc les associations de lutte contre les cancers, sida et consorts, que je ne souhaite pas voir disparaître d’une part, et dont l’implication est trop impersonnelle. Après tout, contre quelques deniers, j’espère bien recevoir la photo d’un gamin tout pouilleux.
Cela dit, si je ne désire pas venir en aide à une association trop impersonnelle pour justifier d’un réel engagement auprès de ma conscience, je ne souhaite pas plus aider mon prochain, et encore moins une personne dont je me fous totalement, à plus forte raison s’il vit dans un pays où je ne risque pas de mettre les pieds. Mon ami m’expliquait qu’à ses yeux, la misère n’a pas de frontière, et c’est également vrai pour ma misanthropie. Je déteste avec le même acharnement mon voisin que la plus éloignée des sous-merdes du globe. J’ai bien tenté de me convaincre que mon patriotisme pouvait au moins aller jusque là, mais non. La misère, je m’en tamponne.
Certains pensaient et pensent, à tort, que je suis un tantinet raciste, mais c’est faux, et je viens d’en apporter une preuve de plus, mais revenons à nos moutons.
 
http://atom-of-the-end.cowblog.fr/images/YABONLAGUEWRE.jpg
Le parrainage traditionnel semblait donc exclu pour ma part, mais cette idée me taraudait tellement qu’il fallait pourtant que je franchisse le cap, et très honnêtement, je ne sais pas vraiment pourquoi. La curiosité peut être, ou simplement l’intérêt d’une telle démarche m’échappe tellement qu’il me faut l’essayer pour la comprendre. Après quelques heures de recherches, c’est avec un certain agacement que j’ai découvert qu’aucune forme de soutien humanitaire ne pouvait me convenir. C’est au dessus de mes forces. Et puisque personne n’a pensé que des gens comme moi voudraient changer de mentalité, en douceur, et étant convaincu que parfois, si l’on veut quelque chose, il faut bien le faire soi-même, c’est avec une certaine fierté que je vous annonce mon désir de créer une association de parrainage, et dont je serai le premier parrain, mais pas le seul, je l’espère.
 
 
L’idée m’est venue lors d’une de mes fréquentes insomnies. Pour répondre aux clichés que je véhicule bien volontiers, il me fallait absolument aider un africain, parce que le petit enfant africain, c’est quand même la Rolls Royce de ce qui se fait en matière de pauvre. Cela dit, je voulais aider un type d’individu bien particulier combinant un besoin évident d’apport moral et financier avec une capacité de nuisance pour le reste du monde, et si comme moi vous souhaitez aider tout en annulant, d’une certaine façon, le positivisme niais apporté à votre karma à cause de ces conneries, la solution est simple :

Parrainer un enfant soldat.


On estime aujourd’hui à environ 300.000 le nombre d’enfants soldats dans le monde, et pour continuer à se battre, ils ont besoin de vous. Oui d’accord, mais parrainer un enfant soldat, qu’est-ce que ça implique ? me direz vous. Et bien c’est simple, pour une somme modique, votre petit protégé bénéficiera:
- D’un apport supplémentaire en armes et munitions, afin de faire plus de victimes
- D’un accès à l’éducation (soit l’apprentissage des stratégies militaires de base dispensées par d’anciens gradés de la légion étrangère)
- D’un apport financier supplémentaire à sa solde qu’il envoie à son village, afin que ses parents envoient d’autres enfants dans l’armée et les groupes paramilitaires
- D’un surplus de drogue avant d’aller au front
- D’un bol de riz ou d’une banane par jour, suivant son C.L.G (Cliché de Localisation Géographique)

Bien entendu, il n’y aurait aucun intérêt à parrainer sans en retirer autre chose qu’une sorte de satisfaction personnelle (ce qui fait du parrainage, au fond, un acte totalement égoïste).
Ce qu’il faut savoir, c’est qu’avec le parrainage, vous prenez un engagement Ad Vitam Aeternam envers votre nèg…votre filleul (Ad vitam pour vous hein, lui s’il meurt, ce qui est assez fréquent, on vous le remplace), en conséquence,  nous tenons à ce que le parrain soit aussi « proche » que possible de son filleul.
- Vous pourrez communiquer par courrier avec lui (lui vous enverra des dessins tout miteux vu qu’il ne sait pas écrire, mais c’est déjà pas mal, vous pourrez ainsi vous vanter auprès de vos amis de l’acquisition de pièces uniques d’art primitif) * NDR - Par ailleurs, j'afficherai chaque mois, sur ces pages, les dessins, courriers et photos que m'enverra mon petit protégé*
- Une fois la confiance et le dialogue établis, votre petit soldat pourra vous envoyer ses trophées de guerre (les oreilles, les dents, la kike, le scalp ou tout autre partie des ennemis qu’il aura dézingué). .. Ou ses propres membres moignonnés  lorsqu’il se fera horriblement mutiler.
- Vous bénéficierez également d’une importante déduction fiscale (à hauteur de 66% sur la totalité de vos dons), parce que donner, c’est pas qu’une affaire de conscience
- Des actions chez Dassault

http://atom-of-the-end.cowblog.fr/images/enfantsmile.jpg- Regardez comme il est heureux et souriant de jouer à la guerre pour de vrai -
 

Alors pourquoi hésiter, engagez vous dès maintenant, et envoyez vos dons à la fondation « Y’a bon la Guerre ». « Y’a bon la Guerre » est une marque déposée de l’association « Espoir et mutilation » appartenant conjointement à la « Atom-of-the-end Corporation » et au « fond de pension des mutilés et vétérans d'Irak ».
Le don minimum est de 50 euros mensuel. Photo de l’enfant soldat non contractuelle. 10 % de remise sur votre prochain don si votre filleul est abattu avant la réception à votre domicile de son premier courrier.



* Merci à ma femme pour les retouches photos et pour l'affiche.
*


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